La Mimesis Selon Platon

L’art est le produit d’un savoir faire , la question est de savoir en quoi consiste ce savoir faire. L’artiste est un artisan qui est passé maitre dans la capacité d’imiter la nature , a crée des trompes l’œil , c’est ce qu’on appel en grecque la mimésie. Pour d’autres au contraire , l’artiste ne serait pas un artisan mais un génie , le génie n’imite pas ce qui éxiste déjà mais invente lui-même des œuvres qui seront susceptibles d’etre immiter , le génie crée a partir de rien , en ce sens il apparait

philosophie toujours de bonnes ententes... En effet, Platon reproche aux œuvres d'orienter nos esprit vers ce qui ne peut être porteur de réalité . Quand Platon condamne l'art, c'est seulement comme imitation ( mimesis en grec) servile de la réalité (La République, livre X). Pour montrer son habileté, l'artiste se plaît à imiter les aspects les plus sensibles de la réalité, c'est par ce moyen qu'il suscite l'admiration du public . Or pour Platon, les apparences du monde sensible représentent déjà

Explication de texte Le texte proposé ici est extrait de la République de Platon, et plus précisément du début du livre X. Dernier livre de l’ouvrage, il traite la poésie, l’immortalité de l’âme et enfin du Mythe d’Er. Le texte se présente sous forme d’un dialogue, forme adoptée à maintes reprise par Platon car c’est un modèle qui pousse l’interlocuteur à réfléchir, Socrate peut alors éviter de lui imposer son point de vue en lui posant de simples questions. Questions qui donneront naissance

et des barbes. Leur but était alorss de rendre vivant un personnage non réel ou non présent. Les masques dit votifs étaient des signes de dévotion envers les dieux, ils n'étaient donc pas portés. On représentait alors les masques des dieux car selon le mythe on ne pouvait les regarder directement sans être pétrifié (transformé en pierre). Exemple avec le masque de Gorgone. Sur ces masques étaient ajoutés une proéminence frontale, l'Onkos, afin de rendre le personnage irréel, le théâtre tragique

le lieu ou se trouve les pulsions primitives et les désirs refoulés. b) l'art comme illusion On trouve chez Platon, notamment dans son livre qui s'appelle "la république", une condamnation de l'art, et Platon dira qu'il faudra exclure certains artistes & poètes. C'est la première fois qu'un philosophe réfléchit sur l'art et la beauté, l'art devient donc un objet philosophique. Si Platon était si virulent a l'encontre de l'art, c'est parce qu'il y était sensible. Cette condamnation peut se doubler

femme, être de chair et de sentiment, ne peut vivre avec un homme qu'« à table, au lit », dans une cuisine ou dans une chambre, selon un protocole et dans une complicité que le début du roman a contribué à mettre solidement en place. On aurait beau jeu de s'indigner d'une adhésion sans faille à un modèle évidemment dépassé de répartition socioculturelle des facultés selon les sexes, mais si Zola souscrit généralement à une conception de la femme largement partagée par les hommes de son temps, il cherche

Fontaine fait référence à l’imitation. L’imitation renvoie à la mimésis. Elle se voit opposer deux conceptions : la vision platonicienne et la vision aristotélicienne. Dans la première, la conception du réel passe par l’imitation de la nature dans le but de rétablir une cohérence. La mimésis repose non plus sur le plaisir mais sur la vérité. Cela créer une confusion entre le réel et les apparences. Et dans la seconde, l’illusion dans l’art selon Aristote, réside dans la nature de l’homme à vouloir imiter

connaissance. B. non seulement l'art ne cherche pas la vérité mais il peut même en détourner. C'est ce qu'il fait en nous divertissant et en nous faisant fuir la triste réalité, en l'embellissant et même en nous trompant. On peut ici penser à la critique de Platon et de l'art comme simulacre, comme illusion trompeuse qui détourne de l'Idée. C. Quand l'art semble faire cet effort de « vérité » dans le réalisme, il peut alors se réduire à un simple exercice technique sans intérêt artistique et servile, comme

pensons que la possibilité de réaliser La Quelque Chose à l’aide du jeu s’appuie sur les fonctions innées de l’homme : l’aspiration au risque et à la détente, l’aspiration à l’harmonie et au rythme, à l’obtention pour la supériorité. En citant les noms Platon et Aristote, Huizinga dit ce sont les dieux qui nous donnent le sentiment de l’harmonie et du rythme qui sont unis à la satisfaction. « La répétition est une des propriétés du jeu. Elle caractérise ne pas seulement le jeu entièrement mais aussi sa

comporte lui-même le mot d’« illusion », l’œuvre n’est pas réelle. Il s’agit d’une pièce de théâtre, « ce qu’on voit » du grec theatrum. Ainsi, le théâtre n’est ainsi pas le monde réel, mais ce qu’on voit. Il n’en est que l’imitation, d’après la mimesis d’Aristote. Les décors brisant les règles des unités ne sont que des imitations, de même que les costumes. Le théâtre ne cherche pas à représenter la réalité mais plutôt à l’évoquer. Toute la pièce n’est qu’illusion et la structure complexe de la