La Morale Est Elle Naturelle

DISTINCTION DE LA RÈGLE DE DROIT DES AUTRES RÈGLES A LA DIFFÉRENCE ENTRE MORALE ET DROIT  La règle de droit et la règle de morale ont pour point commun d’être une règle, c’est-à-dire une prescription. Elle oblige à une conduite, un comportement. 1) des différences de but et de sanction La règle morale a pour but la perfection personnelle de l’individu. La règle juridique a pour but l’ordre dans la société. La règle morale est sanctionnée par le remords de l’individu lui-même. La règle de droit

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE  Les lois sont le principe fondateur de la vie humaine. Il faut faire la distinction entre les lois politiques et les lois naturelles (donc de l’ordre de la physique). Ces dernières ne peuvent pas être transgressées, contrairement aux lois d’ordre politiques. Pour Aristote, l’homme est un « animal politique » qui s’inscrit au sein d’une société. Or la vie en communauté nécessite un certain nombre de règles afin de régir la vie des Hommes, lesquelles sont divisées en

I – Retour sur le concept de droit moral a) Rappel et precision : 2 conceptions dominantes : 1- Tradition droit naturel C'est un droit moral special que les êtres humains possèdent et qu'ils ont en commun avec les autres etre humains , et dont ils jouissaient(pre-existaient) avant l'apparition de l'état. 2- Conception politique C'est un droit special que les êtres humains possèdent en vertu des relations de cooperation[institutionelle] qu'ils entretiennent avec l'état et/ou les autres humains(agents

l’on subit, puisque l’une consiste à détenir trop et l’autre trop peu. » Aristote, Ethique à Nicomaque Comme disait Aristote, la justice est un concept philosophique, juridique et moral fondamental détenant de très nombreux sens mais dont le principal désigne la conformité au droit et à des règles morales. Tout d’abord, la justice est une norme sociale définissant les comportements corrects, associée donc à une justice judiciaire. En ce sens, elle est un pouvoir (celui de rendre justice).

l’accepter et préféreraient vivre éternellement. L’acharnement de ces individus à vivre plus longtemps pose-t-il un problème éthique? C’est une question qui est très controversée actuellement car certaines personnes pensent que la mort est un passage naturel et inévitable par lequel les humains et les autres espèces vivantes doivent passer. De plus, l’augmentation de la population pourrait avoir un impact négatif sur la nature. D’autres personnes considèrent qu’il est préférable de vivre le plus longtemps

inventer les règles (politiques, juridiques et peut-être morales) de la coexistence sociale. [Fonction:] La thèse kantienne s’oppose au principe anthropologique unilatéral des théoriciens du contrat, soit qu’ils soutiennent que « l’homme est un loup pour l’homme » (Hobbes), soit qu’ils défendent la bonté naturelle de celui-ci avant la socialisation (Locke et Rousseau). [Enjeu:] Cela permet à Kant de concevoir l’homme dans sa duplicité naturelle comme être capable de civilisation et, à terme, de moralisation

de la société. Il ne faut cependant pas considérer l'existence de loi comme garantie d'une société parfaite. Les lois physiques permettent de comprendre le monde (aspect plus concret), mais certains « pourquoi » restent sans réponse. Les lois morales sont propres à l'homme et à la raison. C'est un aspect abstrait mais plus personnel. Il s'agit de principes de vie, de conduite. La loi juridique est crée par l'homme, pour l'homme. Cependant, elle dépend du jugement et de l'interprétation que l'on

contraire il l’a freine, cela en fonction du contexte historique, social du moment à il est souvent difficile de détacher la règle de droit de son contexte, exemple : en droit de la famille on voit les évolutions avec le statut notamment de l’enfant naturel qui va évolué d’abord en 1972, puis en 2001 où on a consacré la succession entre les enfants adultérins et les enfants légitimes. On mesure que le droit est tout à la fois le produit d’une histoire mais le produit aussi d’une volonté politique :

l’obéissance aux lois sont d’origines diverses. Elles peuvent être morale, si on trouve une loi juste, elles peuvent provenir de la raison ou être d’origine historique et culturelle. La première raison d’obéissance à une loi est son acceptation naturelle comme juste et équitable. Si les lois de la société sont conformes aux lois naturelles, qui sont dans le cœur de chaque Homme, ou tout du moins si celles-ci ne contredisent pas les lois naturelles, elles sont alors prises en compte comme règles de la société

L'État de nature n'est ni une fiction ni une étape historique initiale de l'évolution de l'humanité, mais un modèle théorique, obtenu par abstraction, de l'homme tel qu'il serait s'il ne devait rien à la vie en société. Le naturel en l'homme n'est pas cependant une abstraction mais ce que chacun doit à sa nature avant les distortions imposées par un état social dégénéré. Mais "ce n'est pas une légère entreprise de démêler ce qu'il y a d'originaire et d'artificiel dans la nature actuelle de l'homme