La Machine Infernale

vivra en communion avec la nature, au rythme qu’elle suit paisiblement depuis 21 siècles et elle ne s’en fatigue pas. L’homme au contraire s’épuise face aux accélérations de la vie. On est souvent traité de fainéant lorsqu’on ne suit pas une cadence infernale commandée par la société pressée. En réfléchissant en toutes connaissances de cause, aller moins vite est souvent, pour ne pas dire toujours, signe de production égale et de qualité supérieure. De plus, la lenteur nous incite à réaliser

faucheuse => transformation et métamorphose typique du baroque. Statue qui arrive de nulle part => Univers fantastique -Didascalie finale montre l’utilisation d’effets spéciaux:tonnerre, grand bruit, grands éclairs, spectacle pyrotechnique. Pièce à machine, rappel du « Deus ex machina » antique, qui apportait le dénouement avec une nacelle déposée sur la scène par des poulies et un dieu qui résolvait tous les conflits -Encore apport baroque contre la vraisemblance du classicisme => le dénouement ne

domaine : dans celui du travail, la tâche humaine sera considérablement allégée : les machines font de véritable miracles : elles peuvent produire en très grande quantité et cela en très peu de temps. Dans les foyers, la technique est source de liberté : par exemple elle libère la femme au foyer de ses tâches domestiques les plus lourdes  (elle n’a plus à laver les vêtements à la main puisqu’il existe la machine à lavée par exemple). Elle peut alors revendiquer son égalité et son indépendance. Elle

fait au sein des sociétés féodales mais comme elle était plutôt primitive, ils ont du s'agrandir pour continuer la croissance éco. Tandis que les marchés s'agrandissent, les besoins sont en croissance aussi. Pendant la révo indus, il y a usage de machines qui commencent à remplacer les ouvriers, pour que l'industrie reste en concurrence il y a révo permante des moyens de production et donc des rapports de production. Dans toute la société et plus que le travail. La stabilité de lla hiérarchie était

Nous savons tous que les hommes se sont toujours battus pour les ressources naturelles, quitte à en faire payer de nombreux innocents quand ceux si se sont livré une guerre infernale comme en Sierra Leone, dont il est question dans le film que nous avons visionné en classe, pour les diamants. La conquête du diamant n’échappe pas à la règle de ces guerres sanglantes et sans pitié. Pendant de nombreuses années, les autorités gouvernementales et les rebelles se sont livrés des combats sanglants, tuant

périmètre tout les moyens possibles pour détruire l’adversaire. *On ne voit aucun soldat. Les hommes sont enfouis sous un déluge d’acier infernal. Mise en perspective : Fernand Leger pousse cette démarche à fond, en ne montrant de Verdun que des images géométriques et chaotiques sans perspective, dans lesquelles les soldats sont devenus les robots d’une guerre-machine.

Exposition indispensable pour la compréhension de la pièce et de leur destin. Cette scène d'exposition ouvre sur une attente. De plus, elle diffère de son modèle antique. On peut établir un parallélisme avec le mythe du XXème siècle dont : La Machine Infernale de Cocteau.

BruitLe bruit, qu’il soit sonore ou visuel, est omniprésent dans les pays occidentaux. La technologie est une cause importante de ce bruit quotidien. Les gadgets modernes, tels que la télévision ou la machine à laver, peuvent rendre infernale l’atmosphère la plus silencieuse qui soit. Pourtant dès qu’un moment de « vrai » silence survient, au lieu de le voir comme un espace à soi, on le comble par du bruit. Mettre un fond sonore est une habitude, une façon de masquer le silence qu’on n’a jamais

d’intermédiaire entre les personnages et le public afin de l’encourager à se servir de sa propre imagination pour se représenter Œdipe mutilé et Jocaste morte. Le dénouement a été revisité de nombreuses fois, notamment par Cocteau dans son œuvre La Machine Infernale. Ces différentes œuvres offrent aux spectateurs une vision plus large et n’auront pas la même représentation selon ce qui leur sera dit. On pourrait alors se lancer dans une étude afin de voir dans laquelle de ces œuvres la théâtralisation constitue

disparités sociales ainsi que les inégalités et les injustices que la formidable expansion économique entraîne avec elle. La réalité contemporaine chinoise est, aussi et surtout, celle des ouvriers et paysans soumis au régime et à sa machine économique infernale qui ne tolère pas les écarts et les revendications sociales. On peut prendre comme exemple les « mingongs », ces paysans migrants qui errent à travers le pays à la recherche d’un travail mal payé et des conditions de vie très précaire.