La Porte de l'enfer

vrai ! mais l’enfer » qui marquent avec intensité le trouble de RB « Mais c’est à se briser… mais je n’ai pas écrit » et les apostrophes « ô » C) Un dénouement funeste _  Antithèse Dieu # Satan : « Dieu », « bonté divine » # « Satan », « enfer », « démon » = le bien # mal. « L’homme en noir » = Le diable pour RB. _  Une mise en scène angoissante : « un homme en noir et masqué paraît à la porte du fond ». _  « instant funeste », « un coeur qui saigne », « vous vous perdez », « l’enfer de tous côtés

partant au front. On ne peut pas voir leurs visages, on ne peut pas savoir combien de soldats sont présents, ils disparaissent dans la brume. Otto dix rend ces soldats anonymes. Si l’on observe le ciel, on peut voir qu’Otto Dix a cherché à représenter l’enfer avec le rouge et les fumées ardentes. - Le panneau central représente une vision d’horreur du champ de bataille. On peut voir des cadavres à peine identifiables, des bâtiments écroulés ou brulés. Un des cadavres, à droite est parsemé de pustule

Il transforme une femme en squelette qui est une allégorie de la mort et rappelle que les hommes sont mortels . - Femmes damnées : selon le titre ces femmes seraient condamnées à l’enfer . Ce poème met en scène l’intimité entre deux femmes et porte sur le sophisme en général .- Le Mort joyeux : la mort n’est généralement pas joyeuse pourtant le nom du poème évoque un mort joyeux . L’auteur désire une mort atroce et la considère comme une délivrance . - Horreur

Qu'est ce que j'attend de ma relation aux autres ? La question porte sur la notion d'autrui qui est une médiation nécessaire entre moi et moi-même. Il est impossible de penser sans autrui. mais il est aussi impossible de vivre sans autrui. En étant porteur d'une exigeance absolue de respect, le problème du rapport à autrui est au coeur de la vie morale. Dans la vie on attend beaucoup de choses de nos relations avec les autres individus, on attend des choses différentes pour chaque relation, pour

alors la célèbre réplique : « L'enfer, c'est les autres ». En effet, le drame des trois personnages est leur impossibilité d'échapper aux autres, malgré le mal causé par leurs regards. Ils sont devenus inséparables et interdépendants les uns des autres : même quand la porte est ouverte, ils ne peuvent sortir du salon où ils sont retenus. Sartre montre ainsi que la nécessité absolue du regard d'autrui est comme une condamnation à ne pas pouvoir être seul. « L'enfer, c'est les autres. » Huis clos

pour cette raison que c’est le seul personnage vivant du tableau dont on voit le visage, c’est le seul à avoir son humanité. On peut on déduire que la seule chose d’humaine dans la guerre est la solidarité entre les soldats. Le personnage d’Otto ne porte pas l’uniforme du soldat et regarde le spectateur droit dans les yeux avec un regard presque effrayant. Par là il montre comment la guerre l'a transformé. 4) Le panneau inférieur (ou prédelle) présente un cercueil collectif contenant au moins trois

semblables, la reconnaissance d’autrui est donc essentielle dans la considération que l’Homme a de lui même, il n’y a qu’autrui capable de nous reconnaître comme un sujet. La reconnaissance d’autrui peut aller jusqu’à l’amour, dans ce cas l’amour qu’autrui porte sur nous même nous rend heureux, car en réalité nous désirons que l’autre nous désire. Lorsque ce désir est comblé l’Homme a une sensation de légèreté, de joie, qu’il appelle le bonheur. La reconnaissance d’autrui de soi comme un sujet contribue donc

soldat en France (notamment pour la bataille de Somme (1916) = britannique + français contre l’Allemagne) et en Russie. C’était une guerre de position avec notamment les tranchées. Comme l’horreur de la guerre le marque, ses peintures vont alors portées sur le thème de la Guerre. Entre 1925 et 1927, Otto Dix habitait à Berlin. C’est à ce moment-là qu’il peint les horreurs de la guerre comme par exemple le tableau des joueurs de skat. Il devient alors un artiste du mouvement de la Nouvelle Objectivité

LA DIVINE COMÉDIE TOME I : L’ENFER (1304-1307) Table des matières CHANT I................................................................................... 4 CHANT II ................................................................................10 CHANT III ...............................................................................16 CHANT IV .............................................................................. 22 CHANT V....................................................

un roman d’ Henri Barbusse (1873-1953), publié à Paris chez Flammarion en 1916. Prix Goncourt. Ce roman qui fit scandale, obtint un succès considérable et demeure quasiment la seule œuvre encore largement connue de ce romancier engagé, auteur de l’Enfer. Résumé du roman  Sous les ordres du caporal Bertrand, une escouade vit la vie quotidienne des combattants de la Première Guerre mondiale, dans la terre des tranchées d’Artois, depuis les derniers mois de 1914 jusqu’en décembre 1915. Barque, Cocon