La Manuel D Epictete

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revanche ce qui dépend de nous ce sont les jugements que l’in porte sur ces événements. La façon dont nous mourront ne dépend naturellement pas de nous, mais notre attitude vis-à-vis d’elle, oui. C’est ainsi que dans les premières pages de son Manuel, Epictète exhorte à l’homme de cesser de désirer vouloir changer les événements afin de vouloir ce qui arrive et d’être libre. Ainsi détacher notre volonté, des choses extérieurs nous permet de supporter notre liberté, non pas en s’en détournant mais

d'abord bien réaliser que l'existence,inexorablement,n'a lieu qu'une seule fois, pour pouvoir la fêter dans ce qu'elle a d'irremplaçable et d'unique".( Hoffman) le stoïcisme - Xénon à la fin du 5ème siècle avant J.C.; principaux stoïciens: Sénèque, Epictète, Marc Aurèle. Le stoïcisme constitue un dogme selon lequel le bien moral passe par une prise de conscience du tragique de la vie humaine.Pour les Stoïciens, les causes extérieures nous déterminent de manière inexorable: "toute notre vie nous échappe"

hommes, aucun homme ne nait parfait et s'il ne désire pas, il ne pourra pas tendre vers quelque chose de meilleur. b. Le concept de volonté. Le désir est certes conscience, mais plus précisément conscience raisonnable. _Dans son Manuel, le Stoïcien Epictète explique que nous devons cultiver notre volonté contre les désirs indésirables, ceux dont le caractère illimité n'engendrera que folie et souffrance. L'homme a la capacité de contrôler ses tendances. Certaines choses ne dépendent pas de

n’hésitent pas a définir la liberté comme l’acceptation des contraintes ou des nécessites extérieures comme la soumission entière de la volonté au contrainte du monde dans lequel nous vivons. C’est le cas par exemple du philosophe stoïcien Epictète qui affirme dans son manuel « la liberté consiste à vouloir que les choses arrivent non comme elles te plaisent mais comme elles arrivent » Notre sol est véritable liberté serait donc de comprendre et d’accepter le fait que nous ne faisons pas ce que nous voulons

stoïciens la vrai liberté ne dépend pas des conditions extérieures. Ainsi, l'homme aurait une entière liberté de penser et de vouloir peu importe les conditions extérieures à lui. On parle donc ici de la liberté stoïcienne que défend Épictète dans son œuvre intitulé Le manuel. Au sein de la société l'homme exerce sa liberté grâce à sa raison, à son autonomie et à sa responsabilité peut importe les conditions extérieures, il demeure un être libre dépassant ainsi toutes formes de déterminisme. Conclusion:

faut donc se contenter de peu pour accéder au bonheur. La vision stoïcienne se rapproche de cette idée. Comme dit Epictète : « La liberté consiste à vouloir que les choses arrivent non comme il te plait mais comme elles arrivent. ». L’homme est libre quand il accepte l’ordre du monde, non lorsqu’il plie l’ordre du monde à ses désirs. De plus, dans son Manuel, Epictète dit « L’homme qui n’est sujet à aucune entrave est libre ». Cependant, l’homme qui est affranchi de toute entrave n’est

toujours possible de ne pas obtenir ce qu’on désire. Peut-on obtenir ce qu’on veut ? On peut à la manière stoïcienne distinguer entre la volonté qui a pour objet ce qui arrive et le désir qui vise à ce que ce qui arrive se conforme au désir (Épictète, Manuel). Dans le second cas, l’événement peut ne pas se conformer au désir. Le bonheur est, sinon impossible, disons aléatoire. Dans le premier cas, l’événement est toujours conforme à la volonté. En ce sens, la liberté entendue comme volonté de ce

soit devant toi. » Manuel Épictète. Il faut voir le plat comme un événement de notre vie. Ces événement il faut les vouloir. Ce qui est très difficile. Si l'on suit cette doctrine il faudra toujours ce poser la question Est- ce que cela dépend de moi. Et ensuite juger cet événement on est dans une sorte de résignation ou plutôt une acceptation active qu'on pourrait aussi extrapoler au bonheur. Chez Épictète agir de manière convenable est un devoir. En somme le bonheur chez Épictète c'est le devoir

de bien user de sa pensée afin de se faire une idée juste de ce qu'est le bonheur et se représenter les voies qui y mènent. Cette toute puissance de la pensée de l'homme, le stoïcisme en fait la base de sa morale : comme nous le rappelle Épictète dans son Manuel, « Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les jugements qu'ils portent sur ces choses. » La clef du bonheur n'est donc pas dans une course effrénée à la suite des désirs, accompagnée d'une fuite devant les douleurs