La Personnification Du Temps

mélancolie du poète puis de son amour impossible. Paul Verlaine utilise une périphrase tout le long du poème. Il se trouve dans une cour, et parle de ses sentiments donc de son jardin secret. Le jardin où se trouve Verlaine est un lieu très abimé par le temps: "porte étroite qui chancèle" v1, on se rend déjà compte que l'endroit est confiné et plus en très bon état. Cette idée est renforcée au vers 2 par "le petit jardin". Les émotions du poète sont changeantes. "Rien n'a changé" v5 veut dire qu'il y a

Problèmatique : comment le poète utilise le thème du temps, en évoquant, malgré le poids du passé, puis le présent courageux de la Résistance, pour susciter l’espoir dans l’avenir? Axe 1 : Un temps perturbé a) Le poid du passé - hyperbole du vers 1 : "Agé de cent-mille ans" -> développement du passé, prend toute la place, poète accablé d'années - vers 5 : "depuis trop de mois" -> pesanteur de la situation -> occupation nazie - personnification du temps transformer en figure allégorique vers 3 : "vieillard"

effet . On distinguera au niveau de la classe de 3ème, Quatre grandes familles : 1.1 Les figures d’analogie et de substitution qui rapprochent deux éléments (comparaison, métaphore, personnification, allégorie, symbole) ou qui désigne un élément sous une autre dénomination (périphrase, métonymie, synecdoque). a/ La comparaison  : elle met en relation un comparé (élément

l’auteur utilise plusieurs champs lexicaux faisant référence à ce thème. Ainsi, le verbe rire (v.34) signifie le plaisir accru, prendre du bon temps. De ce fait, l’hyperbole je veux rire sans repos (v.34) accentue l’idée de la thématique car le poète ne veut mettre aucune limite à sa jouissance. Le mot jouer (v.5) suggère qu’il est temps pour lui de s’amuser et d’avoir de l’agrément dans la vie. Aussi, l’expression souci de vivre (v.8) révèle la crainte, la préoccupation de ne

classicisme, remet au goût du jour le genre de la Fable au XVIIème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. Dédicacées au Dauphin (l’héritier de Louis XIV), il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». (contexte littéraire et auteur). Le récit conte les ravages causés par la peste, vue comme un châtiment divin, puis se concentre ensuite

peine de l’exécuter elle va donc dans cette scène tenter de faire comprendre à Britannicus ce qui se trame sous son nez. Comment dans cette scène tragique Junie essaie-t-elle de dévoilé à Britannicus le stratagème de Néron ?Dans un premier temps nous étudierons cette scène de retrouvaille et pour finir nous monterons le tragique de cette scène. Britannicus et Junie sont réunis dans une même salle pourtant l’ambiance n’est pas très joyeuse. Tout D’abord on remarque Britannicus qui essaie tant

Du récit poétique à la lecture allégorique : A) Une narration : 1) Le cadre énonciatif : 2) Un rythme narratif vivant : 3) Une situation socio-spatiale : B) La symbolique de l’oiseau : 1) Du récit au symbole : 2) La personnification de l’albatros : 3) Les réseaux symboliques : II) Idéal de Baudelaire : Poésie et liberté : A) La poésie aérienne : 1) Un univers infini : 2) Supériorité du poète : B) L’art poétique : 1) Noblesse et pureté de forme :

poème Le lac, le poète sollicite la nature pour contrer les effets dévastateurs du temps et pérenniser les souvenirs d’un amour passé. * Sujet divisé : L’emphase sur le temps; La continuité du temps; L’envie de la nature DÉVELOPPEMENT I. Le poète met l’emphase sur l’impuissance de l’homme face au temps A. Il interpelle le temps 1. Apostrophe a) « Ô temps! » v.23 Le poète invoque le temps comme s’il était Dieu 2. Questionnement répété a) « Que les jours de malheur

l’attention du lecteur, en annonçant par « encore »que qq chose va se passer. Cette situation initiale est liée à la mort, à l’immobilité : « Rien ne bougeait » / « morte » / « ombres ». l.4 : élément déclencheur : « J’ai marché » = changement de temps. Le « je » se met en route, et va tout transformer. l.6 à 13 : succession d’actions , essentiellement au passé simple, dans l’ordre chronologique : « dit »(l.7) ; « ris » (l.8) ; « s’échevela » (l.8) ; « reconnus » (l.9) ; « levai » (l.10) …

› Le vivant témoignage des bois p. 4 Séance 4 › Le goût de la liberté p. 6 Séance 5 › Qui fait quoi ? p. 7 Séance 6 › L’arbre, au carrefour de l’art et du réel p. 8 Séance 7 › La Nature et la Raison p. 10 Séance 8 › Ralentir le temps p. 11 Séance 9 › Atelier d’édition p. 13 Séance 10 › Évaluation de fin de chapitre p. 14 SOMMAIRE Édition de référence : Folio Junior Textes classiques no 1693. Séquence réalisée par Bruno Cossou, professeur de lettres au lycée Stendhal