La Pitié Dangereuse

l’indignation). De plus l’indentification implique directement le lecteur en le prenant à partie, en l’interpellant, en essayant de créer des connivences, des intérêts communs entre l’auteur et le lecteur. L’auteur peut même faire inspirer de la pitié pour son personnage et utiliser l’éloquence pathétique. Pour amplifier cette identification l’auteur peut faire appel à différentes figures de style littéraire. Pour souligner la proximité Jacques Prévert dans la chanson populaire BARBARA a recours

Publication de Erasme, biographie 1935 Publication de Marie Stuart, biographie 1936 Publication de Castellion contre Calvin, biographie 1937 Publication de Le Chandelier enterré, nouvelle 1938 Publication de Impatience du cœur Publication de La Pitié dangereuse, roman Publication de Magellan, biographie Stefan Zweig divorce de Friederike. Ils garderont toutefois des liens étroits. 1940 Zweig devient citoyen britannique et se remarie avec sa secrétaire Lotte Altmann. En compagnie de son épouse il

femmes se quittent. Troisième acte Cet acte verra tout d’abord de nombreuses discussions entre Ferrante et Inès de Castro. Le roi se confesse de plus en plus à elle et il devient flagrant que ces confessions vont si loin qu’elles en deviennent dangereuses pour Inès. Elle risque fort que celui-ci regrette de lui montrer ainsi ses faiblesses et ne prenne des décisions graves à son sujet. C’est d’ailleurs l’espoir des conseillers qui souhaitent sa mort. © Tous droits réservés – http://www.fichesdelecture

comprend que l’extérieur n’est pas en accord avec l’intérieur. Cela nous amène à relire le texte et à comprendre l’ironie. Cela met le lecteur dans une position de malaise, ce qui rend le personnage encore plus douloureux et nous incite encore plus à la pitié, malgré que pas une seule fois Hugo plaint G. Souffrance tout d’abord physique, empathie, on se met à la place de la personne. Hugo essaie de nous faire souffrir. Ensuite, cette souffrance est volontaire ce qui accentue cette souffrance, cette révolte

un ressort tragique. Cette passion est toujours fatale, voulue par des forces supérieures, elle mène les personnages à leur perte : ces derniers passent par différents stades jusqu’à atteindre une folie meurtrière. Cette passion inspire terreur et pitié, comme constatée dans Amok , qui montre une folie destructrice, permettant aux spectateurs, avec un effet de catharsis, de purger leurs penchants et d’adopter la bonne conduite de son temps. En effet la passion a une fonction

éducation religieuse et donc, étaient souvent placées au couvent. Elles devaient donc rester vierges jusqu'au mariage . La femme était conçue comme destinée au bon plaisir des hommes. Pour eux, les femmes étaient passives, sottes, traitresses et dangereuse. La femme à cependant évolué dans la société, elle reçoit quand même une éducation quelle quelle soit. Médée incarne depuis l'antiquité l'effet dévastateur de la passion de vengeance amoureuse. Au XVIIème siècle, une Médée à vu le jour, celle

sont souvent sottes ou vaniteuses, témoin le corbeau et son fromage, ou encore l’âne qui donne pour tous les autres en tribut au ciel sa propre vie. - Et il faut bien constater avec Rousseau que le lecteur, emporté par le récit, n’a pas tellement pitié de ces victimes… car il est très rare que le fabuliste consacre qlq vers à s’apitoyer sur le dindon de la farce : il nous livre les faits tels quels. 3) Quelle morale de vie se dégage des fables : débrouillardise et médiocrité ? -Devant ses constatations

tolérance semble donc aller de soi, puisqu’il ne s’agit plus que de tolérer de petites différences, les H étant tous « frères pour l’essentiel. L’argumentation imparable est encore renforcée par le détournement du discours religieux, la prière, la pitié, pour lutter contre les méfaits des religions. Texte 5 : Voltaire, Le Nègre de Surinam (Candide, chap XIX) Le Chapitre xix de Candide, qui commence avec cet extrait relatant la rencontre d’un esclave noir horriblement mutilé avec qui s’entretient

possibilité de s’adonner à des activités perçues comme étant d’une nature physiquement ou moralement dommageables ou dangereuses pour sa personne ». Ainsi, selon ce principe, le sadomasochisme est tolérable, si toutes les personnes sont consentantes. Dans l’affaire, ce n’est pas les actes sadomasochistes qui ont été condamnés par la CEDH, mais le fait que la victime ait dit pitié, et qu’aucun des participants n’ai arrêté. Par ailleurs, cette autonomie personnelle peut aller à l’encontre de la

ses mots. Je me mettais à sa place pour avoir exactement les mêmes émotions. Je suis vraiment entrée dans la peau du personnage. J'ai complètement adoré cette oeuvre qui m'a permis de retrouver les mêmes sentiments que lors de ma lecture de La pitié dangereuse du même auteur. Ma note : 4,5/5 belledenuit Nombre de messages: 783 Age: 34 Location: Sud de la France Date d'inscription: 05/03/2009   * * * * * * * Re: Stefan ZWEIG - 24 heures de la vie d'une