La Mourabaha

bien si les paiements doivent être effectués à une date ultérieure. Selon fiqh cela n'équivaut pas à la charge d'intérêt, car il n'est pas une opération de prêt, mais une négociation.Bai'salam (prépayée). Cette méthode est vraiment à l'opposé de la Mourabaha. Il la banque donne le premier produit, et reçoit l'argent plus tard. Ici, la banque verse l'argent d'abord et reçoit la marchandise plus tard, et il est normalement utilisé pour financer des produits agricoles.Istissanaa (fabrication). Il s'agit

prix d’acquisition augmenté des dépenses d’investissement réalisés, ainsi que les intérêts payés par le cédant en rémunération de prêts accordés par les organismes de crédit agréés, ou la rémunération convenue d’avance dans le cadre d’un contrat « Mourabaha » pour la réalisation des opérations d’acquisition et d’investissement précitées. Le taux de l’impôt applicable est de 20%. Toutefois, une cotisation minimale de 3% du prix de cession est due même en absence de profit. Exemple : Maintenant prenons

ordinaire. * Durée Pour le crédit ordinaire, la durée maximale de remboursement est de 20 ans. Pour le crédit exceptionnel, elle est de 10 ans Miftah Al Kheïr Miftah Al Kheïr est une formule de financement basée sur le principe de la « Mourabaha ». Il s’agit d’un contrat par lequel la banque acquiert, à votre demande, un bien immobilier construit à usage d’habitation ou professionnel en vue de vous le revendre moyennant une marge bénéficiaire convenue d’avance. Le règlement se fera en un

monte à 451 959 demandes de crédit contre 413 589 une année auparavant, fixant le montant moyen de crédit à K MAD 27 (vs K MAD 23 de janvier à septembre 2007). Signalons, par ailleurs, que la production de cette année intègre M MAD 214 de crédit MOURABAHA, produit alternatif dont la commercialisation a commencé en octobre 2007. Ces chiffres confirment la bonne tenue de la consommation au Maroc, et ce, en dépit du spectre de la répercussion des effets de la crise économique mondiale sur l'économie

avec une marge bénéficiaire. La banque achète le bien puis le revend au client par traites selon un prix ouvertement publié, entraînant des coûts et un profit administratif. L’opération de crédit n’est qu’un accessoire à l’opération commerciale. La Mourabaha ne peut avoir pour objet le financement de biens qui n’existent pas à la date du contrat. C’est une formule de financement applicable au financement de marchandises pour les commerçants ou de matières premières pour les industriels. Elle peut également

drainé une part importante des revenus des villageois. Leurs économies étaient gérées de manière prudente et solidaire pour faire face à leurs besoins8. Cette caisse d’épargne a permis d’expérimenter des techniques financière aujourd’hui admises (mourabaha, ijara, moudaraba…). En 1969 a été créé en Malaisie le Tabung Hadji un fonds islamique d’entraide. Ce fonds vient en aide financièrement aux pèlerins qui se rendent à la Mecque par un système d’épargne et de placement conforme à la sharia. Actuellement

marge bénéficiaire. La banque achète le bien puis le revend au client par traites selon un prix ouvertement publié, entraînant des coûts et un profit administratif. L’opération de crédit n’est qu’un accessoire à l’opération commerciale. La Mourabaha ne peut avoir pour objet le financement de biens qui n’existent pas à la date du contrat. C’est une formule de financement applicable au financement de marchandises pour les commerçants ou de matières premières pour les industriels. Elle peut

| | |Miftah Al Kheïr |Miftah Al Kheïr est une formule de financement basée sur le principe de la « Mourabaha ». Il s’agit d’un| | | |contrat par lequel la banque acquiert, à votre demande, un bien immobilier construit à

déclinaison des principes fondamentaux de la finance islamique en instruments a donné lieu à l’apparition de produits et concepts qui lui sont spécifiques. On distingue d’un côté les instruments de financement dont on cite essentiellement « Al Mourabaha », « Al Salam », « Al Istisnaa », « Al Ijara », et d’un autre côté les instruments participatifs tels que « Al Moudharaba » et « Al Moucharaka ». il faut noter que le développement de la banque islamique est ainsi dû à sa démarcation par la particularité

règles qui sont propres à chaque catégorie ; il tient compte de certaines déductions à caractère social: les dons octroyés à des organismes à but non lucratif, les intérêts des prêts ou la rémunération convenue d’avance dans le cadre d’un contrat « Mourabaha » auprès d'institutions spécialisées ou des établissements de crédit dûment autorisés à effectuer ces opérations, par les œuvres sociales du secteur public, semi public ou privé ainsi que par les entreprises en vue de l'acquisition ou la construction