La Motion De Censure Moyen De Controle Parlementaire

Droit ConstitutionnelL’Allemagne est un État fédéral divisé en seize entités fédérés appelés Länder. Il est basé sur un régime parlementaire rationnalisé moniste et celui-ci est bicaméral.En effet, le Bundesrat représente les Länder et le Bundestag représente la population. La loi fondamentale promulguée en République Fédérale Allemande le 23 mai 1949 s’applique désormais aux 16 entités Länder constituant l’Allemagne En principe, ce texte avait un caractère provisoire comme l’affirmait le préambule

d’initiative, et elle les exécutes et controle leur respect. La Commission est appellé la «  gardienne des traités », car elle veille à leur respect. En outre elle joue un role principal dans la garantie de «  l’intéret général de l’Union européenne » Sous la présidence de Jacques Santer ( 1995-1999), deux commissaires ont été mis en cause pour malversation financieres ( l’un est Édith Cresson). Suite au scandale qui éclat, la Commission pou échapper a une moiton de censure, a démissioné. On interprete

« Le Contrôle Parlementaire. » Sujet de dissertation:« Le rôle de la majorité parlementaire sous la Vème République» Sous la IIIème république puis sous la IVème, bien qu’une première tentative de rationalisation du parlementarisme ait été mise en place, l’engagement de la responsabilité politique a conduit à d’importantes crises ministérielles et à une instabilité gouvernementale peu favorable à l’accomplissement de la volonté de la Nation. Devant ces exemples peu concluants et dans

ne peut pas la limiter dans un domaine. Dans un régime parlementaire, le parlement peut intervenir sur tous les sujets. En 1958 on va chercher à dompter le parlement. B- les sources médiates. L'expérience acquise sous la 3 ème et 4 ème République se résume à la phrase : « il faut mettre fin aux dysfonctionnement de l'état. Pour la faiblesse du pouvoir exécutif on développe l'idée qu'il faut s'attaquer à la souveraineté parlementaire, souveraineté de la loi. R. Carré de Malberg, pour mettre

Président élu au suffrage universel, dispose certes d’un grand prestige et de lourdes responsabilités, mais il voit cependant son rôle borné par les autres pouvoirs, et notamment l’institution parlementaire, elle aussi démocratiquement élue. Contrairement au dualisme de l’exécutif qui caractérise le régime parlementaire, le président incarne à lui seul le pouvoir exécutif en régime présidentiel. Il n’existe pas en dehors de lui un gouvernement collégial, doué de compétences propres ; les secrétaires ne

doit désigner par l’élection le Président de la République et le Président du Conseil. Le Président de la République est dépourvu de tout pouvoir. L’assemblée doit posséder l’ensemble du pouvoir législatif. Les mécanismes classiques du régime parlementaire (droit de dissolution) font l'objet d'une telle reglementation que l’exécutif est placé sous l’entière dépendance de l’Assemblée (proche du régime d’Assemblée). Ce projet est vivement combattu par le Général de Gaulle et par la démocratie chrétienne

décision de dissolution , toutefois , ces avis ne lient pas le président, et la décision finale appartient à la discrétion du président. Mitterrand agit donc pas comme un arbitre, mais comme un chef de majorité qui veut s'assurer d'une majorité parlementaire. Article 16 ( à compléter ) et article 7 alinéa 4 ( à compléter). La dissolution est donc une menace en cas de fait majoritaire, pour qu'il n'y ai pas de distorsion dans les rangs. 1962: dissolution de l'assemblée nationale par de Gaulle

institutionnelle. Le régime politique au sens large posé par la Constitution de 1958, est un régime parlementaire bireprésentatif moniste. C'est un régime de séparation des pouvoirs stricte dans lequel le Gouvernement est responsable devant le Parlement. On le considère bireprésentatif parce que les citoyens sont représentés par deux organes élus au suffrage universel direct au sommet de l'Etat, les parlementaires et le Président de la République. Mais le régime politique peut aussi être définit au sens large

il fonctionne par session parlementaire. Une révision constitutionnelle du 4 août 1995, et jusqu’à cette date, le Parlement se réunissait deux fois dans l’année. La première se déroulait d’avril à juin, c’était la session de printemps. Puis la seconde était d’octobre à décembre, c’était la session d’automne. La révision constitutionnelle de 1995 a modifié le nombre de session, il n’y en a qu’une seule en octobre qui dure jusqu’au mois de juin. La session parlementaire dure ainsi neuf mois. Pendant

matières essentielles (article 34 de la constitution), et même dans ces matières là, le gouvernement peut intervenir par ordonnances, cependant avec le contrôle a posteriori des parlementaires (qui doit désormais être expresse, article 38). Même le président de la république s’est donné « le droit » d’intervenir dans la fonction législative. Les parlementaires conservent néanmoins le droit de ratifier les traités les plus importants et de se prononcer sur les propositions d’actes communautaires comportant