La Métaphore

(amante de Brit.), Burrhus (gouverneur de Néron), Albine (confidente d'Agrippine) Analyses. Acte I, scène 1. (vers à 36.) v°12 | « Las de se faire aimer, il veut se faire craindre. » | -Oposition (aimer / craindre) -Antithèse | Métaphore de Néron : il va vers le pire aux yeux de sa mère. | v°26-27 | « Depuis 3 ans, qu'a t-il dit, qu'a t-il fait qui ne promette à Rome un empereur parfait. » | -Ville personnifiée -Parallélisme -Insistance | Albine défend l'idée qu'il

Baudelaire. Cependant d'autres composantes du poème, telles que les métaphores font également partie de la construction du spleen dans ce texte. Ce poème est intitulé Spleen dans Les Fleurs du mal et montre les différentes formes d'un mal-être intérieur. Le Spleen est donc un mal psychologique, qui se déforme avec le temps et l'ennui. Dans ce poème Baudelaire semble dépassé par le temps qui lui échappe. Il utilise donc des métaphores pour son esprit qu'il compare à « un gros meuble à tiroirs ». Ce gros

paroxysme de cet enthousiasme. Dans le premier poème du livre VII, Victor Hugo se fait prophète. Lux est l’énonciation de cette prophétie et proclame le bonheur. Le premier vers est une reprise et un bilan de cette attente qu’avaient les proscrits. Métaphore de l’arbre du progrès. Les bannis sont morts pour nourrir les siècles à venir. Ces vers annoncent un rayonnement universel, symbole de liberté (qui se réfère au monde entier). Idée d’universalité (« Amérique »), de progrès et de liberté.

mais que Ponge met en scène avec poésie grâce notamment aux métaphores. Selon le poète, c'est véritable miniature qu’il décrit avec la comparaison « les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes » (l. 2-3) ainsi qu'avec la métaphore des « vallées, crêtes, ondulations, crevasses » (l. 5-6), un coucher de soleil: « la lumière […] couche ses feux » (métaphore du four en réalité, l.7) ou encore des « feuilles ou fleurs » (l.10, métaphore de la mie). Francis Ponge utilise le champ lexical de la géographie

rose est personnifiée et la femme devient fleur grâce à une série de métaphores et de comparaisons filées. A) Le topos littéraire de la promenade au jardin Ce motif est présent dans la première strophe mais surtout dans le 1er vers. Cela va permettre à Ronsard d’établir une comparaison entre la rose et la femme. B) Le début procède à un parallèle implicite entre la fleur et la femme. Le parallèle commence avec les métaphores de la « robe de pourpre » qui ouvrent une personnification de la rose

Je rédige une partie du texte. Dans l'extrait « La ronde et autres faits divers », Jean-Marie le Clezio commence par décrire les lieux, que l'on peut qualifier de peu accueillants. En effet, dès la première phrase, l'auteur utilise une métaphore « fleuve sec » qui connote un endroit aride, privé d'eau. Puis, il poursuit sa description du paysage qui semble envahit par les immeubles en utilisant un adjectif quantitatif « des dizaines » ligne 2. De plus, l'utilisation du champ lexical « béton »

pareil à.Exemple : « J'irai loin, bien loin, comme un bohémien. » (Rimbaud) La métaphore établit également un rapprochement entre deux éléments, mais contrairement à la comparaison, elle n'emploie aucun outil grammatical.Exemple : Cyrano, parlant de son long nez, s'exclame : « C'est un cap ! » (Edmond Rostand, « Cyrano de Bergerac ») Lorsque la métaphore est reprise par plusieurs termes, on parle de métaphore filée.Exemple : « Bergère, ô tour Eiffel, le troupeau des ponts bêle ce matin. »

substitution Métaphore n. f. Figure de style qui rapproche un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison). On distingue deux sortes de métaphores : dans la métaphore annoncée, le comparé est présent : (La métaphore annoncée est assez proche de la comparaison ; mais contrairement à ce qu'on trouve dnas une comparaison, l'outil de comparaison («comme») n'est pas exprimé explicitement) Lorsque le comparé est absent et qu'il ne reste plus que le comparant, la métaphore peut

valorisation de l’individu. -le sentiment amoureux; -le moi souffrant; -la nature; -le mal de vivre -tonalités lyrique, pathétique -première personne. Poésie, roman, théâtre -poésie ou prose lyrique (méditation, exaltation) tonalité épique, élégie, métaphores allégories mélange des genres:au th. drame romantique) Chateaubriand (1768-1848) Lamartine (1790-1869) Musset (1810-1857) Hugo (1802-1885) 1850-1860 - Refus des épanchements romantiques considérés comme excessifs; - goût pour la poésie descriptive

contient aucune comparaison, le poème renferme trois métaphores (emploi d’un terme concret dans un contexte abstrait : appeler par exemple la Mort une « faucheuse »). La   première   concerne   les   « pas »,   qualifiés d’« enfants de mon silence » (v. 1), parce que le bruit des pas de la femme se perçoit mieux dans le silence que le narrateur s’impose. Aussi semblent-ils « naître » de ce silence. Si l’on voit dans cette femme la Muse du poète, la métaphore demeure, mais change de sens : les « pas » traduisent