La Raison Gouverner Action Humaine

lieux où l’on échange des idées. Et enfin les clubs est l’endroit où les esprits sérieux et soucieux de progrès s’intéressent aux problèmes politiques. On parle alors de l’âge de lumière, du triomphe de l’esprit philosophique et des conquêtes de la raison où les philosophes des lumières vont faire la liberté « éclairante et rayonnante » dans tous les domaines : la monarchie absolues, les dogmes religieux, la morale sociale et encore les sciences et la littérature. Les lumières françaises ont des caractéristiques

plus de d'interrogations sur ce qu'est la nature de l'homme, mais plutôt la constatation de ses travers et les moyens de les utiliser. L'idéal du prince: Le prince selon Machiavel doit d'abord être un réaliste, quelqu'un qui connaît la nature humaine et qui sait l'utiliser et avoir un soucis de sa réputation. Machiavel reconnaît l'importance de l'opinion publique et de son maniement, l'hypocrisie est un véritable devoir du prince. On trouve chez lui une théorie du gouvernement d'opinion avec l'importance

SABALY Cheikhou oumar SALL Mariétou SECK Abdouroihamane Adinane REHEMA Le texte : « les types de légitimités du pouvoir » Il existe en principe trois raisons internes qui justifient la domination et, par conséquent il existe trois fondements de la légitimité : tout d’abord l’autorité de l’éternel hier, c’est-à-dire celle des coutumes sanctifiées par leur validité immémoriale et par l’habitude enracinée

idées et la volonté qui les animent pour assurer la régulation sociale . 1Ere section : la science politique est une science . Le discours des politistes ayant un caractère scientifique , tend à la connaissance . Mais beaucoup d'activité humaine peuvent tendre a une connaissance sans pourtant qu'elle puisse être regarder comme scientifique . Au XIX e siècle, le cas de la phrénologie : ==> C'était une discipline dont un médecin état l'inventeur et qui avait pour objet l'étude du

parents, c’est une sorte d’automatisme. De même, l’homme de par sa nature est libre. Ainsi l’enfant, à partir du moment où il fait la distinction entre ce qu’il doit faire et ce qu’il ne doit pas faire est alors libre d’obéir ou de désobéir. L’être humain est donc libre d’inventer et de définir sa propre conception du bien et du mal. Pour des philosophes comme Socrate ou Saint Augustin, l’homme choisit le mal par ignorance. D’autres comme Kant affirment que l’homme choisit le mal en connaissance de

philosophie est une science qui amène à la réflexion. C’est une réflexion critique sur des questions fondamentales. Le philosophe se pose toujours des questions sur les divers aspects du monde qui nous entoure en étant rationnels et en se basant sur la raison. Nous devons faire avancer la société dans laquelle nous vivons en nous posant des questions qui amèneront à des réflexions pertinentes et critiques. Pour cela, il est préférable d’être philosophe. Premièrement, nous devons être philosophe car

vraiment maître de lui; car l'impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. » Introduction Rien de plus naturel que le sentiment selon lequel le principal obstacle au déploiement de la liberté humaine est la présence des lois que lui impose son existence sociale. Le rêve d'un état « primitif » où l'homme, ramené à son innocence première, ne serait soumis qu'à la nature même, ce rêve est bien puissant. Rousseau semble ici entreprendre de nous ramener

que les philosophes fussent rois ou que les rois fussent philosophes (La République) Platon évoque ici la théorie des "philosophes-rois". Platon pense qu'il n'est rien de pire que d'être gouverné par des ignorants. Pensant la politique comme un savoir, il en conclut que celui qui sait (le philosophe) doit gouverner. Pour cela, il faut, soit que les philosophes accèdent au gouvernement, soit que ceux qui gouvernent deviennent philosophes. Toute sa vie Platon cherchera en vain à réaliser ce projet.

républicaine). Néanmoins, il n’y a pas de rupture avec le sacré : les rédactions de loi ont presque toujours une dimension religieuse. On donne aux lois une origine divine, pour leur donner plus de poids. Une fois écrite, la loi peut en effet paraître trop humaine et éphémère, donc, il est nécessaire de la sacraliser pour asseoir son autorité. Section 1 : les prémices de la réflexion juridique I) Les présocratiques Ils s’interrogent sur le concept de justice, considérée comme inséparable de la volonté

6. Rousseau (1712-1778) : « Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix [...] juge infaillible du bien et du mal qui rend l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fais l’excellence de sa nature et la moralité de ses actions», Émile ou de l’éducation. 7. Hegel (1770-1831) « Les choses de la nature n’existent qu’immédiatement et d’une seule façon, tandis que l’homme, parce qu’il est esprit, a une double existence». Esthétique 8. André LALANDE (1867-1963), «