La Moyennisation

fait partie de la démocratie, les politiques contraires aux intérêts du marché sont antidémocratiques. Les néo libéralistes répondent aux critiques (inégalités…) par la mobilité sociale possible grâce au libéralisme avec moins de pauvres, une moyennisation de la société… De plus tous les autres systèmes ont échoué : communisme, Etat Providence… • La critique du libéralisme : - Société libérale produit des consommateurs non des citoyens : société atomisée, désengagée (cf Tocqueville)

la création d'une classe sociale. "On ne passe de la classe-sur-le-papier à la classe "réelle" qu'au prix d'un travail politique de mobilisation [...] n'est jamais que la classe réalisée, c'est à dire mobilisée". 9)Selon Bourdieu la supposée moyennisation des sociétés n'empechent pas l'éxistence des inégalités. "un pays dont on disait aussi qu'il s'homogénisait, qu'il se démocratisait, etc..., la différence est partout". Pour lui nier l'éxistence des classes en défendant l'idée que la société se

après une phase d’augmentation des inégalités (inégalités entre secteur agricole et industriel, en plein essort), plus un pays se développe, plus les inégalités de revenu se réduisent (exode rural, hausse productivité, revenus de transfert). Moyennisation : processus par lequel on assiste à une atténuation des clivages sociaux accompagné d’un gonflement des classes moyennes : montée du salariat, hausse des revenus (donc consommation), massification enseignement (mobilité sociale), plus de conflits

aux citoyens des droits économiques nouveaux qui permettent d'assurer un revenu à tous. D'un point de vue plus keynésien, ces aides contribuent à soutenir la consommation donc la croissance, source de développement et moteur de la moyennisation de la socité (cf. analyse de Mendras sur les 30 glorieuses) II- Les inégalités peuvent contribuer à la dynamique démocratique (MAIS) A) L'idéal égalitaire ne doit pas être confondu avec l'égalitarisme (5-1-2, A)

les inégalités sociales deviennent moins évidentes. L’éducation se généralise donc les inégalités culturelles se réduisent également. Du coup, la classe moyenne évolue, de plus en plus de gens commencent à en faire partie. Parallèlement, une moyennisation culturelle s’opère, c'est-à-dire que les modes de vie et loisirs des classes moyennes se propagent dans les autres couches de la population, des plus pauvres au plus nantis (barbecue, football). La possibilité de voir sa situation s’améliorer constitue

à l’importante croissance économique durant les Trente glorieuses, qui a nécessité le développement du nombre d'emplois qualifiés de cadres ou de professions intermédiaires. Toutefois, plus que d’un changement de classe, nous pouvons parler de moyennisation de la société au sens où, la proportion d’ouvriers diminuait et celle des professions intermédiaire augmentait, bon nombre d’actifs se considéraient comme appartenant à la classe moyenne. Cependant cette tendance, vraie pour le premier bilan de

profession : PI + indépendants + ACCE -> 30% des français Approche économique : revenu : située entre les 30% les plus défavorisés et les 20% favorisés -> 50% Approche subjective : individus ayant le sentiment d’appartenir à la classe moyenne -> 80% La moyennisation sociale s’explique par : Des facteurs économiques : croissance, plein emploi Des facteurs sociaux : redistribution Une législation sociale protectrice : contrat de travail, salaire croissant... Un régime multipartiste et décentralisé : développement

durable, plus ou moins rapide, d’une partie ou de l ‘ensemble d’un système social.  Donnez, pour chaque notion soulignée, un exemple concret pouvant illustrer le changement social. Modes d’organisation : taylorisme, fordisme … Stratification : moyennisation de la société, déclin de la classe ouvrière. Comportements : hausse de l’union libre, hausse des divorces … Quelles sont les principales tendances du changement social ? – Mutations démographiques : allongement de la « jeunesse » et vieillissement

prescription - Le « pratiquant saisonnier » CHAPITRE 2: LA SOCIOLOGIE FRANÇAISE DEPUIS 1968 Les changements institutionnels: ALAIN GIRARD: Deux travaux importants - La réussite en France (à l’école) - La sociologie de l’école La moyennisation : Selon Mendras (1988), la société française s’élargit au centre et se réduit aux extrémités, elle se « moyennise » et sa structure sociale prend l’allure d’une toupie Les forces d’homogénéisation Selon Mandras, il existe au moins trois forces

D’après le document 2, les votes ouvriers ont évolués de 1978 à 2002, en 1978 les ouvriers avaient une majorité de votes pour le PCF ainsi que le PS avec 32% en 1978 contre 6% en 2002. Les votes ne sont donc plus influencés suivant sa CSP. La moyennisation à mené à une perte de spécificités culturelles. On parle d’embourgeoisement, en effet, l’augmentation du niveau de vie, dû a la forte croissance économique après la guerre est ce qui a permis l’accès a des biens de consommation ainsi qu’a des