La Notion De Peuple

rencontraient pour discuter de certaines questions et ils votaient à main levée. Les esclaves et les femmes n'avaient pas le droit de vote. Ce type de gouvernement nécessiterait beaucoup de temps aujourd'hui et il serait impossible pour des grands peuples de se rencontrer chaque fois qu'une décision doit être prise. De nos jours La démocratie existe pour fournir aux gens un moyen de vivre ensemble de façon bénéfique à chacun. Bien que plusieurs des démocraties actuelles n'existaient pas avant la Seconde

1. LA CONSTITUTION ASSOCIEE AU POUVOIR (DETERMINISTE) Ce concept remonte soit à la philosophie grècque, soit aux légistes du Moyen Age. LA PHILOSOPHIE GRECQUE insiste qu’il n’y a pas d’états sans constitutions. Selon elle, le pouvoir est un notion social. La Constitution est associée au pouvoir, elle peut etre intérieure ou extérieure à l’état. Elle est la norme la plus importante de l’ordonnance judiciaire. Dans la philosophie grècque il y a 2 grands philosophes qui ont fait une classification

«Commenter l’article 3 de la Constitution» La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice. Le suffrage peut être direct ou indirect dans les conditions prévues par la Constitution. Il est toujours universel, égal et secret. Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant

démocraties occidentales reposent sur deux critères : a.1) Les critères axiologiques : La souveraineté du peuple,on la retrouve dans la formule, gouvernement du peuple par le peuple ou pour le peuple. Elle est la formalisation étymologique du terme de démocratie, ce principe est inscrit dans l'art 2 de la constitution. La théorie démocratique attribue la souveraineté au peuple, le peuple n'exerce jamais directement la souveraineté que lui attribue la théorie démocratique. La démocratie a toujours

Commentaire «Du principe de la souveraineté du peuple en Amérique» extrait «De la démocratie en Amérique» publié en 1845 par Alexis de Tocqueville. «La démocratie, c’est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave.» Cette citation de Charles de Gaulle illustre parfaitement les idées exprimées par Tocqueville dans le texte «Du principe de la souveraineté du peuple en Amérique» Ce texte traite de la souveraineté aux Etats Unis avant et après la Révolution d'Amérique. Alexis

Cette femme nue, à peine couverte d'un voile, représente la Vérité. Une vérité sacrée et lumineuse, donc. Derrière elle, à droite, la Raison tente d'arracher le voile de la Vérité. La Raison : une notion très chère aux Lumières, peut-être la plus importante. D'ailleurs, elle porte une couronne... Plus bas, la Philosophie tente elle aussi d'arracher un pan de voile. A gauche, l'Imagination tient une couronne de fleurs et s'avance vers la Vérité. La Raison tente de dévoiler la Vérité et l'Imagination

Résumé de l'exposé Ces deux notions sont souvent présentées ensemble, et par là même souvent confondues. Aussi, dans les régimes démocratiques modernes, on semble croire que la légalité d'un pouvoir assure sa légitimité. Pourtant, on a pu assister à des cas de distorsion. Cela vient du fait de ces deux concepts ne relèvent pas de la même catégorie. La légalité d'un pouvoir est sa conformité à la loi fondamentale. En ce sens, cette notion juridique précise ne donne lieu à aucune équivoque puisqu'

pouvoir. La question qui se pose est de savoir comment les institutions politiques vont gres leur rapport entre elles. La rponse est que cela va se faire par le biais de rgles spcifiques qui forment ce que lon appelle le droit constitutionnel. La notion de droit constitutionnel Le droit constitutionnel est le droit qui organise et rgit le fonctionnement de ltat et des institutions politiques qui le composent. Lexpression droit constitutionnel est assez rcente parce que dans louvrage de Rousseau du

DISSERTATION ETAT-NATION A la fin du Moyen-Age, au XIIIème siècle apparait en France et en Grande Bretagne l’idée d’Etat désignant l’ensemble des groupes et personnes gérant une communauté humaine à l’intérieur d’un territoire. A cette époque la notion de nation ne définissait alors qu’un groupe d’hommes de même origine. Néanmoins, à l’aube du XVIIIème les Etats se multiplient et les Rois qui les siègent souhaite unifier leur territoire, apparait alors une fusion entre Etat et Nation pointant du

contrat : le contrat social ou pacte social. La référence à la notion de contrat social permet ainsi de faire dévier le problème juridique du fondement de l’autorité politique vers un problème historique et philosophique, celui de l’origine de la société et de l’État. Par delà les postulats communs, il existe pourtant, parmi les théories qui se rattachent à la doctrine du contrat social, une très grande diversité qui porte sur les diverses notions auxquelles fait appel la doctrine. 1. L’idée et sa signification