La Promesse Jeanne Willis

Littérature de jeunesse La Promesse, Jeanne Willis et Tony Ross I- Introduction J'ai choisi de vous présenter un album écrit par Jeanne Willis et illustré par Tony Ross. Il s'intitule La Promesse. Cet album est paru aux éditions Gallimard Jeunesse en 2003. Jeanne Willis est une auteur anglaise. Après des études de littérature et ayant execrcé dans la publicité, elle décide de se consacrer entièrement à l'écriture. Elle est l'auteur de nombreux albums et notemment de Alice sourit publié

Sélection cycle 2 - 2011- 2012 La promesse Jeanne Willis – Tony Ross Gallimard Jeunesse - 2003 Titre recommandé par le ministère de l’Education Nationale pour le cycle 2 Thème de l’ouvrage Sur le thème des métamorphoses animales, histoire tragi-comique d’une promesse qui ne peut pas être tenue. Mots clés : Amour – Eau – Fidélité – Grenouille – Papillon – Humour – Mort Métamorphose Auteur : Jeanne Willis Illustrateur : Tony Ross Editeur : Gallimard 2003 Titre original : Tadpole’s promise

bras de sa mère. Giselle fait maintenant partie des Willis, fantômes de femmes mortes, trahies par leur promis. Toutes ont en commun leur haine des hommes.Elles sortent la nuit dans la forêt, et si jamais un homme s’y aventure, il subira leur vengeance, elles seront sans pitié. Cela se passe dans la clairière où est enterrée Giselle. Albrecht vient s’y recueillir et l’esprit de Giselle apparaît. Ils dansent ensemble jusqu'à ce que les Willis les interrompent ;Giselle et Albrecht s’enfuient.

fin adoucie nous présente un amoncellement d’enveloppes sur un paillasson et une lettre de rappel de la bibliothèque qui laisse supposer que le lapin a réellement été dévoré par le loup. Ce type d’humour se retrouve notamment dans La promesse de Jeanne Willis, Poussin noir de Rascal ou encore La grenouille à grande bouche de Francine Vidal. On se gardera toutefois de donner cette interprétation aux élèves et l’on engagera un débat avec eux sur la question : Que c’est-il réellement passé ?

978-2-8112-0092-3 Bragelonne-Milady 35, rue de la Bienfaisance - 75008 Paris 4|Page À Gary Hamilton, mon mari, qui n’aime pas les histoires qui font peur, mais qui a quand même lu celle-là. 5|Page Chapitre premier Déjà longtemps avant sa mort, Willie McCoy était un abruti. Qu’il ait rendu l’âme ne changeait rien à l’affaire. Il était affublé d’une veste écossaise voyante et d’un pantalon vert criard, et ses cheveux noirs coupés court et lissés en arrière mettaient en valeur son visage osseux triangulaire

Accéder à une œuvre théâtrale par la lecture de son texte nous garantit de façon évidente la jouissance intime de son contenu et la liberté de son interprétation. A – Le théâtre, c'est d'abord un texte, une œuvre poétique ou polémique, qu'il s'agisse de Jean Racine, de Bertolt Brecht ou de Bernard-Marie Koltès. La lecture permet de s'approprier le texte. Livre en main, on peut en prendre possession par des relectures, des retours en arrière, des notes personnelles... Exemple : Dans la solitude des champs

des monologues puisque le discours, qui est souvent mêlé à du récit (voir Benveniste) est toujours adressé à un tu. Les situations énonciatives sont donc toujours variables, et souvent réversibles, le je et le tu échangeant leur position respective. Jean Rousset dans Narcisse romancier affirme « autant de correspondants, autant de foyers réfléchissants ». Certains romans par lettres ne contiennent les lettres que d’un seul scripteur (Lettres portugaises : l’amante ne reçoit pas de réponse, si ce n’est

l’obscurantisme. C’est un danger énorme, parce qu’il nie la raison et déclare suspecte l’intelligence humaine. »[2] Pourtant, les mêmes Ecritures que nous partageons, nous avertissent de la folie que représente la « sagesse » humaine. Les belles promesses faites dans un passé pas si lointain d’un « âge d’or » annoncé avec triomphalisme, mais qui s’avère en fait, être un lamentable échec moral en est une incontestable démonstration. La cruelle réalité des suicides, en croissance si forte même chez

les œuvres majeures, les conceptions. – Quels sont les romans parus en 1913 ? Qui est Jacques Rivière ? • Le roman au début du un problème de genre XIXe siècle : Romans parus en 1913 Maurice Barrès, La Colline inspirée ; Roger Martin du Gard, Jean Barois ; Marcel Proust, Du côté de chez Swann ; Valery Larbaud, A. O. Barnabooth. La crise du roman Le naturalisme a toujours été en butte à des critiques, mais en 1887, à la parution de La Terre de Zola, elles proviennent cette fois des disciples

tournure idiomatique où il a des compléments obligés (l'espoir ou l'attente) ; quant au substantif, il en vient à signifier non plus un état, mais plutôt l'action de tromper ou de décevoir, cela impliquant un dit premier ayant forme de contrat ou de promesse. Or c'est là, très précisément, ce qu'exprime le terme allemand de Versagung, où la racine sagen (dire) reste encore souvent sensible. Pourtant, alors même que l'anglais choisit constamment pour ce terme la traduction par frustration, on peut constater