La Légitimité Du Controle De Constitutionnalité Des Lois Cours

des 3/5ème des suffrages exprimés 2. La primauté du pouvoir exécutif. Le renforcement de la fonction présidentielle. Président de la République élu par un collège élargi de notables détenteurs d’un mandat électif (80 000 personnes)  Plus grande légitimité 6 novembre 1962 : révision constitutionnelle qui instaure l’élection du président de la République au SUD Le renforcement de la fonction gouvernementale. Premier ministre choisi par le Président de la République  indépendance de Matignon à l’égard

plus en plus de rapprochement entre ces deux models. Le premier est représenté essentiellement par le model americain. Le second est représenté par le model européen. Dans une décision du 10 decembre 2009 , le conseil constitutionnel a admit la constitutionnalité de la loi organique relative a l'application de l'article 61-1 de la constitution. Il a toute fois emit un certain nombre de réserve. Section

mesure où elle est simplement de nature administrative et financière. Elle ne présente aucun caractère politique, c'est-à-dire que les collectivités territoriales ne sont pas habilitées à exercer la souveraineté et n’ont pas le pouvoir de faire les lois. Plus modestement, ces collectivités territoriales disposent d’un pouvoir réglementaire que l’on peut qualifier de finalisé et de doublement subordonné. En effet, non seulement les collectivités territoriales ne peuvent édicter de règles qu’en

démocratique...................................................................................6 La dévolution démocratique du pouvoir politique............................................................................................6 Le choix de la légitimité démocratique.......................................................................................................6 La justification politique de l'autorité publique..............................................................................

l'Etat et le pouvoir politique avaient une mission sacrée. Les monarques devaient faire régner l'ordre sur les hommes corrompus. De ce fait, les autorités spirituelles avaient une puissance importante et beaucoup de prétention notamment celle de contrôler les gouvernants et plus largement la société toute entière. Elle contrôlait tous les aspects de la vie publique : l'enseignement, l'état civil, la justice… La plupart du temps, au Moyen-âge, la violation des règles religieuses était directement sanctionnée

juridiques (par exemple, des tribunaux d’exception) lui permettant d’assurer le retour de l’ordre en Algérie. De plus, la décision de recourir à l’article 16 et les actes législatifs du Président pendant sa mise en oeuvre ne font l’objet d’aucun contrôle juridictionnel. Dans un arrêt du 2 mars 1962 (arrêt Rubin de Servens), le Conseil d’Etat a noté que la décision présidentielle de mettre en oeuvre l’article 16 était un "acte de Gouvernement" (c’est-à-dire un acte insusceptible de recours juridictionnel)

Pouvoir exécutif (exécuter les lois) - Président + premier ministre Le Président signe les ordonnances (héritières des décrets-lois des Républiques précédentes. 1986-1988: Pendant la première cohabitation, le Président à refuser sa signature à trois reprises. On a donc cru que la constitution ne fixait aucun delai pour la signature des ordonnances. Pouvoir législatif (voter les lois) - Parlement = Sénat + Assemblée Nationale Le Président promulgue les lois (article 13), Par la promulgation

institutionnels "J'appelle faculté de statuer, le droit d'ordonner par sois-même, ou de corriger ce qui a été ordonné par un autre. J'appelle faculté d'empêcher, le droit de rendre nulle une résolution prise par quelque autre" (Montesquieu, De l'esprit des lois, 1748). Nous distinguerons les rapports de sujétion(soumission) et les rapports de collaboration. Seul les rapports juridiques entre les organes de l'Etat, c'est a dire ceux qui s'exercent sur le fondement d'une norme et par le moyen d'un pouvoir normatif

juridictionnel français comprend des juridictions de recours en la Cour de cassation et en le Conseil d’Etat en dernier ressort sur les questions de droit. Cette conception tend à évoluer depuis 2008 et l’introduction de la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) qui étend ainsi les droits de recours des justiciables mais également les compétences de jugement du Conseil constitutionnel qui peut être saisi aussi bien a priori qu’à posteriori avec l’introduction

c'est à dire un état dans lequel l'ensemble des organes de pouvoirs tirent leur légitimité à la fois de l'élection (désignation par le peuple) et du contrôle de leurs actes, de leurs décisions par rapport aux règles de droit existantes telles qu'elles sont fixé dans la Constitution et notamment celle qui protège les droits et libertés des citoyens. - La limitation du pouvoir Montesquieu écrit dans l'esprit des lois en 1748, monarchie absolue “tout homme qui à du pouvoir est tenté d'en abuser”