La Mort Une Charogne

souhaitant la rendre immortelle. Ronsard met en avant : le carpe diem « cueille le jour » et l’immortalité. Il est réaliste puisqu’il parle de sa mort et est réaliste envers Hélène lorsqu’il évoque la vieillesse de celle-ci. Le poète veut faire passer un message au lecteur en lui faisant comprendre qu’il faut vivre le présent afin de vaincre la mort. Amours de Claudine (1556) Claudine, avec le temps tes grâces passeront,Ton jeune teint perdra sa pourpre et son ivoire,Le ciel qui te fit blonde

"Recueillement" . Celui-ci est extrait de la partie "Spleen et Idéal", où Baudelaire exprime sa mélancolie. En effet, Baudelaire est mélancolique dans ce poème puisqu'il sent que sa fin est proche qu’il pense à la mort à venir [je sais que c’est difficile à comprendre, mais ce n’est pas parce qu’il pense à la mort comme une perspective familière qu’elle est proche ou qu’il la croit proche], par conséquent il se dit qu'il va mourrir et il essaie d'accepter la douleur en lui trouvant des bons côtés. Comment Baudelaire

Baudelaire décide en 1855 d’intitulé son recueil « Les Fleurs du Mal ». Ce titre correspond bien à l’essence de ses poèmes. En effet cela signifie qu’il extrait une certaine beauté du mal, ce qui peut paraître paradoxal. Par exemple dans son poème « Une charogne » il fait jaillir d’un corps en décomposition une véritable leçon de vie. Il débute son recueil par un poème : « Au lecteur », dans lequel il fait une sorte de préparation à la lecture de son œuvre en faisant prendre conscience au lecteur de

une charogne en un objet poétique et recomposé en œuvre d’art grâce a l’agent alchimique du soleil et grâce a la beauté du verbe poétique cher à Baudelaire. Nous avons donc ici un exemple d’alchimie et de transposition de la boue (la charogne) et l’or (œuvre d’art). Ce poème est à la fois, étrange, bizarre, macabre et étonnant car il définit une espèce d’esthétique de la laideurIl fait cohabiter des éléments qui ont pu choquer puisqu’il associe la charogne a une femme

lexical de la décomposition étroitement associé à celui de la misère (≪ misère ≫, ≪ faubourg ≫, ≪ pave ≫, ≪ gueux ≫, ≪ abandonnes ≫, ≪ gâté ≫, ≪ fumier ≫, ≪ pourriture ≫, ≪ fermentait ≫, ≪ pourrissait ≫, ≪ corrompant ≫, ≪ tourner ≫, ≪ ordure ≫, ≪ charognes ≫, ≪ empoisonnait ≫). L'équation sociale zolienne est la aussi très claire : le personnage de Nana est la conséquence directe d'un milieu social misérable, malsain et en décomposition. Notons que pour Zola, la misère revêt la forme d'une fatalité

de lieu dépeignant l'ivresse et la déchéance dans « Usines », Les Villes tentaculaires, un lieu qui « fermente de fièvre et de folie » ; où « les catins et les escrocs, leurs complices » regorgent dit Baudelaire, là où il y a corruption et vice. La mort est aussi un sujet rejeté et Baudelaire n'hésite pas à nous montrer les détails morbides : « les intestins coulaient sur les cuisses » dans « Un voyage à Cythère »; comme lefait François Villon dans « Ballade des pendus » où il nous révèle des corps

l’édition de 1861 succèdent ceux regroupés par Baudelaire sous l’intitulé Les Épaves, un ensemble de quelques nouveaux poèmes publiés en Belgique en 1866 en même temps que six poèmes condamnés et réédités hors de France. Enfin, en 1868, après la mort de Baudelaire, Théophile Gautier entreprend une nouvelle édition des Fleurs du mal : les nouveaux poèmes de cette édition ont été ajoutés, mais sans préciser la section dans laquelle ils prenaient place : l’ordre n’y doit en effet rien à Baudelaire

POESIE SOMMAIRE : La Cigale et la Fourmi...............................................page 2 Le Corbeau et le Renard............................................page 3 La Complainte Rutebeuf.............................................page 4 La Charogne...............................................................page 6 Liberté........................................................................page 8 Mignonne, allons voir si la rose................................page 11 Le Cancre......

vision de la fatalité. Thème de la mort. Thèse Argument 1 : Ce sont des oiseaux qui représentent la mort, qui prennent leur âme et les emmènent vert la mort. Sous-argument 1.1 : Dans Cage d’oiseau, Saint-Denys Garneau fait une représentation de la mort par l’oiseau qui s’installe dans son corps. Preuve « L’oiseau dans ma cage d’os, c’est la mort qui fait son nid / Lorsque rien n’arrive / On entend froisser ses ailes » Défini son corps comme une cage. La mort s’établit. On entend froisser

poète (les thèmes récurrents sont l’amour, la mort, la nostalgie, la communion avec la nature, le destin, etc.). * François Villon 15 eme Siecle Poète le plus connut du Moyen Age. Il disparaît en 1463 après plusieurs actes indisciplinés (il tue un prêtre) Son œuvre la plus connus → Le testament, épitaphe Villon ou ballade des pendus 1463 (→ 3 strophes de même longueur avec un refrain et un envoi d'1/2 strophe) Plan : I-Une évocation concrète de la mort, des pendus Épitaphe: une inscription funéraire