La Raison Permet De Juger Les Croyance

La religion est-elle « l’opium du peuple » La religion est l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacré ou la divinité. Une religion particulière est définie par les éléments spécifiques à une communauté de croyants : dogmes, livres sacrés, rites, cultes, sacrements, prescriptions en matière de morale, interdits, organisation, etc. La plupart des religions se sont développées à partir d'une révélation s'appuyant sur l'histoire

La Raison, la Science et la VéritéIntroduction:La raison est la traduction du mot logos qui signifie la raison comme la parole. Elle peut être considérée comme une source d’autorité dans la mesure ou pour justifier une idée on se réfère à une démonstration ou à des arguments. La raison désigne traditionnellement la faculté de distinguer le vrai du faux et de bien juger. Du point de vue pratique, la raison est la faculté de distinguer le bien du mal. La science désigne

latin « dubium », et de la racine duo, indique un état de l'esprit qui ne se sent pas assez éclairé pour porter un jugement et prononcer entre deux choses. Le doute c’est l’hésitation de l’esprit : on ne sait si une pensée est vraie ou fausse, si on a raison ou tort, si une chose est bien ou mal. Douter n'est pas nier : la négation est une certitude, le doute revient à admettre qu'on ne sait pas. Le doute est-il une faiblesse de l’esprit ? Empêche t-il la prise de décision et la progression vers la connaissance

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE SUJET : Le doute paralyse-t-il l'usage raison ? « Incertitude concernant quelque chose », voilà la définition que donne le Larousse du mot : doute. Cette définition peut donc nous laisser un doute sur elle même, en effet comment un sentiment avec de multiple facettes peut-être résumer en une seule phrase. Ce même sentiment qui peut, chez un Homme, crée de multiple réaction telle que la peur, la remise en cause, la question que à laquelle nous essaierons de répondre

Peut-on juger la culture à laquelle on appartient? En anthropologie,le mot culture désigne l'ensemble des croyances, mœurs et connaissances d'une civilisation. La culture va orienter le comportement d'une communauté, et déterminer ce qui est juste, ce que l'on doit faire, ou ne pas faire. Le jugement permet d'émettre un jugement de valeur, d'affirmer ou nier une idée. La notion de pouvoir détermine ce qui est possible, à quelles conditions et si l'on a la permission, ici, de juger notre propre

Depuis tout temps, les hommes se regroupes et adoptent ainsi le mode de vie, les droits, les tradition et les croyances de leurs groupes sociétés. Ces groupes sociales, que l'on nomme culture différent d'une région à l'autre et même si on note quelque points communs elles , il existent surtout de grandes oppositions. L'étude de ces société, appelés ethnologie nous permet de mieux les comprendre et les connaitre, mais même si grâce à ces recherches, ces culture ne nous sont plus étrangères, Pouvons

objets extérieurs, peuvent être analysées en leurs composants simples et les relations qu’elles entretiennent peuvent être connues. * Connaissance plus certaine. Trois types de connaissance : * Connaissance sensitive (moins sûre) : permet d’assurer l’existence des choses extérieures * Connaissance intuitive (la plus sûre) : repose sur une perception immédiate comme celle que l’on peut avoir de notre propre existence * Connaissance démonstrative : processus qui repose sur

l’énonciateur) et pour finir, de la croyance (adhésion subjective, croire c’est tenir pour vrai, de sorte que tout énoncé vrai, y compris celui qui est prouvé, fait appel aussi à la croyance). La croyance peut être envisagée sous deux points de vue : celui des objets, et alors la croyance ne s’applique qu’à quelques énoncé ; et le point de vue du sujet. Or, lorsque nous affirmons qu’un énoncé est vrai, quel que soit cet énoncé, nous le tenons aussi pour vrai. La croyance accompagne tous les énoncés que

question de la causalité. Le texte interroge le bien fondé de nos raisonnements, et notre possibilité à fonder une connaissance sur les relations de cause à effets. Ici, hume vise à démontrer que les relations de causes à effets ne relèvent que d’une croyance, à savoir que le monde soit régit autour de lois régulières et immuables. Dans la première partie de son argumentation « it is evident that all reasonings concerning matter of facts (…) that is the cause to another » Hume expose le problème visé

paresse. Pourtant il faut remarquer immédiatement que personne n’échappe aux préjugés et on voit difficilement comment les enfants ou même les adulte pourrait faire pour éviter d’accepter des croyances sans prendre la peine de les vérifier soi-même. Ainsi la majeure partie du temps nous agissons à l’aide de nos croyances ou de nos habitudes. Si certains préjugés sont inévitables et même vitaux, sont-ils pour autant utile ? Comment vivre sans préjugé alors? La question se pose donc de savoir comment reconnaître