La Loi Expression De La Volonté General Rousseau

 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TOUTES SPÉCIALITÉS CULTURE GÉNÉRALE ET EXPRESSION Cette part de rêve que chacun porte en soi PREMIÈRE PARTIE : SYNTHÈSE ( / 40 POINTS) Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants : Document 1 : Corinne Jouanno, "L’utopie, état de la question", Unicaen Document 2 : Diodore de Sicile, La Bibliothèque historique, livre II, Ier siècle av. J.-C. Document 3 : Claire Mélanie, "L’utopie : critiques des utopies"

la contrainte, c’est la manière dont je me lie moi-même. II- La conscience morale : faveur reçue ou savoir conquis ? A) Le savoir du bien : conquête de la raison théorique (Platon, Epictète) B) Le sentiment moral : un mouvement spontané (Hume, Rousseau) C) Le devoir : un fait de la raison à élucider (Kant) Passer de la conscience morale à la conduite morale, (et surtout l’auto-formation du caractère moral). III- La conversion morale : une responsabilité en première personne A) La vertu pratique

illusions.  Bonheur : (etym latin bonum augurium, « bonne chance », « bonne fortune »)       1) Sens ordinaire : Etat de satisfaction stable et complète, par opposition un plaisir, irrégulier et inconstant. 2) Philosophie : a) Chez les anciens en général : état de bien être et de plénitude qui constitue la fin, ou l’une des fins,  de l’action morale. La doctrine « eudémoniste » associe la vertu et le « Souverain Bien », c’est-à-dire le bonheur obtenu par la voie de la sagesse b) Chez Aristote : le

compléter les 2 cours d'histoire du 1er semestre. Ces cours ont permis d'appréhender la formation de la France sur le plan territorial mais étatique aussi avec l'émergence du pv royal et l'émergence d'une théorie royale, la formation du juridique (loi et coutume). Un aspect a été peu abordé : l'aspect social. La sté d'AR est défini par les ordres et se s'organise. par les privilèges. La révolution va tout remettre en cause. Le cours s'étend de la Révolution à nos jours = période contemporaine mais

morale, conscience psychologique [pic]  Le terme "conscience" peut sembler simple, car il est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent pourtant la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le "démon" l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. [pic]  La conscience morale implique

comprendre et pouvoir ainsi contribuer à le gérer en l’adaptant aux exigences du temps présent. La philosophie politique est donc un passage obligé et un atout pour tout étudiant se destinant à servir ses concitoyens en servant l’Etat. Objectif général : Ce cours vise à introduire les étudiants en sciences politiques dans la riche pensée des hommes qui veulent comprendre leur vie en communauté. Après une approche introductive sur la société, nous entrerons dans une réflexion sur l’Etat en deux

Inspection générale de l’Éducation nationale LES SUJETS DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT 1996 – 1997 – 1998 š› š› Christiane MENASSEYRE Doyenne du groupe de Philosophie Juin 1999 BACCALAUREAT GENERAL Série Economique et Sociale 1996 š› š› SERIE ECONOMIQUE ET SOCIALE : Groupement 1 – Session Juin 1996 Peut-on être plus ou moins libre ? A quelles conditions une démarche est-elle scientifique ? Dégagez l’intérêt philosophique du texte suivant en procédant

on peut considérer que le droit s’est développé et spécialisé comme la médecine. On parle des droits car il y a plusieurs branches du droit et il est bien difficiles de connaître toutes les spécialisation du droit même si « nul n’est censé ignoré la loi ». Mais on constate une multiplication des textes donc très difficile de connaître les spécialisation. Droit qui se juxtapose, on ajoute des règles sans en supprimer d’autres. Difficulté d’interprétation du droit même pour spécialistes. Introduction

monarchie La théorie de la monarchie absolue = monarchie pure fut dégagée en France à partie des idées d'un juriste du 16e siècle, Jean Bodin. En 1576, Jean Bodin avait publié une œuvre majeure : 6 livres de la République, il proposa une définition générale de la souveraineté, sachant que pour Bodin la souveraineté se définit comme une puissance perpétuelle et absolue. Elle est perpétuelle en ce sens qu'elle ne disparaît pas à la mort du chef de l'état, elle se transmet de manière continu à son successeur

Union pour la Nouvelle République). Même si cette assimilation des III° et IV° républiques est excessive, il est néanmoins possible de dégager des traits communs que l’on a souvent regroupés sous la dénomination de “ régime d’assemblée ”. Cette expression qui vaut plus d’ailleurs pour la IV° que pour la III° recouvre un déséquilibre des institutions. Cependant, cette approche institutionnelle n’est que partielle : elle n’explique pas pourquoi les deux républiques ont connu une fin tragique alors