La Pitié Dangereuse

sont de bien vilains défauts. * On est toujours punit de la gourmandise. * Si on continue à faire tout ce qui est mal et qui nous semble agréable, on aura des chagrins au lieu d’avoir des plaisirs. * Les choses qu’on nous défend sont dangereuses et quand nous les faisons, il nous arrive toujours quelque malheur. Résumé du récit : Tout commença le jour où Claude, un petit garçon de trois ans vit sa maman, Mme de Robert, poser sur la table un paquet de papillote comprenant tout un assortiment

doté d'une grande culture qui développa l'histoire des animaux. Il croyait que les animaux avaient une âme. Maxime : Pis comment est-il mort le gros? Maman : En vérité, son apparence n'est pas définie. Il a été accusé d'avoir répandu des idées dangereuses contre la religion. Il s'est enfui avant son procès et c'est pourquoi sa mort est floue. C’est grâce à ses disciples si ses œuvres sont si bien conservées. Par contre, ses disciples ont ajouté des détails à ses œuvres. Florence : Assez parler

comportons pas de la même manière que dans la sphère très privée. Par exemple au restaurant nous évitons de manger avec les doigts car ce n’est pas classe et pas propre. Le regard de l’autre est terrible car nous avons peur d’y voir du dédain, de la pitié, de la désapprobation. En passant devant des examinateurs à l’oral, Jean-Pierre va avoir toute l’attention portée sur lui alors qu’il préférerait être discret, voire invisible. Le regard de l’autre peut avoir deux effets :

1er2-textes pour bac-en cours- avril-élève-avec mouvements.pagesObjet d’étude I : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle, parcours : alchimie poétique : la boue et l'or ! A. L’œuvre : Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire 1. « Au lecteur » (extraits) 2. « Correspondances » 3. « Une Charogne » (extraits) B. Le parcours. Alchimie poétique : La boue et l’or 4. Aragon, « C », Les Yeux d’Elsa (1942) 5. Francis Ponge, « l’huitre », Le Parti pris des choses (1942)
 C. Lectures cursives

est le naturel chez l’homme et ce qui vient des institutions, « ce qu’on doit à soi-même et ce qu’on doit aux autres ». Le résultat de telle lecture devrait être l’amour pour la vertu et l’horreur du vice, « le courage et la sévérité pour soi, la pitié et l’indulgence pour les autres », de plus, les connaissances sur l’homme et ses devoirs. La jeune personne doit aussi lire les livres élémentaires de toutes les sciences pour être aimable et pour plaire en parlant à chacun son langage. Laclos se

liste de textes : - Manon Lescaut, les retrouvailles à St Sulpice (lignes 879 p 50)- Manon Lescaut, la rupture de Des Grieux avec son père (lignes 1469 p 173)- Manon Lescaut l’enterrement de Manon dans le désert (p 198 ligne 2178)- Les Liaisons dangereuses, lettre 81, Pierre Choderlos de Laclos, 1782- Madame Bovary, deuxième partie, chapitre 12, Gustave Flaubert 1857- Nana, Zola- Boule de Suif Maupassant 1879- ND de Paris, Victor Hugo 1831- Le comte de Monte Cristo, Alexandre Dumas 1846Les élèves

banque pour se consacrer pleinement à l’élaboration de son œuvre : le Grand Troupeau (1931), d’abord, où les visions hallucinées de la violence destructrice alternent avec un hymne à la nature et à la vie, puis Jean le Bleu (1932), Solitude de la Pitié (1932), le Chant du monde (1934) et Que ma joie demeure (1935), qui sont autant d' incantations panthéistes à la provençale. Le succès littéraire de GIONO lui conféra une grande autorité sur le plan littéraire, surtout auprès de ceux qui étaient séduits

de ses dires, car un historien moderne a contesté l’identité de l’auteur de ces récits, soulevant l’idée que ces textes auraient pu être le fruit de l’imagination de lecteurs n’ayant jamais posé un pied sur le Nouveau Monde. • Un conquérant sans pitié; Hernán Cortés (1485-1547): Alors que certains cherchaient à enrichir la culture européenne ou diffuser leur foi dans le monde, Cortés, lui, cherche à conquérir ce Nouvau Monde et ce à l’aide de sa puissance militaire et de ses connaissances sur

lien entre elles ; cette poursuite hébète et bientôt ennuie. Au mieux, ces folies de l'imagination jetteront le lecteur dans des rêveries tout à fait étrangères à ce qui est décrit par l'écrivain. C'est pourquoi une longue description est toujours dangereuse ; et, même dans les belles œuvres, elle commence souvent par rebuter. Aussi les livres médiocres, composés selon l'art de plaire un moment, ne s'attardent pas aux descriptions. Une belle œuvre les soutient, par un retour de pensée naturel au lecteur

d'étoiles d'or ; des faciès déformés, plombés, blêmis, incendiés ; des enrouements folâtres ! La démarche cruelle des oripeaux ! - Il y a quelques jeunes, - comment regarderaient-ils Chérubin? - pourvus de voix effrayantes et de quelques ressources dangereuses. On les envoie prendre du dos en ville, affublés d'un luxe dégoûtant. Ô le plus violent Paradis de la grimace enragée ! Pas de comparaison avec vos Fakirs et les autres bouffonneries scéniques. Dans des costumes improvisés avec le goût du mauvais