La Pluralité Des Philosophies Est Elle Un Argument Contre La Philosophie

est mort en 1715 » c’est parce que cela ne fait ni 13 ni 45 et que ce n’est ni plus tôt , ni plus tard que le représentant de la monarchie absolue est décédé , que cela nous plaise ou non ! La vérité est intolérante parce qu’elle n’admet pas la pluralité des jugements sur ces sujets et c’est même pour cela qu’on l’appelle vérité. b ) Distinction vérité de raison / vérité de fait Il nous faut par ailleurs remarquer qu’on peut distinguer , à l’instar de LEIBNIZ, qu’il existe deux types de vérités

croyances » UNESCO Comme l’affirme l’article premier de la Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle, « la culture prend des formes diverses à travers le temps et l’espace. Cette diversité s’incarne dans l’originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés composant l’humanité. Source d’échanges, d’innovation et de créativité, la diversité culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire qu’est la biodiversité dans l’ordre du vivant

stoïciennes (7, 1034C). Dans ce passage (cf. infra texte A), tiré d’un ouvrage ouvertement hostile au Portique, Plutarque se propose de nous montrer en quoi Zénon se serait contredit dans sa théorie des vertus, affirmant d’une part l’existence d’une pluralité de vertus, mais définissant chacune d’elles, apparemment, comme des manifestations différentes d’une seule vertu, la phronèsis. Si la contradiction n’a sans doute été qu’ap- parente, il n’en reste pas moins vrai qu’elle reflète manifestement une

l'histoire. Les rapports de l'histoire et de la science sociale d'après Cournot. Théories sur la division du travail. (1925). Paris : Librairie Félix Alcan, 1925, 163 pages. 5e édition précédée d'une préface sur la philosophie sociale et la pédagogie. Collection : Bibliothèque de philosophie contemporaine. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page : Times, 10 points. Édition électronique réalisée avec

l'avènement de la démocratie Le siècle qui illustre l'épanouissement du régime démocratique est le 5e s. avant notre ère, appelé le siècle de Périclès. On a trois raisons qui expliquent la mise en place de la démocratie: La guerre contre les Perse, ou les guerres médiques. En 490, on a la première guerre médique dans laquelle Athènes joue un rôle primordiale. On a une 2ème guerre médique qui se solde par une victoire navale. À cette époque, Athènes est déjà une démocratie mais ces

Pythagore, Thalès Euclide, dans le domaine de l'astronomie, dans le domaine de la médecine, Hippocrate, pour guérir pas de prière mais comprendre les raisons d'être de la maladie, adapter la thérapie scientifique, tout ceci est née en Grèce avec une philosophie assez récente avec le courant des sophistes, Sophia c'est la connaissance, c'est aussi bien la science que la sagesse. On ne fait progresser les connaissances qu'en remettant en cause les vérités admises. Les sophistes ont une mauvaise presse

disparates et si l’homme est modelé par sa culture, son éducation, il est déterminé par son environnement. A ce moment-là, on remplace une essence par une autre, cela signifie qu’à un déterminisme naturel, une philosophie de l’innée, on substitue une philosophie de l’acquis, mais cette philosophie de l’acquis aboutit finalement au même résultat : le déterminisme. C’est cette impasse qu’il faut à présent dépasser. L’idée d’un déterminisme naturel ou culturel ne résiste finalement pas à l’épreuve des

vivent que dans un présent étendu au futur proche et au passé récent. Ils sont manifestement incapables de narration ( inventer une fiction ) et de discussion argumentée ( Argumenter, c'est, en général, vouloir convaincre par l'usage de la raison et / ou à persuader, en faisant appel aux sentiments et à l'affectivité, d'une thèse contre d'autres thèses possibles, dont on doit aussi tenir compte pour parvenir à ses fins ; de plus l'homme seul cherche à construire des sciences ). Ces deux aptitudes n’appartiennent

d’idéal-type de Weber et développe l’ébauche d’une théorie de la formation des concepts Introduction En 1965, Max Weber publie «Essais sur la théorie de la science», un ouvrage où il relate les études de méthodologies, de critique et de philosophie. Ils portent essentiellement sur l’esprit, l’objet et les méthodes des sciences humaines, histoire et sociologie… L’extrait proposé à l’analyse en constitue les pages 170-175. Ce texte nous présente la conception de l’idéal-type, qui est le

de penser les conditions d’un accord de type démocratique, l’art, affirme-t-elle, « nous éclaire sur le sens de concepts politiques centraux des régimes de démocraties libérales, qui sont ceux de citoyenneté, d’engagement, de reconnaissance et de pluralité » 14Dans une perspective assez proche, Thierry De Duve s’interroge sur la place de l’art par rapport à l’idéal démocratique. Il établit un parallèle entre, d’une part, le sens commun esthétique chez Kant qui désigne l’accord universel des subjectivités