La Méthode Scientifique Bergson

germaniste. Famille Halbwachs d’origine alsacienne, qui opte pour la France et la nationalité française après 1871. Goût de la recherche intellectuelle, scientifique, intègre l’ENS en 1898, et prépare l’agrégation philosophique, reçut premier en 1901. Influences intellectuelles : d’abord impressionné par un prof de philo qu’il a à l’ENS, Henry Bergson ; au cours de ses études jusqu’au moment où il sort, il est marqué par le contexte politique de son époque, l’affaire Dreyfus, et se range avec Durkheim

maintenant à ça. BERGSON : Il définit l’homme comme homo faber (l’homme qui fabrique) mais aussi comme homo sapiens (l’homme qui sait) mais dans un second temps. L’utilisation de la technique est nécessaire à la survie de l’homme tandis que la connaissance scientifique peut largement patienter. ex. Si on revient au temps du Paléolithique, les hommes avaient besoin de la technique afin de créer des outils par le travail et donc pour se nourrir  ; certes les connaissances scientifiques telles que la

représentation d’une belle chose, mais la belle représentation d’une chose  » KANT. Citations : «  Le mot ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal  » BERGSON. «  Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde  » WITTGENSTEIN. «  Danger du langage pour la liberté de l’esprit :

Carnap, la dissolution de problèmes chez Henri Bergson et Paul Valéry, le paradoxe du silence chez Wittgenstein ainsi que la relation entre « question » et « système »3. Dialectique versus interrogation Dans le chapitre 2, Meyer écrit sur la relation entre dialectique et interrogation. Il commence par la dialectique chez Socrate et le rôle de l’interrogation dialectique dans les dialogues aporétiques. Ensuite, il aborde « la dialectique et la méthode par hypothèses comme réaction au ‘’logos’’ socratique

donc qu’un écrivain renonce à dire ses moments heureux de peur de les déflorer ? PROPOSITION DE PLAN I. Le langage est comme un voile qui s’interpose entre notre conscience et nous : « la toile habilement tissée de notre moi conventionnel » (Bergson, 113) Saint-Augustin , Confessions : « Qu’est-ce que le temps, si personne ne me le demande, je le sais. Mais si on me le demande et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus. » 1. Parce que les mots définis et précis ne sauraient traduire

conséquences de ces précisions. La première, fort importante, est que l'explication scientifique d'un fait n'entame pas son explication philosophique. La philosophie ne peut pas être la synthèse des vérités acquises par les sciences exactes (comme le voulait ou le croyait Auguste Comte),ou encore le prolongement d'une science particulière par des hypothèses invérifiables (Teilhard de Chardin). La compilation des données scientifiques ne nous fait pas passer dans le domaine philosophique. Le prolongement des

A partir du 17°s, d’autres consciences apparaissent. Conscience psychologique → bébé : - conscience sensitive → instinct (ĉ un animal) conscience confuse, fusionnelle éducation va donner la conscience prend conscience avec des tests scientifiques avant de prendre conscience de lui, il prend conscience des choses, de ce qui l’entoure conscience va avancer avec du temps, évoluθ, prise de conscience conscience cognitive (connais qui s’acquiert) → ce qui est pensé de l’autre non (reconnais

| |Extrait de : | |Gaston Bachelard, La formation de l’esprit scientifique. | |Paris, Librairie philosophique Vrin, 1999 (1ère édition : 1938), chapitre 1er. | |

sujet ou un existant, c’est dire qu’il échappe en partie au déterminisme du biologique ou du monde matériel, qu’il ne se réduit pas à sa dimension d’animalité. C’est parler de ce qui caractérise l’homme, de ce qui fait sa grandeur. (Cf. texte de Bergson) - La conscience, c’est la connaissance ( spontanée ou réfléchie ) qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments, de ses actes ou des autres. - En son degré le plus parfait, la conscience réfléchie semble bien être caractéristique

conscience des situations qui exigent un choix. Ainsi dans une tâche où elle est sollicitée, la conscience n’évoque que les souvenirs utiles à l’accomplissement de cette tâche. La conscience est alors attention à l’action et c’est pourquoi Henri Bergson (1859-1941) affirme que « toute conscience signifie choix ». On peut donc dire que la fonction première de la conscience est l’adaptation de notre organisme au réel. b) la conscience comme synthèse La conscience ne se contente pas de choisir les