La Logique De Performance De La Lolf

services de Bercy........................................37 IV - Les objectifs de la politique et les axes de l’évaluation ...............................................................................................38 A - Les objectifs de performance budgétaire.....................38 B - Les orientations stratégiques internes..........................39 C - Les axes de l’évaluation...............................................41 Chapitre II L’adéquation de l’offre de services...........

Aujourd'hui, le management des entreprises et des administrations parle d'"objectifs", d'"autonomie", de "participation", d'"épanouissement", de "logique compétence", d'"employabilité", suggère que tout le monde est responsabilisé, y compris les chômeurs. Le "pouvoir managérial des gestionnaires"(3) incite à l'investissement illimité de soi, au culte de la performance, à un climat de compétition généralisé. Tout ceci a un coût en terme d'épuisement professionnel, de stress, et de divers symptômes de ce

janvier 84 qui crée un nouveau statut pr les personnel des collectivités, jusqu’ici un seul statut : la fonction publique d’Etat, à partir d 84 pr que les collectivités aient + d’autonomie, on crée la FPT : fonction publiq territoriale 1986-92 Les logiques, les structures s’installent, phase de rodage, pas de remises en causes ms quelques ajustements : Loi du 13 juillet 87 qui renforce les pv exécutifs locaux Révision en 88 de la po régionale européenne qui amène une refonte des fonds structurels

MESURE DE LA PERFORMANCE DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQES EN REPUBLIQUE DE MADAGASCAR SELON LA METHODOLOGIE PEFA Mai 2006 Avant-propos Le PEFA (Public Expenditure and Financial Accountability – Dépenses publiques et responsabilité financière) est un programme de partenariat entre plusieurs institutions, qui est parrainé par : La Banque mondiale, Le Fonds monétaire international, La Commission européenne, Le Département pour le développement international du Royaume-Uni, Le Ministère français

du personnel appartenant à l’organisation et aura pour objet le suivi de performances économiques. Il s’agit de contrôler la gestion. Ce n’est pas quelque chose de totalement neuf, mais la nouveauté tient au fait que le contrôle de gestion devient une technique, avec son langage, qu’il fait l’objet d’une formalisation. On quitte donc le domaine du droit pour celui de l’efficacité économique, laquelle obéit à une logique différente1, pour celui du management. Il s’agit maintenant d’expliquer l’origine

suppression d’environ 34 000 emplois et une économie budgétaire de 950 millions d’euros environ. A terme, cette politique de réduction permettra de générer une économie d’environ 4 milliards d’euros sur la rémunération. Cette politique s’inscrit dans la logique de la révision générale des politiques publiques (RGPP). La RGPP a été mise ne œuvre à partir de juillet 2007 et a notamment pour objectif de réduire de façon significative d’ici 2012 le montant des dépenses publiques. Elle a été mise en œuvre au

présidait à cette opération, qui revêtait un caractère essentiellement formel. Depuis l’accès aux RCE, la dotation globale comprend l’ensemble des crédits de fonctionnement, y compris la part autrefois consacrée à l’investissement. Si cette évolution est logique au regard de l’autonomie des établissements, l’enveloppe financière n’est donc plus directement identifiée et sa préservation nécessite un transfert comptable en investissement, au moment du vote du budget. Pas plus aujourd’hui qu’hier, ces enveloppes

..................................................................................... 19 2.2.2. Redéfinir la ligne de partage des compétences entre acteurs locaux .................... 21 2.2.3. Approfondir l’intégration intercommunale dans une logique d’optimisation des dépenses du bloc communal .............................................................. 27 2.2.4. Diminuer le nombre de satellites et de démembrements des collectivités territoriales ........................................

construction de la cybernétique [5], envisage l’information comme l’outil de l’adaptation incessante des systèmes organisés (biologiques, techniques ou sociaux) à leur environnement. Elle permet en somme l’ajustement avec la réalité. Par ricochet logique, de telles théories allaient directement à l’encontre de la conception classique que se faisaient de l’information les économistes formés aux thèses de l’équilibre walrassien. Selon ce modèle théorique, l’agent économique agit rationnellement à tout

L’urbanisme des systèmes d’information ......................................................................................... 284 12 | PMI ou Prince 2 : la concurrence des standards en gestion de projet ....................... 289 13 | La performance RH : une gestion par les coûts et les objectifs ....................................... 295 14 | Les modèles de management : faire le lien entre identité, stratégie et outils de gestion ........................................................