La Productivité Du Travail Dans Le Modèle Neo Classique

THEME 1 : CPP & Formation des prix Equilibre partiel (MARSHALL) Equilibre général Les défaillances du marché : biens collectifs et externalités Le marché est le lieu de confrontation de l’O/D. Marché des B&S, Monétaire et Financier, du Travail. Equilibre partiel L’équilibre partiel égalise l’O/D d’un seul bien. L’équilibre général Walrassien égalise l’O/D pour chaque bien. Pas de monopole Les conditions de la CPP Atomicité : Multitude d’acheteurs et de demandeurs : aucun ne peu

d’autres entreprises Une entreprise cherche a être efficace et efficiente : l’efficacité est la capacité d’atteindre un objectif. l’efficience, c’est le rapport des résultats avec les moyens pour l’obtenir. ORGANISATIONS Cadre économique La productivité mesure la performance en termes de production. La rentabilité est le rapport d’un revenu au capital engagé pour l’obtenir. La profitabilité est le rapport du revenu au chiffre d’affaire. La valeur ajoutée, c’est à dire la richesse crée par l’entreprise

Économie du développement Chap 1 Introductif Chap 2 Les caractéristiques du sous-développement Chap 3 Les modèle orthodoxes (Débat sur les stratégies de développement) Chap 4 La dynamique de croissance (modèle de Harrod-Domar Chap 5 Progrès technique autonome Chap 6 Le modèle de Sir William Arthur - Lewis Chap 7 Modèles de développement Néo keynésien Chap 8 Les théories radicales Chap 9 Le développement durable Chap 10 Les débats sur les stratégies : l'aide au développement les évolutions

..........................................................................................12 3.2 L’effet de déplacement de Peacock et Wiseman.........................................................................12 3.3 Les différences de productivité de Baumol ...................................................................................13 3.4 La concentration différentielle des bénéfices et des coûts l’explication du courant des choix publics........................................

. Hégémonie du modèle Taylorien La fin du 19 e siècle et le début du 20 e siècle sont marqués par l’influence de la conception taylorienne de l’entreprise. Selon Wikipedia, le taylorisme est « une méthode de travail qui tire son nom de celui de l'ingénieur américain Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Reposant sur une division du travail en tâches simples et répétitives individuellement optimisées et sur le paiement des employés au rendement. ». C’est donc un modèle d’organisation qui vise à

de la monnaie que « bien qu'écrite par un styliste de premier ordre, l'ouvrage n'est pas facile à lire, ni à comprendre et à juger ». Aussi son œuvre a fait l'objet d'interprétations diverses. La plus influente demeure celle dite de la synthèse néo-classique dont les plus illustres représentants sont les prix Nobels John Hicks, qui est avec Alvin Hansen le fondateur de ce courant, Paul Samuelson et Franco Modigliani3. De nos jours la nouvelle économie keynésienne est relativement influente notamment

4 +sujet TD 5 Chapitre 4 : Les équilibres des marchés (suite) Partie 2 - La macroéconomie : Chapitre 5 - Le circuit Méthodologie + Correction TD 5 +sujet TD 6 économique Correction TD 6 Chapitre 6 : Approche classique et néoclassique Correction TD 6 + sujet TD7 Chapitre 6 : Approche classique et néoclassique (suite) Correction TD 7 Chapitre 7 : Approche keynésienne 09/01 au 18/01 CONTROLE COMMUN Objectifs à atteindre : Compréhension des principaux mécanismes économiques Situer les principales

sont principalement : l'asymétrie d'information entre le régulateur et le réglementé ; l'intérêt personnel du régulateur ; son insuffisante crédibilité. La théorie des incitations et des contrats (par exemple du type assureur/assuré ou contrat de travail) permettent de remédier de ces défauts. (Laffont, Tirole) Optimum paretien il se définit comme une situation économique efficace socialement au sens où personne ne peut améliorer sa position sans détériorer celle des autres. (Pareto) Théorème

Les grands courants de la psycho-sociologie des organisations. Mme PARRINI-ALEMANNO Bibliographie - Petit et Dubois - Introduction à la psychosociologie des organisations Edgar Morin - Introduction à la pensée complexe Pierre Bouvier – Le Travail Paul Watzlawick – Une logique de communication Grégory Bateson – Vers une écologie de l’esprit Edward T. Hall – Le langage silencieux Edward T. Hall – La dimension cachée (Jean-Michel Plane – Théorie des organisations – 4ème édition) - Godelier « la

compréhension Des travaux de groupe permettant d’évaluer le niveau de compréhension des éléments étudiés et favoriser l’interaction et l’échange d’expérience Des études de cas proposer des problèmes réels ou fictifs en vue de les résoudre à la lumière des modèles et principes étudiés et mettre ainsi à l’épreuve les connaissances et développer les habiletés d’analyse et de prise de décision DEFINITIONS Selon LAROUSSE 1. Management : mot angl 1. ensemble de techniques de gestion d’organisation et