La Modélisation Causale Statique Et Dynamique

ABDELMALEK ESSAADI Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger L. EL MENZHI SOMMAIRE Avant propos CHAPITRE I : AUTOMATIQUE DES SYSTEMES LINEAIRES CONTINUS– RAPPELS………………..... ...……………………………………….. 4 CHAPITRE II : MODELISATION DES SIGNAUX ET DES SYSTEMES ECHANTILLONNES……..…………………………………………… 18 CHAPITRE III : TRANSMITANCE ET PERFORMANCES DES SYSTEMES ECHANTILLONNES LINEAIRES …………………………………… 25 CHAPITRE IV : CORRECTION DES SYSTEMES ECHANTILLONNES ASSERVIS

attributs suivants : floues, changeantes et peu structurées peuvent être étudiées sous différentes perspectives, sous différents angles, en fonction de plusieurs structures cognitives et de divers systèmes de valeurs On y retrouve rarement des relations causales simples, mais plutôt des relations de type circulaire possibilité d'émergence d'effets pervers et de propriétés contre-intuitives qu'on ne peut déduire des propriétés des sous-ensembles qui les constituent imbriquent plusieurs problèmes relativement

5 5 7 7 III III-1 III-2 III-3 III-4 PILOTE AUTOMATIQUE NAVICO POUR VOILIER À BARRE À ROUE Description générale du système Analyse descendante Limites de l’analyse descendante Modélisation (partielle et simplifiée) puis simulation IV IV-1 IV-2 MOLÉLISATION ET SIMULATION - QUELQUES PRÉCISIONS Démarches de modélisation : modèles de connaissance et de comportement Complexité mathématique V V-1 V-2 V-3 SYSTÈMES AUTOMATIQUES Un peu d’histoire Définitions Systèmes logiques, continus, échantillonnés

être mis en œuvre : – Simuler la partie opérative câblée (E/S TOR et ANA) : SPOC – Simuler les équipements dialoguant par liaison numérique : SETH Quelques clarifications de langage • Ne pas confondre simulation de partie opérative avec : – Modélisation de procédé Æ type MATLAB Simulink – Simulation de procédé Æ type simulateur de centrale EDF Positionnement dans le cycle de développement • Le développement d’une application type de contrôle commande est réalisé suivant la méthodologie ci-dessous

système opérant (SO) afin de les mettre à la disposition du système de pilotage (SP). 19 GEA2 Le SI possède deux aspects :  Aspect statique (ou aspect données) :  base d’information,  modèle (ou structure) de données.  Aspect dynamique (ou aspect traitement) :  circulation de l’information entre les différents acteurs,  évolution chronologique et causale des opérations provoquées par des évènements. 20 GEA2  Exemple d’un modèle selon systémique d’une entreprise qui assemble et commercialise

pers * les concepts (les idées) > Le processus de décision rationnelle (Simon : modèle IMC) = * Intelligence (sens de connaissances, informations acquises) Il faut capter toutes les info dont on a besoin pour prendre la décision * Modélisation Pour ne pas être noyer par l’informations, il faut trier, réduire et ordonner * Choix : Prise de décision > Concept de la rationalité limitée (Simon) = _ 1ère raison : connaissances incomplètes (trop de paramètres et éléments friables)

notions de microéconomie et de macroéconomie ?quels sont leurs outils d’analyse et leurs finalités? I- introduction à la microéconomie La microéconomie commence par l’étude des décisions individuelles des ménages et des entreprises, dans un cadre statique et étudient sous quelle hypothèse elles sont compatibles. Elle rend compte des interactions entre les individus. Le modèle néo-classique postule que l’économie n’est pas nécessairement anarchique quand elle n’est pas totalement planifiée (grâce

système opérant (SO) afin de les mettre à la disposition du système de pilotage (SP).  Le SI possède deux aspects :  Aspect statique (ou aspect données) :  base d’information,  modèle (ou structure) de données.  Aspect dynamique (ou aspect traitement) :  circulation de l’information entre les différents acteurs,  évolution chronologique et causale des opérations provoquées par des évènements.  Exemple d’un modèle selon systémique d’une entreprise qui assemble et commercialise

90 II.2 Mise en place de tableaux de bord ................................................. 90 II.2.1 II.2.2 II.2.3 II.2.4 II.2.5 II.2.6 Positionnement temporel de l’indicateur par rapport à la décision .............. 91 Relations causales entre indicateurs et décisions ............................................. 91 Plus-value informationnelle d’un indicateur ................................................... 92 L’incidence du temps dans la définition des indicateurs ........

les valeurs de p telles que l’intégrale converge… La convergence de cette intégrale impose notamment que lim (f ( t ).e − p. t ) = 0 t → +∞ • rq: Les fonctions étudiées dans le cas des asservissements sont causales (nulles pour des valeurs de t négatives). Toutes les fonctions causales peuvent se mettre sous la forme du produit d'une fonction par l'échelon de Heaviside u(t). I.2.2. Propriétés. • unicité. • linéarité. I.2.3. Formules. Si L représente l'action "transformée de Laplace" et