La Notion De La Souveraineté Chez Hobbes

s'achever avec la fin du Moyen-Âge et le triomphe du pouvoir temporel des Etats souverains. On a un conflit clair entre temporel et spirituel qui va avoir des effets au niveau des relations internationales. C’est à cette époque que nait le concept de souveraineté avec J. Bodin. La féodalité ne permet pas de créer une autorité étatique forte. Il y a une volonté des Etats de s'affranchir de l’Eglise, cette rivalité va être étudiée, analysée par des auteurs, notamment par des philosophes. Cela va amener à

française de 1696 2 l’État peut renvoyer à deux significations : L'État en tant que « gouvernement d’un peuple vivant sous la domination d’un prince ou en république » ou L'État entendu « aussi pour le pays même qui est sous une telle domination ». La notion d'État est relativement récente. Elle apparaît dans les langues européennes dans son acception moderne au tournant des XVe et XVIe siècles et ne se se comprend et ne s'organise pas de la même manière dans les différentes parties du monde. Les critères

le fondement du pouvoir politique (A), elle trouverait sa légitimité dans différents facteurs selon Max Weber (B). A) La force comme fondement du pouvoir politique : le moyen d’asseoir l’autorité Machiavel (1469-1527) et « Le Prince » : c’est chez le prince de Machiavel que l’on rencontre cette théorie à l’état brute. « Le Prince » incarne ici une autorité forte qui lui permet de faire triompher son autorité par la force supérieure qui l’oppose à toutes les autres forces, elle est une vertu

Introduction: Le rôle de l'État est de faire et d'appliquer la loi. Il doit garantir le droit. Mais a-t-il pour autant tous les droits ? La question porte ici sur la source du droit et la souveraineté de l'État : il s'agit de savoir s'il existe une limite à son autorité, au-delà de laquelle il ne peut légitimement ni intervenir ni légiférer. On peut en effet penser que l'État a tous les droits parce qu'il en est l'origine et la caution, même s'il décide ensuite d'en transférer une partie à ceux

Chapitre 1 : L’Etat L’Etat, qui est, selon Friedrich Nietzsche (philosophe allemand) « le plus froid de tous les monstres froids » est traditionnellement présenté comme une personne morale de droit public titulaire de la souveraineté. Il est considéré en France comme la personnification de la nation. Pour qu’il y ait Etat il faut réunir à la fois une communauté d’hommes, un territoire, et une organisation politique. Parmi les critères permettant de classer les Etats, les

28/09/12 Leçon 2 : La souveraineté La notion de souveraineté apparait avant celle de l’Etat qui apparaît au 16ème siècle. L’Etat est l'institutionnalisation de la souveraineté, ce qui signifie que cette souveraineté est donc antérieure à l’Etat. Cornu nous dit que la souveraineté est le «Caractère suprême d’une puissance qui n’est soumise à aucune autre.» Burdeau : «Puissance, c’est le pouvoir de commander de telle sorte que l’on soit obéi.» On trouve la notion de souveraineté dés l’antiquité.

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique(législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples. Le concept émerge avec celui d'État, au Moyen Âge. Le souverain est donc au départ une personne identifiée (le représentant de l'État, le roi) puis se détache de plus en plus de sa personne pour devenir un concept théorique

De tout temps il y a une réflexion sur l’importance de la nécessité de mettre en place des règles auxquelles obéiraient des entités distinctes, autonomes , indépendantes, souveraines. La difficulté était de concilier la reconnaissance de la souveraineté des états et l’obéissance par ses mêmes états à des règles communes supérieures. Deux thèses vont s’affronter. CHAPITRE 1er : la nature controversée de la société internationale : état de nature ou communauté internationale

Philosophie c) L’autonomie morale Conformément à son étymologie grecque, le mot « autonomie» désigne la condition d’un individu ou d’un groupe capables de se déterminer par eux-mêmes, et possédant le droit de se gouverner par leurs propres lois. A la notion d’autonomie s’oppose le concept de minorité. Est mineur l’individu sous tutelle incapable d’agir suivant un jugement personnel ou de se conduire seul. Est majeur, celui qui agit par son propre jugement. L’autonomie revêt un sens moral et politique

naissance du droit subjectif Section 1. Le "droit" de Dieu : Section 2. L'École du droit naturel moderne Section 3. Le renversement moderne du concept de droit Chapitre II. Le contractualisme Section 1. Le contractualisme de Hobbes Section 2. Le contractualisme lockien Chapitre III. Les déclarations de droits américaine et française Section 1. Le droit naturel dans les Déclarations Section 2. Le rapport au droit dans les Déclarations américaine et