La Liberté Selon Epictète

qui se met à douter et n'accepte pas d'emblée ce qui se présente à lui. Le oui passif accepte sans examiner, se laisse bercer et s'endort. Dans la suite du texte Alain associe le oui à la croyance, croire c'est accepter, c'est adhérer passivement selon l'auteur. La pensée véritable est donc une forme de vigilance, un éveil permanent de la conscience qui consiste à refuser de croire passivement. Mais à quoi faut-il véritablement dire non ? Que faut-il refuser de croire ? L'objet de ce refus est-il

débat : la démocratie. A. L’émergence de la raison 1. Du mythe à la raison C’est avec l’école de Milet au 6ème siècle avant J.C et le fameux Thalès, qu’on peut dater le début de la philosophie. Avant Thalès, les penseurs fonctionnaient selon les mythes, la poésie, la croyance en des dieux à forme humaine, l’explication de l’univers se faisait au moyen de récits imagés (Adam & Eve…). Celui qui fait autorité à l’époque est le conteur de récits (Homère). 2. Vision logique de l’univers

personnelle………………………Page 23-25 VI) Conclusion………………………………..Page 25 Introduction L’Homme depuis tout temps cherche à avoir un regard critique sur ce qui l’entoure, on constate que dès l’antiquité les philosophes tel que Platon et Épictète, entre autres, essayent de comprendre leur société, de résoudre les problèmes qui se posent et de progresser vers un idéal. Dès l’antiquité la littérature et les arts du spectacle en particulier le théâtre devient un moyen de mieux comprendre et

Spontanément, on peut être tenté de définir la liberté comme le pouvoir de se déterminer sans aucune contrainte, d’agir comme bon nous semble, sans nous soucier des contraintes qui peuvent venir entraver notre action. On assimile alors la liberté à l’indépendance : être libre, ce serait ne dépendre de rien ni de personne, avoir toute l’attitude de se déterminer par soi-même. La liberté apparaît alors comme un pouvoir illimité. Cette définition de la liberté comme un absolu peut s’appliquer à cette notion

l’environnement, les décroissants conseillent d’abandonner l’avion. Pour les vacances, ils proposent de choisir des destinations plus proches et de voyager autrement (faire le trajet en vélo, camper, marcher en montagne). Pas de téléphone portable Selon les adeptes de la décroissance, le téléphone portable est un besoin artificiel créé par la société de consommation. Ils s’interrogent sur l’utilité d’un appareil qui permet d’être joignable partout et tout le temps. Ils favorisent l’utilisation des

............. Plans possibles : Axe 1 : Le monde fonctionne sans l’homme. Axe 2 : Mais, cette thèse est absurde, inacceptable. Axe 3 : Alors, le monde fonctionne selon et avec l’homme. .............................................................. Axe I : Le monde fonctionne sans l’homme. Axe 2 : le monde fonctionne selon et avec l’homme. Axe 3 : Alors, l’humain créé des mondes et est capable de leur imposer ses lois. ..................................................................

vision : simulatrice. Hystérie (utérus) chez les égyptiens, exprimé par les voies somatiques. Ce son des maladies psycho-somatiques, le malaise s’exprimer à travers le corps et la cause de ces troubles se situent dans l’âme. 1° L’appareil psychique Selon Freud, il se représente notre âme comme composée de 3 parties : Symptôme psychique : ex : angoisse forte et récurrent, crise de paranoïa. Etude du texte de Freud : L’inconscient : Correction : La raison pour laquelle la patiente est jalouse

faire plus douce. De passivité enfin : aussi industrieux, actif et entreprenant que je puisse être, je suis | |condamné à la passivité, du fait même que j’attends. Et voilà pourquoi il n’y eut peut-être jamais plus bel hommage à la | |liberté humaine que ce mot de Jules Lequier, qui disait : « Quand l’homme délibère, Dieu attend. » Oui, la puissance | |délibérative de l’homme contraindrait Dieu Lui-même à l’attente, c’est-à-dire à une forme d’impuissance, d’ignorance et de

naturelle et ordinaire, sans contention3 et artifice: car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre4 ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre : ce n'est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain5

naturelle et ordinaire, sans contention3 et artifice: car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre4 ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre : ce n'est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain5