La Modernité Metaphysique

produisît une autre petite montre.En réaction au mécanisme, naît, à partir du 18ème siècle, le vitalisme qui maintient qu'il existe entre le vivant et l'inerte une différence de nature, en faisant intervenir non pas la notion d'âme trop religieuse et métaphysique, mais celle de « force vitale » qui, selon le médecin Barthès « est la cause qui produit tous les phénomènes dans le corps humain » et qui constitue une exception à l'empire des lois physico-chimiques de la nature.Vitalisme et mécanisme sont deux

par les désenchantés de la politique et les « célibataires » de la métaphysique – et une réactivation du sens de l’esthétique qui, dépassant le point de vue descriptif, s’attache à ce qu’il y a de négatif ou d’irréductible dans l’expérience de la beauté et de l’œuvre d’art. C’est sans doute au contact de l’art du XXè s., que l’esthétique philosophique a regagné en vitalité, que ce soit pour assumer, critiquer le projet de la modernité, ou plus modestement, pour appliquer à l’art la rigueur d’une analyse

la sexualité etc., et il a ainsi renouvelé la réflexion. Le texte « La vie : l’expérience et la science », dont nous allons analyser un extrait, a été publié originairement sous forme d’article en 1984 dans une revue qui s’intitule la Revue de métaphysique et de morale. Cependant, il faut préciser que nous allons étudier le texte figurant dans le recueil des œuvres de Foucault, Dits et écrits (1954-1988), édité par Gallimard et publié en 1994. L’extrait en question se trouve dans le tome IV, à la

musique, chanté par des raîss, diffusé à la radio et écouté par tous. Même Redwane, l'ami de Bouchaib, qui vit en France depuis trente ans, prend connaissance du poème de Bouchaib ce qui le décide à lui rendre visite. Malgré l'isolement du village, la modernité commence à s'y faire sentir. Les plus réfractaires finissent par abdiquer par commodité à la facilité. Bouchaib et sa femme garants des traditions, adoptent la podernité dans les limites du raisonnable ce qui n'est pas le cas des parvenus. Ces derniers

s'adosse à un contexte marqué par le fait religieux qui a marqué tout le siècle, à une époque où l'anti-cléricalisme est à la mesure du réveil du catholicisme. Ce mouvement, Zola en tête, prône la vérité, la modernité. Il fait entrer le peuple en littérature, ce qui est perçu comme un signe de modernité et comme un geste politique et démocratique. Mais Zola va encore plus loin : s'il veut être le peintre de la vie moderne, il explore également des territoires littéraires qui étaient jusque là interdits

sont négligés et pervers, celui de la ville et celui du corps. Jusqu'à présent, les romantiques parlaient de la campagne, mais Baudelaire a choisit lui, de parler de ces deux sujets, il trouve de la poésie dans la ville. Il crée une poésie de la modernité. Dans le texte étudié « A une passante » qui fait parti du recueil Les fleurs du mal paru en 1856, le sonnet est construit sur un thème romanesque, celui de la rencontre. Mais il est traité dans une tonalité typiquement baudelairienne. On trouve

évolue car les ses idées sont plus complexes. Ainsi, les premiers mots utilisés avaient des significations plus qu’aujourd’hui, la langue se spécialise ainsi au fur et à mesure de son développement. La langue, au départ pratique devient peu à peu métaphysique et abstraite. Voltaire caricaturera ce mythe du bon sauvage, pensant que Rousseau voulait faire régresser l’humanité, ce qui est faux. L’état de nature chez Rousseau n’est qu’une fiction théorique, un artefact intellectuel pour comprendre d’où

Étymologiquement, le poète est un innovateur qui utilise ses capacités lyriques et sa technique pour créer un art noble à partir des choses banales qui l'entourent. Ainsi, Charles Baudelaire est considéré comme le précurseur de la modernité poétique. Son recueil LesFleurs du Mal paru en 1857 reflète l'influence du romantisme et du Parnasse hérité du 19° siècle et annonce par la même occasion l'arrivée du symbolisme. Ce recueil reflète un réel dualisme entre

laquelle marche de progrès en progrès. C'est pour cela que l'on dit que l'Homme occ est qqn qui met tte sa confiance dans le dvpt successif de la science et dc ds la perfectibilité des machines. *Auj, notre présent, que l'on appelle aussi la post-modernité, connait une remise en q° des gds repères traditionnels. Cela ne signifie pas un retour à l'irrationnel, à l'obscurité conceptuelle mais plutôt une façon de rester vigilant et de fr le bilan du passé. Ainsi, on est d'accord pr dire que les tps sont

rencontre et qui sont laissés pour compte de la société. Il éprouve de l’humanité et de la fraternité envers "Les Petites Vieilles" et "Les Sept Vieillards" ainsi que de l’inquiétude métaphysique avec "Les aveugles". Au terme de cette analyse il apparaît clairement que la ville est le lieu où s'appréhende la modernité, un lieu mystérieux qui meurt et renaît chaque jour, telle la création poétique. La vision de la ville que nous présente Baudelaire est assez original surtout car il adapte un statu