La Parole Le Silence

imperceptiblement cessé d’être humain », pensa Claude. Ses épaules se contractèrent ; l’angoisse semblait inaltérable comme le ciel au-dessus de la lamentation funèbre des chiens qui se perdait maintenant dans le silence éblouissant : face à face avec la vanité d’être homme, malade de silence et de l’irréductible accusation du monde qu’est un mourant qu’on aime. Plus puissante que la forêt et que le ciel, la mort empoignait son visage, le tournait de force vers son éternel combat. « Combien d’êtres

symbolique. Commençons par voir en quoi les femmes jouent un rôle secondaire, cela se voit tout d’abord dans leur place sur la liste des personnages, mais aussi par rapport à leur position au niveau de l’intrigue et enfin, grâce à leur prise de paroles. Si l’on regarde la liste des personnages établie par Musset lui-même, la première chose qui nous saute aux yeux, c’est que les femmes sont toutes rejetées à la fin de la liste, ce qui montre bien que Musset ne leur accorde pas une grande importance

de façon absolue, la modulation différentielle code la différence entre deux échantillons consécutifs. En tablant sur le fait que la parole est principalement constituée de basses fréquences, et que les variations d'amplitude sont par conséquent lentes, on peut espérer par ce moyen diminuer la quantité d'information nécessaire pour la transmission fidèle de parole. Sur ce principe sont basées les modulations DELTA, DELTA-SIGMA, DPCM et ADPCM. Cette dernière modulation est en particulier utilisée

culpabilité ?PLAN I- Antoine exprime sa culpabilité- « Tu es là » (l1) = Antoine en revient à la situation précédente - « sans » (l3) = préposition, exprime l’absence de mot, dénonce le silence de Louis- « devant moi », « debout » (l4) + « sans mot » = rép, reproche à son frère de l’accuser uniquement par son silence énigmatique et sa posture- « à te mettre debout » = épanorthose, reformule pour mieux dire- « et » (l5,6,8) = CDC, complète ses propos, bcp de reproche - « je te plains » (l5), « pitié »

Bibliographie 1986 Monographies 1. Le serment de Kolvillàg d’Élie Wiesel : une écriture entre le silence et la parole / Vincent Engel. — Louvain-la-Neuve, 1986. — 150 p. — Mémoire de licence. 1988 Articles 2. Lecture / Vincent Engel. — Bruxelles : Labor, 1988. — P. 145-164. — (Maîtres et maisons de thé / Werner Lambersy ; lecture de Vincent Engel) (Espace Nord ; 49). 3. « Tchiripisch » : le jeu du décalage / Vincent Engel. — Bruxelles, 1988. — P. 75-85. — (Paul Willems) (Textyles ;

s’agit de photographie, dessin, schéma, symboles, tableau. • La parole : certes la parole est une production de son par la voie mais elle est modulée par l’intonation. Par ailleurs la parole est naturellement associée à la gestuelle, elle peut s’appuyer sur l’image ou le visuel. C’est le moyen le plus complet de la communication quand on est en présence du locuteur que ce soit physiquement ou virtuellement • L’écriture : autant la parole semble être le moyen le plus naturel de la communication, autant

trembler…Vous pouviez le sentir…L’immeuble s’effondra…Courrez…Courrez pour vos vies…Courrez….Soudain il fit noir dehors…Vous ne pouviez pas voir devant vous…Les débris recouvraient tout le monde..Tous pensaient que nous étions morts…Nous étions morts…Silence total…Silence…Rien que de la poussière dans la rue…Que de la poussière…Trois mille personnes…Trois mille personnes assassinées…Que va-t-il se passer là…ensuite… ? 3. WTC Habitants du quartier, femmes ayant accompagnées les corps le 11 Septembre récitant

ce qui n’était pas les yeux d’Éléonora ; et serpentant çà et là en nombreux méandres, elle s’échappait à la fin par une gorge ténébreuse à travers des montagnes encore plus obscures que celles d’où elle était sortie. Nous la nommions la rivière du Silence ; car il semblait qu’il y eût dans son cours une influence pacifiante. Aucun murmure ne s’élevait de son lit, et elle se promenait partout si doucement, que les grains de sable, semblables à des perles, que nous aimions à contempler dans la profondeur

ouvre pour nos lecteurs quelques pistes. Comment communiquer sans les mots avec une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ? L’être humain est un être de communication. A sa naissance, les trois piliers de communication sont le regard, la parole et le toucher. Mais ce qui est naturel en communication avec des nouveau-nés, peut complètement disparaître dans l’accompagnement des fins de vie des patients non communicants. o Le regard est le premier canal de communication. Pour un patient, comment

reprendre la définition que donne Pierre Vermersch de l’entretien d’explicitation : « C’est un ensemble de pratiques d’écoute basées sur des grilles de repérage de ce qui est dit et de techniques de formulations de relances (questions, reformulations, silences) qui visent à aider, à accompagner la mise en mots d’un domaine particulier de l’expérience en relation avec des buts personnels et institutionnels divers. » Dans son ouvrage, l’auteur développe le concept de la « verbalisation de l’action » ainsi