La Machine Infernale Tragique

généralement puiser leurs sujets dans la mythologie antique. La tragédie au XXe siècle Au XXe siècle, des auteurs français comme Jean Giraudoux (La guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935 ; Électre, 1937), Jean Cocteau (Antigone, 1922 ; La Machine infernale sur Œdipe, 1932), et Jean Anouilh, mais aussi Bertolt Brecht en Allemagne (Antigone, 1948), reprennent à nouveau les mythes grecs, mais en les adaptant généralement à leur époque . Ils montrent que les grands mythes antiques sont intemporels

Hamlet, une œuvre de William Shakespeare, La machine infernale de Jean Cocteau et une bande dessinée qui parodie Hamlet, réalisée par Gotlib et Alexis. Il s’agira ici de montrer sur quels procédés principaux repose la parodie dans le texte de Jean Cocteau et dans la bande dessinée de Gotlib et Alexis. Dans ces deux parodies, nous pouvons noter la présence de comiques relatifs au théâtre comme le comique de situation. En effet, dans La machine infernale, le comique réside dans la situation du fantôme :

succèdent : dès l'acte III, le ton change entre Œdipe et Tirésias, pour devenir tragique à lacte V. - Œdipe est un piètre héros, mari-enfant, père assisté. Le mythe est démythifié car Cocteau veut montrer un personnage plus humain que celui du mythe, plus maladroit et faible. Ainsi le spectateur peut s'identifier plus facilement à Œdipe et ressentir de la pitié. La terreur est totalement gommée de la Machine Infernale. - Laïus est présenté comme un fantôme ridicule et dérisoire qui cherche en

réactions opposées par rapport à leur destin. * Machine infernale = Fuite * Guerre de Troie n’aura pas lieu = Affrontement * P 3 : Dans les deux textes, le destin est en l’homme. * Machine infernale = individuel * Guerre de Troie n’aura pas lieu = collectif * P 4 : Dans les deux textes, le thème du destin, tragique en son essence, est présenté avec humour. * Machine infernale = burlesque, grotesque, donc on insiste sur le pathétique

Analyse et critique du livre "La Machine infernale" La Machine infernale est une pièce de Jean Cocteau, parue en 1932. Il s'agit d'une réécriture très libre et très moderne du mythe d'Oedipe hérité de Sophocle: l'histoire d'un homme qui, sans le savoir, tue son père et épouse sa mère, en dépit des efforts des différents personnages pour échapper à cette fatalité. Résumé de la pièce Le premier acte est précédé d'un Prologue récité par "La Voix", qui reprend les éléments principaux du mythe

Vocabulaire les montre soumis, en position d’infériorité. Ils sont constamment dominés par les énormes machines= montre la faiblesse des enfants V.5-6 : “vont”= présent d’habitude et tous les autres mots insistent sur l’action répétitive= insiste sur la durée et la répétition de la tâche infernale (peut penser au travail à la chaîne) “de l’aube au soir”= rappelle les “quinze heures” du vers 4 Adverbe hyperbolique “éternellement”

fascisme. En 1952, il réalise son dernier chef-d’oeuvre, le tragique ‘Limelight’. Entre-temps, ses sympathies communistes inquiètent le CIA, qui le force à un exil européen. Il réalisera deux dernier films, dont un colorisé, avant de s’éteindre, célébré comme un génie du cinéma. II.Description : Dans cet extrait, Charlot est aux prises avec une machine effrayante, aux engrenages gigantesques. La machine dicte une cadence infernale, déshumanise les individus dont le comportement s'apparente

(1889-1963), La Machine infernale (1933). Jean Giraudoux (1882-1944), La Guerre de Troie n’aura pas lieu (1935). Henri de Montherlant (1895-1972), La Reine morte (1942). Jean-Paul Sartre (1905-1980), Les Mouches (1943). Jean Anouilh (1910-1987), Antigone (1944). Albert Camus (1913-1960), Les Justes (1949). Eugène Ionesco (1909-1994), La Cantatrice chauve (1950). Samuel Beckett, (1906-1989), En attendant Godot (1953). Jean Genet (1910-1986), Les Bonnes (1947). 1900-1945 : du comique au tragique  La comédie

suis entourée d'objets qui me détestent" b) Le rôle dramaturgique des objets L'écharpe et la broche sont bien plus que des accessoires de la parure féminine, ils sont investis de différents rôles et participent à la mise en place de la tension tragique. L'écharpe rouge est d'abord un objet qui suscite la peur, l'angoisse de Jocaste : "je la crains". Cette domination engendre une relation d'agressivité et se traduit par le champ lexical de la violence physique comme en témoignent les verbes

d’ensemble : - Caractéristiques de la Tragédie Classique : équilibre et parallélismes - Du mythe à la tragédie antique et à Racine : le travail de l’écriture - les thèmes, le héros tragique : fatalité et tiraillement  - Caractéristiques d’un genre et d’un registre, le tragique. - Les figures de style. - Les mythes antiques revisités par la tragédie du XXº siècle [pic] [pic] OBJET D’ÉTUDE 1 :