La Nullité Du Contrat

en nature et les obligations financières  La grande majorité des contrats contiennent à la fois des obligations en nature et financières comme un contrat de vente. B ) Les classifications qui sont fondées sur les sources des obligations  La source de l'obligation c'est l'acte ou bien le fait qui lui donne naissance. Par ex un emprunteur doit rembourser une banque dc a une obligation de remboursement dont la source est le contrat de prêt qui est un acte juridique. Un automobiliste qui a renversé

ou plusieurs personnes, appelés créanciers. Code Civil, Livre III : Des différentes manières dont on acquiert la propriété. Titre III : Des contrats ou des obligations conventionnelles en général. Un contrat est une espèce de convention, mais toute les conventions ne sont pas des contrats. Différentes sources d'obligations : Contrats, quasi-contrat, Responsabilité délictuelle, quasi-délictuelle et la loi. — Obligation Civil => civil dans le sens que c'est pris en compte par le droit et

Première partie : La formation du contrat. Les conditions de formation du contrat sont dominées par la volonté des parties. Il faut de demander si les parties ont réellement voulu s’engager. Il faut vérifier leur consentement. Il faut s’assurer que les parties étaient aptes à vouloir. Il faut donc vérifier leur capacité à s’engager. Il faut vérifier ce qu’ont voulu les parties. Cela revient à s’interroger sur l’objet de l’engagement. Ces quatre éléments sont imposés dans le code civil à l’article

Les conditions du dol Il y a 2 conditions pour retenir le dol pour nullité du contrat. 1.      Le caractère déterminant Dans la mesure où le dol est un vice du consentement, il en résulte que ce dol n'est une cause de nullité que si il a déterminé le consentement de la victime. Il faut que la victime prouve qu'elle n'aurait pas contracté si elle avait su la réalité. Il arrive de distinguer 2 types de dols :Dol principal : dol qu'on vient de définir avec son caractère déterminant.Dol incident :

FORMALISME ET CONSENSUALISME Le contrat doit se former par l’accord des volontés, qui ne peut se réaliser que si le consentement de chaque partie s’est extériorisé. Alors que le consensualisme consacre la liberté d’expression du consentement, le formalisme considère que le consentement ne sera pleinement efficace que s’il revêt une forme déterminée. Le principe du consensualisme. En droit français, il n’est exprimé par aucun texte. Traditionnellement, on le déduit de l’art. 1108 (aucune

la nullité du contrat. Il convient de distinguer les vices de consentement des situations dans lesquelles le consentement fait défaut. Cette distinction manifeste une différence de contenu et de sanction. Il faut distinguer entre les vices de consentement et l'inexistence de consentement. En effet, les vices de consentement viennent troubler la conclusion du contrat et entraine sa nullité relative alors que l'inexistence du condition de consentement comme un condition de validité du contrat entraine

certes une notion clef en droit des contrats mais elle est certainement la plus difficile à cerner et la plus controversée car, encore aujourd’hui, certains courants doctrinaux proposent sa suppression. Néanmoins, elle reste une condition nécessaire de validité d’un contrat au visa de l’article 1108 du code civil. L’article 1131 pose que « l’obligation sans cause, ou sur une fausse cause ou sur une cause illicite ne peut avoir aucun effet ». La cause du contrat doit ainsi être existante et elle doit

être tenu du paiement d’une somme d’argent, le débiteur peut aussi être tenu d’une abstention. Par ex : les obligations de non-concurrence, si on est propriétaire d’un fond de commerce d’une boulangerie, on peut la vendre, on est alors tenu par le contrat de vente de ne pas concurrencer le repreneur. Quelque soit l’objet de l’obligation, le débiteur est toujours tenu de ne rien faire qui puisse compromettre l’exécution de son obligation. Ex : une personne doit une grosse somme d’argent à son créancier

1305 TD 5 : Les vices du consentement Commentaire d’arrêt Le contrat, pour être légalement formé, doit nécessiter trois conditions de validité. D’abord il doit y avoir le consentement des parties, celles-ci doivent avoir la capacité de contracter et le contenu de ce contrat doit être licite et certain. Mais, nous pouvons voir que des fois le consentement peut être entaché de vices, ce qui peut entrainer l’annulation du contrat. C’est le sujet de l’arrêt rendu par la Cour de cassation dans sa

Cas pratique du droit des obligations : Nullité du contrat pour vice de consentement Sujet : Afin de rassembler une somme d’argent pour accomplir un projet personnelle, Janette, organise un vide de grenier. Elle découvre alors un ancien tableau qui avait appartenu à sa grand-mère qu’elle a décidé de vendre une somme assez importante pour payer son voyage. Seulement quelques temps avant de partir elle découvre que c’est un tableau d’un grand peintre offert à sa grand-mère et que Paul qui l’a