La Machine Infernale Tragique

Anna Karénine (1877), pp. 174-175 – Edward Bond, Rouge noir et ignorant (1985), pp. 194-195 • Le théâtre moderne du xxe siècle : – Jean Genet, Les Bonnes (1947), pp. 138-139 – Samuel Beckett, Fin de partie (1957), pp. 140-141 – Jean Cocteau, La Machine infernale (1934), pp. 190-191 – Jean-Paul Sartre, Les Mouches (1943), pp. 192-193 – Edward Bond, Rouge noir et ignorant (1985), pp. 194-195 • Faire lire aux élèves, dans le cadre des groupements de textes, des textes appartenant à la littérature contemporaine

Karénine (1877), pp. 174-175 – Edward Bond, Rouge noir et ignorant (1985), pp. 194-195 • Le théâtre moderne du xxe siècle : – Jean Genet, Les Bonnes (1947), pp. 138-139 – Samuel Beckett, Fin de partie (1957), pp. 140-141 – Jean Cocteau, La Machine infernale (1934), pp. 190-191 – Jean-Paul Sartre, Les Mouches (1943), pp. 192-193 – Edward Bond, Rouge noir et ignorant (1985), pp. 194-195 • Faire lire aux élèves, dans le cadre des groupements de textes, des textes appartenant à la littérature

Séquence 3-FR01 3 © Cned – Académie en ligne Chapitre 4 > La parole, plutôt que l’action A B C Quel dialogue ? Raconter des histoires Le problème de la signification Chapitre 5 > Quelle théâtralité ? A B C Comique ou tragique ? La mise en abyme du théâtre Mettre en scène Lexique 4 Séquence 3-FR01 © Cned – Académie en ligne ntroduction A Édition recommandée Nous nous reporterons dans ce cours à l’édition de poche : Samuel Beckett, Fin de partie, Éditions

c’est la seconde vague des oiseaux de mort qui arrive.» Elle survient comme l'orage et achève par le fer, le feu, et le plomb la destruction complète de Royan, restée presque intacte jusque là, et de ses habitants. Tout s'écroule dans un vacarme infernal de ferrailles tordues, de pierres et de meubles brisés... qui se répercute en écho sinistre par-dessus la mer jusqu'à la pointe de Grave où les témoins impuissants restent terrifiés... On entend des cris horribles, des plaintes, des appels pendant

soit envisagé, à partir de réalisations concrètes et durables, l'avenir proche ou lointain. Qu'une crise grave vienne à menacer le pays et le peuple considérés, une occupation étrangère par exemple, l'on assiste aussitôt à la mise en branle d'une machine de propagande. L'exhumation du passé cesse d'être la tâche des seuls professionnels : hommes politiques, agitateurs et propagandistes de tous bords, simples gens du peuple et même les maisons de la divinité – tout ce qu'il y a d'orgueil national –

en 1931. Elles sont contraintes faute de liquidités de refuser de nouveaux prêts bancaires à ceux qui dans un premier temps sont marginalement touchés par la crise (agriculteurs, commerçants). L’arrêt du crédit à la consommation provoque un cycle infernal où la crise nourrit la crise et où tout s’effondre comme un château de cartes : 30 monnaies doivent être dévaluées. 4 3) 1973 où l’entrée dans les Trente Piteuses (N.BAVEREZ) de la croissance molle. Un faisceau de causes explique cette crise

bouillonne, il exulte.Mais c’est un crépuscule.Les arbres vibrent,Vêtus de vert,Ivres de fleurs.Mais c’est ténèbre.Partout mille âmes se réveillent ;Mille oiseaux croisent dans le ciel,Chantent sans fin leur symphonie.Mais la nuée les engloutit.La machine ennemie s’abat sur le pays.Une agonie secoue les décombres de nuit,Sourd, gronde, grince, crie : où est la vie enfuie ?L’heure de la mort sonne, et personne ne prie.AnalyseDans cette poésie l’auteur essaye de faire retranscrire le temps qui passe

l’hygiène. Se laver = inutile pdv santé, mais important car symptome vitalité, nécessaire pr survie morale. Au debut : le sens de la propreté l’avait abandonné. Il n’y voyait pas l’utilité. Discours de Steinlauf : parce que le Lager est une monstrueuse machine à fabriquer des bêtes, que nous ne devons pas devenir des bêtes, puisque même ici il est possible de survivre, ns devons vouloir survivre pr témoigner, et pour vivre il faut sauver la forme de civilisation. « Voués à une mort presque certaine, mais

présent. Ces écrivains ne sont pas des prophètes mais ils expriment à quel point toute société totalitaire peut être dangereuse. En conséquence, on peut envisager l'hypothèse suivante: l'utopie incarne la cité parfaite et l'anti-utopie la cité infernale. L'anti-utopie souligne la nature pécheresse et faillible de l'homme, et se montre pessimiste envers les possibilités de salut offertes par la société. Les anti-utopistes ont pris le rôle de défenseurs de l'humanisme. On retrouve une intention destructrice

lui qui souhaite être plus qu'un homme et se distinguer ainsi de cette affreuse masse grotesque que sont les autres, ne peut échapper aux sentiments premiers et communs à tous. C'est parce que Mabuse tombe amoureux de la comtesse que la parfaite machine huilée qu'est l'organisation de son existence se met à battre de l'aile. Lui qui souhaiterait avoir la maîtrise totale est pris par des sentiments qu'il ne peut contrôler et dont il ne peut se défaire. Parce que la banalité humaine pointe le bout