La Loi Khi Deux

usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.4.1 La loi binomiale B(n, p) . . . . . . . . . . . . 1.4.2 La loi hyperg´om´trique H(N, n, p) . . . . . e e 1.4.3 La loi de Poisson P(m) . . . . . . . . . . . . 1.5 Lois continues usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5.1 La loi normale (Laplace-Gauss) N (µ, σ) . . . 1.5.2 La loi du Khi-deux ` n degr´s de libert´ (χ2 ) a e e n 1.5.3 La loi de Student ` n degr´s de libert´ (Tn ) . a e e 1.5.4 La loi de Fischer-Snedecor (F(n1 , n2 )) . . . . 5 5 5 7

1-(u/2) F(u) = 0,995 <=> u = 2,57 (voir table de la loi normale) Ce qui nous fais donc : IC1% = [m-u*(s/sqrt(n)) ; m+u*(s/sqrt(n))] I1%C = [184,1-2,57*(6,1/sqrt(50)) ; 184,1+2,57*(6,1/sqrt(50))] IC1% = [181,85 ; 186,27] Nous avons donc 99% de chance d’avoir un montant moyen dépensé par client du fournisseur A compris dans cet intervalle. Avec α=5% : F(u) = 1-(u/2) F(u) = 0,975 <=> u = 1,96 (voir table de la loi normale) Ce qui nous fais donc : IC5% = [m-u*(s/sqrt(n))

limité de cas, conduite par entretiens approfondis, à l’approche quantitative avec étude statistique, réalisée sur un grand nombre de cas (logique de grands échantillons) et à partir d’un questionnaire fortement structuré. Où situer la nuance entre les deux? Nous répondons schématiquement à la question.ETUDE QUALITATIVEVERSUSETUDE QUANTITATIVE- Approche intensive- Approche extensive- Structuration minimum- Structuration maximum- Entretien ouvert sur un thème- Questionnaire standardisé- Pas de questions

. . . . . . . . . . . . . . e 1.4.1 La loi binomiale B(n, p) . . . . . . . . . . . . 1.4.2 La loi hyperg´om´trique H(N, n, p) . . . . . e e 1.4.3 La loi de Poisson P(m) . . . . . . . . . . . . 1.5 Lois continues usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5.1 La loi normale (Laplace-Gauss) N (µ, σ) . . . 1.5.2 La loi du Khi-deux ` n degr´s de libert´ (χ2 ) a e e n 1.5.3 La loi de Student ` n degr´s de libert´ (Tn ) . a e e 1.5.4 La loi de Fischer-Snedecor (F(n1 , n2 )) . . . .

débute toujours par des constats. Ces constats portent soit sur des opportunités à saisir (cas de la conquête d’un nouveau marché par exemple) ou soit sur certaines menaces pesant sur une entreprise (cas d’un repositionnement de produit). Dans les deux cas de figure, les responsables du projet d’étude détiennent une idée suffisamment claire des motivations de leurs travaux. Ces motivations constituent donc les principaux objectifs à atteindre. En effet, tout travail d’enquête est guidé par

Estimation PREMIERE PARTIE THEORIE D’ECHANTILLONNAGE Adil EL MARHOUM Page 2 Cours Echantillonnage et Estimation THEORIE D’ECHANTILLONNAGE I. Rôle de l’échantillonnage Lorsqu’on souhaite collecter les informations sur une population, deux possibilités s’offrent : La première solution consiste à observer ou interroger tous les éléments de la population, c’est ce qu’on appelle une enquête complète ou enquête exhaustive ou recensement. La seconde solution consiste à observer ou interroger

Ces forêts sont gérées par l’Office national des forêts (ONF) et remarquablement exploitées. Il n’en est pas toujours de même des quelque onze millions d’hectares restants, qui sont entre les mains de 3,8 millions de propriétaires privés dont les deux tiers possèdent moins d’un hectare. b. La pêche : Avec des livraisons annuelles d’environ 918 000 tonnes, la France se place au quatrième rang de l’Union européenne derrière le Danemark, l’Espagne et le Royaume-Uni. La pêche artisanale rassemble

des systèmes ouverts Notions sur les phénomènes irréversibles ; phénomènes de transport ; diffusion de particules ; loi de Fick ; conduction de la chaleur ; loi de Fourier III - Optique Optique de Fourier : formation des images - cohérence - holographie – lentilles Spectrométrie : prismes et réseaux Polarisation de la lumière : pouvoir rotatoire, loi de Malus, loi de Brewster, loi de Biot Optique géométrique : indice d'un milieu ; réflexion ; réfraction, dispersion ; lois de Descartes Miroirs ;

institution financière. Aussi, l’intérêt porté à la défaillance provient des coûts substantiels de ces faillites : pertes financières, pertes de compétitivité de l’industrie, déstabilisation du système économique … Ce chapitre sera divisé en deux sections : la première portera sur le risque de crédit en analysant son influence sur la banque et en évoquant également les moyens traditionnels pour faire face à ce risque, et dans une seconde section, nous allons introduire la défaillance, ses causes

EXEMPLE ET DÉMARCHE : Les lieux de cultes dans la ville de Charleroi C’est une enquête dans la mesure où cette recherche est commanditée par les intéressés c’est-à-dire la ville et les évêchés de Charleroi. Dans cette enquête, il faut s’interroger sur deux versants : d’une part les lieux de culte et de l’autre part, la ville de Charleroi. Les lieux de cultes : En Belgique, on a un système qui garantit la liberté de culte, on a une série de religions qui sont reconnues par l’Etat. Pour qu’une religion