La Pitié Dangereuse

future, action plutôt dangereuse. Une situation du danger qui s’illustre dans la tonalité du discours même avec la récurrence des phonèmes « oin » et « oie » aux vers 6 à 10. Par ailleurs, il en découle un certain divertissement du spectateur qui tenu en haleine, retient son souffle. Face à la beauté du héros et aux valeurs qu’il véhicule, le spectateur peut être admiratif face à ce personnage qui choisit pour l’honneur de défendre sa cité. Il peut ressentir également de la pitié pour ce «  personnage

vice et la vénalité qui habitent l’héroïne. *Les romans de Jules Verne, où souvent le protagoniste a un caractère difficile, Nemo et son « mobilis in mobile » mais qui entraîne cependant le lecteur dans un monde fantastique. Nemo tenaillé entre la pitié et la haine cherche si la justice est dans la vengeance ou dans le pardon. *Le conte et son univers féérique qui entraînent le lecteur dans des cadres magiques, où souvent il assiste à la libération du personnage. Ceci est très présent dans La Belle

caché n'était pas prémédité tout comme celle du Baron. Le procédé dit « du témoin caché » accompagne l'évolution de la pièce en faisant passer l'intrigue du registre comique au registre tragique. L'acte III propose une utilisation déraisonnable et dangereuse de ce procédé qui mêle les registres lyrique, tragique et pathétique. La réplique de Camille l.30 à 32 « Tu l'aimes pauvre fille ; il ne t'épousera pas, et la preuve, je vais te la donner ; rentre derrière ce rideau, tu n'auras qu'à prêter l'oreille

repose non sur la force mais sur l’habileté de DJ à jouer la comédie. Il utilise la flatterie (l.64-65) « cent hommages », l’hypocrisie, il feint des sentiments qu’il n’éprouve pas (l.67) « des transports, des larmes et des soupirs » pour susciter la pitié chez sa victime. Toute cette comédie révèle la maîtrise de DJ « la mener doucement où nous avons envie de la faire venir (l.71) . Chaque conquête n’est qu’une occasion pour améliorer sa technique. Dans cette Tirade, l’argumentation de DJ repose

spectateur se retrouve couper du monde extérieur. Le comédien entre dans son personnage. Le divertissement peut se vivre sous forme de tristesse, à travers chaque émotions du personnage, s'émouvoir de son vécu. Ainsi nous ressentons par les tragédies la pitié et la tristesse par rapport des personnage .Le tragique touche le spectateur dans ce qu'il a de plus précieux (sa famille, ses proches...).Prenons pour exemple Œdipe est un homme écrasé par le destin, il passe du paroxysme bonheur au paroxysme du malheur

chancelier de l’Allemagne. En mars 1933, il va obtenir les pleins pouvoirs, le parti nazi devient alors le seul parti politique autorisé. Hitler en est le chef, c’est un parti politique raciste, antisémite, violent…Selon lui, la « race » Juive est dangereuse pour les allemands, « race » supérieure appelée Aryenne. Pour « préserver » cette « race », les lois de Nuremberg vont être imposées le 15 septembre 1935, lois qui interdisent, entre autre, les mariages et rapports sexuels entre Allemands et Juifs

souvent sottes ou vaniteuses, témoin le Corbeau et son fromage, ou encore l'Âne qui donne pour tous les autres en tribut au ciel sa propre vie (VII, 1). Et il faut bien constater avec Rousseau que le lecteur, emporté par le récit, n'a pas tellement pitié de ces victimes… Car il est rare que le fabuliste consacre quelques vers à s'apitoyer sur le dindon de la farce : il nous livre les faits tels quels. 3. Quelle morale de vie se dégage des fables : débrouillardise et médiocrité ? Devant ces constatations

raison de la montée du nazisme. Réfugié à Londres, il y poursuit une œuvre de biographe (Joseph Fouché, Marie Antoinette, Marie Stuart) et surtout d'auteur de romans et nouvelles qui ont conservé leur attrait près d'un siècle plus tard (Amok, La Pitié dangereuse,La Confusion des sentiments). Dans son livre testament Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de l'« Âge d'or » de l'Europe et analyse avec lucidité ce qu'il considère être l'échec d'une civilisation. Stefan Zweig

sans-abris ? Plan : I- Un texte qui nous renseigne sur la vie des SDF. II- Un témoignage bouleversant. I- Un texte qui nous renseigne sur la vie des SDF. (un texte informatif) Le danger est omniprésent : champ lexical du danger. L.2 « dangereuse » ; l.5 « risques » - « des dangers » ; l.9 « proie ». Pour survivre il faut suivre certaines régles. On ne peut pas rester longtemps au même endroit et on doit se fondre dans le décor. (1er paragraphe) Verbe de mouvement : marcher pour ne pas

Pourtant, il faut reconnaître que ce drame s’est paré de ses plus beaux atours. En effet, le réalisateur a su restituer avec fidélité les riches costumes et les décors grandioses de la cour, sans omettre les guenilles et les rues insalubres et dangereuses du Paris de la Renaissance. De plus, Chéreau a choisi de tourner son film dans des couleurs très sombres, très mates jouant en permanence entre le clair obscur pour créer une ambiance lourde qui maintient le public sous tension. Si, comme moi, vous