La Protection Du Consentement Au Mariage

solidaire des dettes issues des charges et obligations liées au mariage : il est ainsi pour les dettes ayant pour objet l’entretien du ménage (nourriture, habillement, logement, éducation), sauf si les dépenses s’avèrent excessives. Dans les autres cas, les règles qui s’appliquent dépendent du régime matrimonial. 1. Les régimes matrimoniaux attribués d’office Les époux n’ayant accompli aucune démarche particulière lors de leur mariage sont couverts par l’un des deux régimes suivants. • La communauté

même s’il meurt rapidement après (il est devenu un court instant une personne juridique, qui a donc des droits). Si l’enfant est mort (un des 2 ou les 2 caractères pas remplis), il n’a pas eu la personnalité juridique, a quand même une certaine protection/reconnaissance des autorités publiques. La naissance est un fait important en France : cela entre en jeu dans de nombreuses procédures -> Constat de la naissance B) Le constat de la naissance par l’autorité publique Il se traduit par l’établissement

générations. En ligne directe, le dgré est le nombre de générations qui séparent les parents . En ligne colatérale, le degré est la somme du nombre des générations qui sépare chacun de leur auteur commun. B - L'alliance Elle n'existe que dans le mariage. On ne peut absolument pas parler de lien d'alliance dans le Pacs ou dans le concubinage. Une fois mariés, vous êtes unis à la famille de votre conjoint. L'époux est lui seul unit à la famille de son conjoint. Dans l'alliance on retrouve une ligne

qu’avec l’avènement d’un mariage civil, soustrait au droit canonique. Le Code Napoléon de 1804 a maintenu le divorce, mais en le restreignant à des causes plus strictes. La Restauration a par la suite pleinement restitué au catholicisme le rang de religion d’Etat et une loi du 8 mars 1816 a purement et simplement supprimer le divorce. Durant près de soixante-dix ans , le mariage est alors devenu en France pratiquement indissoluble, au regard des causes d’annulation du mariage extrêmement limités :

CHAPITRE I : LE MARIAGE Il n'y a pas de définition précise du mariage dans les textes. D'après Portalis, le mariage est « la société de l'homme et de la femme qui s'unissent pour perpétuer leur espèce, pour s'aider par des secours mutuels à porter le poids de la vie et pour partager leur commune destinée ». Le code civil de 1804 traduit des influences très diverses. On va y trouver des principes du droit romain mais aussi des techniques du droit canonique. La constitution de 1791 a affirmé le

de la sphère économique. Cette étude est si importante qu'elle relève du droit civil. Mais n'est plus du droit extrapatrimonial de la famille. Ces matières sont : ¤ Les régimes matrimoniaux : règles déterminant l'ensemble des conséquences du mariage sur le patrimoine des époux. C'est donc un statut qui règle les intérêts pécuniaires des époux (entre eux et dans les rapports avec les tiers). En droit français, tout couple marié a un régime matrimonial. ¤ Les successions : c'est la transmission

nouvelles. - Présomption d'absence: Durée: 10 ans, par le juge des Tutelles. Il gère les biens de cette personne. Au bout des 10 ans, si pas de nouvelles de la personne absente, est établit un jugement déclaratif d'absence.Si il y avait un contrat de mariage, celui-ci est dissout lors de ce délai. Si la personne revient un beau jour, les biens sont restitués. • La disparition: personne dont on a plus de nouvelles, avec des circonstances particulières. Dès la date de la disparition atteint le délai

plus seulement fondée sur le mariage, elle peut exister en-dehors du mariage. Raison pour laquelle il y a des familles fondées sur autre chose que le mariage. Il est possible de définir la famille de manière large en considérant que la famille peut être construite comme une série de cercles concentriques où le cercle le plus large engloberait toutes les personnes qui descendent d’un auteur commun et également éventuellement ceux qui sont liés à ses membres par le mariage ou par d’autres liens : belle-fille

officiellement qu’une seule forme invariable et permanente. La famille était alors légitime, patriarcale, lignagère, et en principe, indissoluble. La famille était légitime en ce qu’elle avait pour socle le mariage, et pour seul socle, l’union matrimoniale. Tout le droit de la famille était ordonné autour du mariage, et cela jusqu’en 1999, qui en constituait le centre de gravité. Cela ne signifie pas qu’à cette époque l’union de fait, le concubinage, n’existait pas. Mais, le droit ne reconnaissait à cette forme

des liens de parenté (génétique) ou d'alliance (mariage). Au sens strict, c'est le groupe restreint, père et mère et de leur enfant vivant avec eux. La famille est une entité autonome mais ce n'est pas une personne morale. Le couple a l'origine est composé d'un H et d'une femme appelé couple conjugal. Titre 1) Le couple conjugal: Sous-titre 1) Le couple marié : Conjoint c'est la même chose qu'époux, c'est pour la notion de mariage. Le mariage c'est un acte juridique solennel par lequel un