La Machine Infernale

endormie » qui permet un jeu de contrastes entre l'obscurité et la lumière : caractère très visuel et presque cinématographique -cadre sonore : contraste silence de la ville et bruit des machines (imprimant texte de propagande) -focalisation omnisciente/zéro pour la description de la ville dans un paysage infernal qui justifie leur mouvement révolutionnaire -puis focalisation interne : « il se souvint » et « purgatoire » qui traduit une interprétation subjective présentée comme une ville de damnés

à avoir des repères, à reconnaître l’espace et semble perdu « sans qu’il comprit » : aspect mystérieux de la « nuit » et de la « fumée » qui accompagne cette « apparition fantastique ». Personnification : la « voix » et la « respiration » de la machine que l’on ne « voyait point », comme un monstre tapi dans l’ombre, prêt à dévorer sa proie = les mineurs ? B. Dimension symbolique On s’attend à un printemps, on a une sorte d’hiver. On s’attend à un espoir, on plonge dans le noir…. Quand les

est celle des ‘’Etoiles’’, au sein de la prodigieuse architecture Universelle, ils en existent de toutes sortes, de touts types. Les étoiles sont de fantastiques sphères de plasma en fusion ou il y règne une activité chimique et une température infernale. Vue de la Terre, durant la nuit, elles nous apparaissent comme de minuscules points lumineux pas plus gros qu’une tête d’épingle. Mais il est une étoile dans l’Univers qui ne nous est pas étrangère, cette étoile est bien entendu le Soleil, elle

Goddar (1910-1990) Synopsis : Ouvrier dans une usine dont le patron teste de nouvelles techniques visant à améliorer la productivité, Charlot (Charlie Chaplin) perturbe la chaine de montage par sa distraction. Rendu fou par la cadence infernale des machines, il est hospitalisé. A sa sortie, il est pris pour un meneur de manifestation et est arrêté. Libre, il fait la rencontre de la Gamine (Paulette Goddard), une jeune orpheline, qui vole de la nourriture pour ne pas mourir de faim. Les deux

leurs conséquences pour notre société. Squid Game explore toute la palette des sentiments et des valeurs humaines. L’histoire est apparemment simple, celle de personnes sans argent et au bord du désespoir qui se retrouvent à l’intérieur d’une machine infernale qui, à travers des « Jeux d’enfants », promet de leur donner ce qu’ils ont toujours voulu et qui « devrait » changer leur vie pour le mieux : de l’argent, mais au-delà de la simplicité, il y a beaucoup plus. Et c’est ainsi que des êtres

d’Isabelle Huppert, Diderot, Peter Brook - Lectures cursives (2 lectures imposées) : Série 1 : choisir entre Le mariage de Figaro de Beaumarchais ; L'île des esclaves de Marivaux ; Les fourberies de Scapin de Molière Série 2 : choisir entre La Machine infernale de Cocteau, Les Mouches de Sartre, Electre de Giraudoux et Antigone d'Anouilh Activité : Recherche internet sur le théâtre (fonction, représentation, histoire, lieu et gens du théâtre) Vidéo : Mise en scène de l’Atelier, par Gildas Bourdet

Chapitre I Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin… C'était la belle chambre de l'hôtel, la chambre du premier, qui donnait sur le boulevard Extrait 2 Chapitre II Et elle se leva….-"  C'est bête, ça me fait froid, cette machine... la boisson me fait froid... " Extrait 3 Chapitre IV Coupeau terminait alors la toiture… là-bas, sous lui. Extrait 4 Chapitre VI C'était le tour de la Gueule-d'Or… ses révérences de grande dame. Extrait 5 Chapitre VIII La nuit

Composition Le début de l’évolution technique est venu d’Angleterre, berceau de la première révolution industrielle. Le premier fruit de cette évolution est l’œuvre de James Watt qui en 1769 inventa la machine à vapeur qui permit des faires de grands progrès techniques dans de nombreux domaines (transports, industrie…). Cette vague d’innovation traversa toute l’Europe dont la France qui fût aussi une place forte dans cette révolution à subit des progrès techniques et des mutations

d’automatiser et accélérer les gestes. Elle aboutit au travail à la chaine, innovation de Ford, appliqué à partir de 1913 dans ses usines. Au début du siècle, cependant, les machines ne réalisent que des opérations simples : l’homme est irremplaçable pour les manipulations complexes. La chaîne contraint ainsi l’homme à adopter le rythme de la machine. G.FRIEDMANN caractérise ainsi cette décomposition du processus du travail en tâches élémentaires. Selon lui, on a là un mouvement général de déshumanisation,

de production capitalistes, et notamment dans le sweating-system. Faute d'économies suffisantes, les couturières à domicile ne purent pas acheter de machines et elles subirent la concurrence d'ouvroirs équipés en machines. Beaucoup de couturières se retrouvèrent ainsi au chômage. Puis se mit en place un système qui combinait le travail sur machines à coudre dans de petits ateliers, et un travail manuel à domicile. Les couturières retrouvèrent alors du travail, assuré par le développement de l'industrie