La Pensée De Beccaria

apporter des critiques sur l’Ancien Régime, mise en place liée à la légalité des délits et peines®la loi détermine les délits et les peines (ce qui est permis ou non). C’est avec l’Esprits des Lois en 1748 ou le Traité des délits et des peines de Beccaria en 1764, qu’on assiste à une libéralisation des peines encourues ou dénoncées. La proportionnalité des sanctions, apparaît également, qui est plus prise en compte avec des atteintes à l’intégrité physique. Cette vision à été reprise et en 1791 la

l'histoire, certains courants de pensée ont même avancé l'idée que la règle de droit serait à la fois injuste et inutile. Certaines critique ont été très radicales,certains auteurs ayant même prédis le dépérissement du droit. Par exemple, selon Marx le droit est un instrument d'oppression de la classe dominée par la classe dominante et selon lui, l'achèvement du communisme déboucherait sur une société où le droit n'aurait plus de raison d'être. Outre ces courants de pensée extrêmes, certains peuples,

colonisation britannique il est largement rattaché a le famille de la common law. Le droit chinois Pendant longtemps le droit chinois a été dominé par les idées de Confucius, qui a élaboré un système politique, moral, et philosophique. Selon cette pensée aussi appelée philosophie humaniste, il ne faut pas troubler l'harmonie du monde, par des excès ou par la violence. Il y a un ordre cosmique comportant une interaction entre le ciel la terre et les hommes. Ciel et terre obéissent à des règles

deviennent inadaptées et inadéquates. Le second facteur concerne l’historie des idées politiques. Des idées, portées par les lumières, diffusées dans une large partie de la société, contribuent à modifier les états d’esprit dans la société. Les courants de pensée menacent la tradition, l’ordre établis. Et ces courants, sont au cœur des mouvements révolutionnaires. De plus, la monarchie était incapable de se réformer. Les régnes de Louis XV et XVI sont traversés d’influence contradictoires. Dans l’netourage

administratif européen a été très largement unifié par le prestige considérable attaché à l’œuvre du Conseil d’Etat. Le CE est une institution respectée, et on trouve partout en Europe la technique des PGD. Concernant le Droit pénal, c’est l’œuvre de Beccaria, qui explique très largement le rapprochement entre Droit nationaux. Au sein de cet ensemble, les branches du Droit sont les mêmes. Au sein même de ces branches, le vocabulaire est commun. On connaît le contrat, on connaît l’infraction, on connaît

succédées en apportant différentes réponses à ces questions. Cette succession de réponses explique aujourd’hui que le droit de punir repose sur plusieurs fondements. Différentes réponses doctrinales : ¤ L’école classique : Ce courrant de pensée est dit classique car il considère dans un premier temps que l’homme est détenteur d’un libre arbitre, et dès lors ce libre arbitre fonde la responsabilité pénale, si quelqu’un a commis une infraction il l’a fait de son libre arbitre donc il doit

permet d'éviter de trop longues peines de prison), mesures de désintoxication, injonction thérapeutique, sursis avec mise à l'épreuve (SME) Juge d'application des peines (création qui a 50 ans) : importance de plus en plus important aujourd'hui. La pensée post-pénale se développe la société a beaucoup d'armes à son actif Auj, cette doctrine est relayée par l'Ecole des droits de l'homme, illustré par Robert Badinter et madame Delmas-Marty, Christine Lazergue. C'est en procédure pénale que les

c’est une matière qui permet de raisonner, de convaincre.) Def : le droit c’est l’ensemble des règles qui régisse la vie des hommes en société. En dehors d’une société on ne s’impose pas de règle de droit. Le droit se rapporte à ce que l’on pense être une bonne société. Jean Carbonnier, est le 1er juriste qui a véritablement insisté sur ce qu’on appelle l’analyse sociologique du droit = pour que le droit soit plus efficace, qu’il rentre véritablement en application. Pour JC la multiplication

qu’au point de vue de la science pénale qu’on y soutiendra l’impossibilité de se servir de principe du libre arbitre, et la nécessité d’asseoir cette science sur une base différente e plus solide. Dans ce livre, point de métaphysique, l’auteur ayant pensé que toute conception de ce genre doit être écartée d’une science qui dérive d’une nécessité sociale, et dont le but est essentiellement pratique. C’est sur les faits bien constatés qu’il a cru devoir fonder des inductions, et c’est par là qu’il s’est

commune. Ces deux droits avez une vocation à l’universalité, droit romain s’utilisait partout, droit canonique s’applique à tous les chrétiens. Cosmopolitisme des droits savants, s’influence de tout et vont voyager partout en Europe. XIV siècle, pensée juridique unique fondée sur les mêmes racines. Droit savant va décliner à partir du XVI siècle, usages locaux vont prendre le pas. On considère que le jus commune est supplétif. Chapitre 2 : les tentatives d’harmonisation sous l’ancien régime