La Philosophie Peut Elle Parler De La Religion

Nietzsche nous offre le Gai savoir, invoquant cet esprit libre qui, tel un troubadour, sait si bien danser sur la morale! Le thème de la religion est omniprésent dans les œuvres de Nietzsche, et c’est ce sur quoi nous allons argumenter au sein de cet essai. Nous allons donc parler dans un premier temps de la critique Nietzschéenne du christianisme pour ensuite parler, dans un second temps, des implications de la mort de dieu. 1. La critique Nietzschéenne du christianisme a. La démystification

philosophe, l'artiste et le savant ne sont pas seulement, comme on dit, des tempéraments, retenus, l'un par la méditation à fleur d'objet, le second par l'activité imageante, le troisième enfin appliqué à quelque manipulation avisée. Malgré ce qu'il peut y avoir de vrai dans ces indications, on ne saurait admettre aussi vite qu'une certaine inclination suffise à déterminer un type humain et, surtout, rende compte de l'énorme quantité d'ouvrages que les hommes conservent, dans lesquels ils se reconnaissent

En 1853 ont lieu les séances de tables tournantes chez Delphine de Girardin. Cette expérience permet au poète de se former une nouvelle religion, très précisément évoquée dans le poème des Contemplations intitulé « Ce que dit la bouche d'ombre ». Panthéisme et christianisme s'y mêlent pour former une pensée qui relève aussi bien de la religion que de la philosophie. Le dieu de Hugo n'est ni tout a fait impersonnel, ni tout à fait anthropomorphe : il serait plutôt la voix de la conscience, une forme

sont pas croqués manque d'épaisseur psychologique. Les contes avaient l'idée d'être didactique. Il y a toujours une incitation de l'enfant jusqu'à l'adulte avec l'incitation à la sexualité. Chaque conte a un message caché. Quand on réfléchit, le conte peut être terrible. Etude du chapitre 1 (incipit) I. Présentation des personnages Les personnages sont décris selon l'ordre d'entrée en scène : - Candide, qui est un personnage naïf, mais toutefois il n'est pas "sot", on nous le prouve avec l'expression

Nietzsche et la religion Nietzsche, qui définit l’homme comme « fabricateur de dieux » est, avant tout, un critique de l’idolâtrie qui peut prendre bien d’autres formes que celle de la religion. Le christianisme est, selon lui, à l’origine de sa propre « euthanasie » qui résulte d’une contradiction entre sa morale de probité et le dogme. La sortie du christianisme n’est donc pas en tant que telle une bonne nouvelle, ni une nouvelle rassurante. Cependant, la leçon de Nietzsche est que l’avenir

1960. La Jamaïque nouvellement constituée va faire naître une nouvelle religion : le rastafarisme. Le mouvement rastafari est un mouvement religieux qui se divise en deux mots : ras = tête, seigneur et tafari = celui qui sera craint. Ce mouvement va connaître une évolution considérable, il va se répandre partout dans le monde et va s’adapter en fonction des populations, lieux géographiques, etc. Ainsi, peut-on dire que l’on est passé d’un mouvement religieux à une culture très commercialisée 

Saint-Barthélemy, |partis pris et en analysent le délire. [...] | |leurs concitoyens qui n'allaient point à la messe. |   Il me suffit d'entendre quelqu'un parler sincèrement d'idéal, | |   Il y a des fanatiques de sang-froid : ce sont les juges qui |d'avenir, de philosophie, de l'entendre dire "vous" avec une inflexion| |condamnent à la mort ceux qui n'ont d'autre crime que de ne pas |d'assurance, d'invoquer les "autres" et s'en estimer l'interprète - |

L’incompatibilité  est le propre de ce qui ne peut coexister. Si la science et la religion sont incompatibles, cela signifie qu’elles ne peuvent s’accorder sur une question donnée et que si l’on adopte l’une, l’autre est nécessairement exclue. De fait les religions proposent des croyances, des dogmes alors que la science se définit comme une connaissance rationnelle, méthodique et objective d’un domaine d’objets. L’une requiert la foi, l’autre ne reconnaît que la validité de la preuve mathématique

avait l’éducation des jeunes aristocrates grecs, il était cultivé, « sportif » (terme qui n’existait pas à l’époque), il avait beaucoup de talent. Il avait écrit du théâtre. Mais lorsqu’il a rencontré Socrate, il a décidé de consacrer sa vie à la philosophie, et a détruit ses pièces de théâtre. On sait qu’il en a écrit, mais on ne les connait pas. Cependant, il en reste quelque chose, car les dialogues qu’il a écrit, dans lesquels il met en scène son maître Socrate, sont construits comme de véritables

réalité, expérimental[1]. Critique envers le dogmatisme, le libertinage refuse la notion de système philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme [2]. Matérialistes, les libertins considèrent que tout dans l’univers relève de la matière, laquelle impose, seule, ses lois. Ils estiment donc que la compréhension du monde relève de la seule raison, reniant, pour beaucoup, la notion