La Litterature Pour Instruire

Raison et mesure Cela est marqué par une diérèse (= une syllabe compte pour 2) Le narrateur souligne des mots qu’il refuse : notion de déséquilibre 2) Il dénonce les vices humains : portée morale Les ambitions : Plaire (par le Bûcheron) et Instruire (par sa morale) 3) - Importance de l’Antiquité mise en évidence : les classiques. - Référence Grecque : Champ lexical de la mythologie (« Jupiter » ; « Olympe » ; « Dieu » ; « Hercule »...) - Fidélité aux Anciens : Imitation, La Fontaine

de plusieurs opinions et un point de vue personnel sur un thème. De plus, un essai offre un enseignement. C’est pourquoi il appartient au registre didactique. C'est Michel de Montaigne qui fut le premier à écrire un essai dans l’histoire de la littérature française en publiant Les Essais en 1580. L'essai est également un ouvrage traitant des grandes questions de la vie tels que l'amour, la mort, la justification de l'existence, le pouvoir, l'autre, la vie en société. Ce sont ces thèmes qui justifient

pour l’humanitée. Un principe [titre 3] Le principe est donc l’exercice de la raison, de l’esprit critique : « Cette raison approfondie et épurée que plusieurs ont répandue dans leurs écrits et dans leurs conversations, a contribuée beaucoup à instruire et à polir la nation : leur critique […] a détruit tous les préjugés sont la société était infectée » (Encyclopédie, article « Gens de lettres »). L’esprit des Lumières, qui refuse la soumission aveugle à l’autorité et l’adhésion à des croyances

pouruoi le fabuliste compare son art à l'art de la conversation pratiquer par les honnête homme dans les sallons aristocratiques. 3- La fontaine designe souvent Esope appelé « Esope le Phrygien » à qui on attribue la paternité de la Fable comme littérature ou genre littéraire. Jean de la Fontaine présente Esope « difforme, laid de visage, ayant à peine figure d'homme » et presque entièrement privé de l'usage de la parole dans la vie d'Esope le Phrigien. Il laisse cent vingt-sept fables en prose que

homonymes, voir Fable (homonymie). Illustration de Grandville pour le Loup et le chien de Jean de La Fontaine. La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique (qui comporte un enseignement, qui cherche donc à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement

charge par un récit édifiant. De plus, le récit possède un « pouvoir » de gaieté, de joie, d’humour qui amène à comprendre une leçon. En effet, au XIIIe et au début du XIVe siècle, ce sont le plus souvent des contes à rires qui s’opposent à la littérature de l’époque. Une histoire amusante est narrée éliminant tout détail gratuit. Ce sont des histoires qui sont construites de manières simples et efficaces permettant une lumineuse clarté par la brièveté et l’esthétique. Ainsi, on peut dire que le

appartenait à cet ordre qui va être élevée, Cécile Volanges, dans Les liaisons dangereuses de Laclos. Cette différence d’objectifs se devait probablement au fait que « Tout paraissait dangereux : la lecture et les langues étrangères, parce que la littérature romanesque enflamme l’imagination, les sciences, parce que elles font naître la curiosité et donnent les moyens de la satisfaire ; enfin les arts, parce qu’ils parlent directement aux sens (et surtout, curieusement, la musique, dont on a longtemps

théâtre est un art de la mimesis » Joelle Gadres-Tamine. Aucun siècle, n’est celui d’un seul genre en littérature toutefois il semblerait qu’a chaque siècle un genre prédomine ou est particulièrement florissant. C’est le cas de la poésie au XVIème siècle, de la littérature d’idée au XVIIIème siècle et du roman au XIVème siècle, le XVIIème siècle lui est communément surnommé dans la littérature française le grand siècle du théâtre ; époque le plus brillant de la tradition théâtral, de la représentation

; le dialogue (parfois dialogue philosophique, cf. Diderot, ou Sade) ; le théâtre (Marivaux, L'Île des esclaves). 3. Littérature et argumentation La liste des genres au travers desquels peut se déployer l'argumentation montre que celle-ci n'est pas réservée aux essais abstraits, aux traités théoriques, ou aux articles. L'argumentation a toujours été liée à la littérature, et en particulier à la fiction. En effet, pour transmettre une idée, pour convaincre et persuader, le style est un auxiliaire

d'Orwell) ; le dialogue (parfois dialogue philosophique, cf. Diderot, ou Sade) ; le théâtre (Marivaux, L'Île des esclaves). 3. Littérature et argumentation La liste des genres au travers desquels peut se déployer l'argumentation montre que celle-ci n'est pas réservée aux essais abstraits, aux traités théoriques, ou aux articles. L'argumentation a toujours été liée à la littérature, et en particulier à la fiction. En effet, pour transmettre une idée, pour convaincre et persuader, le style est un auxiliaire