La Raison Peut Elle Atteindre Le Réel

indépendamment de la pensée. Le monde réel n'existe qu'à travers les idées et les états de conscience. Empirisme: Doctrine philosophique qui considère que l’origine de toutes connaissances humaines ne provient que de l’expérience sensible, de l'observation. Rationalisme: Mode de pensée philosophique (chez Platon, Aristote, Épicure, Descartes, etc. ) selon lequel la raison est la seule source de connaissance. Tout ce qui existe a sa raison d'être et, de ce fait, peut être intelligible. Sensualisme:

d'éviter les préjugés et atteindre la vérité. -doute sceptique: douter pour douter, une fin en soi (ne permet pas de tirer de conclusion) -Doute cartésien: méthode qui permet d'atteindre la certitude, la vérité. -les informations données par les sens ne sont pas toujours conformes a la réalité. -l'hypothèse du trompeur. Peut-être il y a un dieu qui nous trompe a chaque fois qu'on est certain d'une chose. -l'hypothèse du rêve. La remise en question du réel de Bertrand Russel -la

PLATON. Se déplaçant d'objet en objet, le désir peut être illimité ou encore se transformer en insatisfaction radicale ( dépression, suicide) rapport désir / volonté : difference d'ampleur (désir plus fort) rapport désir / besoin : besoin : objet visé pour sa fonctionnalité et désir : objet vise pour son être (aspect symbolique) => désir est un besoin pour les Etres Humains. rapport désir / pulsions : pulsion : réaction immédiate, on peut parler de pulsions inconscientes, finalité plaisir

parler vert. Il faut alors reprocher à Rabelais, à Villon, à Brueghel, à tant d’autre…Tout ne vient pas de la Renaissance. On me reproche la cruauté systématique. Que le monde change d’âme, je changerai de forme. » 1789, le triomphe de la raison véhiculé durant tout le 18ème siècle en France. La philosophie des Lumières, l’encyclopédie de Diderot et l’optimisme général de cette époque nous poursuivent encore, plus de 200 ans après. L’âge d’or de l’esprit stimulera son courant contraire :

Michel Tremblay dans En pièce détachés, une pièce de théâtre qui met en scène Thérèse, une femme victime de fatalité, qui est la seule salarier de la maison. Dans cette pièce, publiée en 1966, Thérèse peut être perçu comme une fille sans avenir en raison de son impuissance dans son destin. Elle peut aussi être vue comme une fille ayant énormément de potentiel qui lui permettrais d’influencer les autres pour avoir ce qu’elle désire le plus. À première vue, dans En pièce détaché de Michel Tremblay

d’être beau esthétiquement, mais aujourd’hui de nombreux artistes visent l’Idée de Beau sans pour autant faire preuve d’une technique exceptionnelle. Pourquoi alors se demander si l’art est utile lorsqu’on sait que l’artiste ne vise pas cette fin ? Peut-on attendre de l’art qu’il soit utile ? Il paraît toutefois paradoxal de penser qu’un artiste travaille à quelque chose d’inutile et que sa création au final n’ait aucune fonction, ne serve à rien. Il est en effet attesté que de nombreuses oeuvres

précision, et les sens, suggèrent, atteignent la réalité, et en ce sens, ce que nous percevons de nos yeux. Son ambition serait alors d'atteindre un tel degrés de réalisme que la peinture puisse nous transmettre la nature sous son aspect le plus réel, en prenant en compte non seulement l'objet selon la façon dont il nous apparaît visuellement, mais aussi ce qu'il nous évoque, la façon dont il nous touche. Cependant, il semble que cette recherche de la réalité soit en contradiction avec sa manière

recueillir soigneusement les positions des philosophes qui ont enquêté sur la nature (phusis), observer tous les phénomènes naturels, puis remonter aux principes qui les fondent. Qu'il s'agisse d'astres, d'animaux, de plantes, la physique d'Aristote peut être considérée comme une vaste étude des changements.     Ces changements (metabolê) peuvent être de plusieurs sortes : le déplacement (phora), l'accroissement (auxèsis) et le décroissement (phtisis), l'altération (alloiôsis), et enfin, la génération

impression que le langage échoue parfois à traduire nos pensées ou nos sentiments ? Question essentielle, puisque la valeur de la communication se trouve ici en question. Si nous parvenons à déterminer la cause de ces imprécisions apparentes, alors peut-être parviendrons-nous à les surmonter. Bergson situe d’abord le problème : le langage, loin d’avoir minimisé l’effet néfaste de la conscience, qui nous éloigne du monde, l’a au contraire accentué par le recours aux noms communs, par nature réducteurs

vois. (…) » Alain, « Le libre jugement » dans Propos sur les pouvoirs. Ci-dessous un exemple de commentaire de texte entièrement rédigé. Introduction : Au quotidien, lorsqu'un peu machinalement nous disons « je pense que », cette expression peut annoncer une opinion immédiate irréfléchie autant qu'un véritable jugement. Or, qu'est-ce qui distingue l'une de l'autre ? Sommes-nous capables de différencier la simple croyance immédiate d'une idée vraiment réfléchie ? Sommes-nous toujours bien conscients