La Methode Pert

exhaustif soit effectué et qu’un ensemble de normes générales soit publié relativement à l’industrie extractive. L ’IFRS 6 permet à une société minière de choisir, à titre de méthode comptable, soit de passer immédiatement en charges les dépenses d’exploration et d’évaluation, soit de capitaliser ces dépenses, pourvu que la méthode retenue soit appliquée de façon uniforme d’une période à l’autre, et à des activités et éléments similaires. Le choix de passer en charges ou de capitaliser devrait tenir

l’utilisation prévue + Cout initiaux de démantèlement, restauration et déménagement Les frais administratifs et frais généraux ne sont jamais inclus dans le cout d’acquisition. Cas particulier du cout des emprunts Méthodes de référence : Comptabilisation en charges de l’exercice. Autre méthode autorisée : Possibilité d’incorporer les couts d’emprunt sous 2 conditions (se référer à IAS 23 Cout d’emprunt). Production immobilisée Cout de production : cout de production des actifs destinés à la vente

d'incertitude. (c) La probabilité du risque ou de la charge doit résulter d'événements déjà nés à la clôture de l'exercice. en effet, il doit être tenu compte des risques et pertes intervenus au cours de l'exercice ou d'un exercice antérieur. (d) Les provisions pour risques et charges ne peuvent être évaluées, à l'aide de méthodes forfaitaires ou statistiques que, lorsqu'aucune autre approche n'est possible. Les provisions durables pour risques et charges sont destinées à couvrir l'entreprise à

nécessaire……………………………………………23 2.2. Mesurer la productivité…………………………………………………….………..25 2.2.1. La productivité de la main-d’œuvre………………………….…………26 2.2.2 La productivité des machines…………………………………..………..26 Chapitre III : Analyse de l’existant……………………………………………………...28 3.1. Méthode de diagnostic………………………………………………………………29 3.1.1. Le QQOQCCP………………………………………………………………29 3.2. Diagnostic de la zone d’étêtage……………………………………………………30 3.2.1. QQOQCCP ………………………………………………………………...30 3.2.2. Calcul de productivité de la zone d’étêtage……………………………

rupture radicale avec la banque traditionnelle, et du point de vue de la gouvernance d'entreprise, elle incarne un certain nombre de caractéristiques intéressantes depuis les prises de participation, des risques et des accords de partage de profits et pertes de la base de la finance islamique. En raison de la banque sur les intérêts (riba), une banque islamique ne peut pas charger rendement fixe à l'avance, mais participe plutôt du rendement résultant de l'utilisation des fonds. Les déposants aussi partager

contrepartie * 1.2. Risque d'exposition * 1.3. Risque de récupération * 2. Méthodes de mesures  * 2.1. Approche Standard * 2.2. Approche Notations Internes (Internal Ratings Based) * 2.3. Méthode IRB avancée * 2.4. Choix de la méthode d'estimation * Section 2 : Risque opérationnel * 1. Définition * 2. Méthodes de mesures  * 2.1. Approche indicateur de base (BIA : Basic Indicator Approach)

pour y faire face font appel de plus en plus aux techniques du marketing bancaire, ceci se traduit bien dans notre vie quotidienne par l'apparition successive de nouvelles offres de services et de facilitations d'accès à la banque. Cette nouvelle méthode de dialoguer, nous fait oublier cette perception qu'avait le citoyen de la banque : Une institution réservée aux privilégiés et aux riches, et qui véhiculait une image arrogante vis-à-vis des détenteurs de revenus faibles et moyens. Aujourd'hui,

éléments des états financiers ; | | |- sélection et élaboration des méthodes comptables afin que les états financiers soient conformes au SCF ; | | |- Détermination de la valeur comptable et de la durée

1.2 PRINCIPE DES COUTS HISTORIQUES 6 1.3 PRINCIPE DE SPECIALISATION DES EXERCICES 6 1.4 PRINCIPE DE PRUDENCE 7 1.5 PRINCIPE DE NON COMPENSATION 7 1.6 PRINCIPE DE PERMANENCE DES METHODES 7 1.7 PRINCIPE DE SINCERITE 7 8. PRINCIPE DE PREEMINANCE DE LA REALITE SUR L’APPARENCE 8 9. PRINCIPE D’INTANGIBILITE DU BILAN D’OUVERTURE 8 2. IMMOBILISATIONS 9-16

centrale des causes de pertes opérationnelles .les sept catégories principales d'événements sont les suivants : 1- Fraudes internes : pertes dues à des actes visant à frauder, détourner des biens ou des règlements, la législation ou la politiques de l'entreprise impliquant au moins une partie interne à l’entreprise. Exemple : Transaction non enregistrée intentionnellement, Détournement de capitaux, d'actifs, Contrefaçon, Destruction malveillante de capitaux... 2- Fraudes externes : pertes dues à des actes