La Relation Auteur Lecteur

une interruption du récit pour évoquer le passé d’un personnage. L’effet produit est de donner des explications au lecteur, de la consistance au personnage. Pour écrire un retour en arrière il faut un indicateur temporel et il faut utiliser le plus- que- parfait. Anticipation : C’est une interruption du récit pour évoqué le futur d’un personnage. L’effet produit est d incite le lecteur à lire la suite afin qu’il découvre non pas ce qui va ce passe mais comment. Pour écrire une anticipation il faut

mais qui n’existent pas en soi, dans l’absolu. Si le genre correspond en gros à la forme du texte, le courant, pour sa part, est une division plus ou moins artificielle créée pour les besoins de l’histoire littéraire. Cela revient à dire qu’un auteur peut aujourd’hui fort bien décider d’écrire un poème, mais il ne se dira pas : « Ah ! Je vais mélanger l’épique et le courtois ». Ces divisions ont souvent été nommées des années ou des siècles plus tard par des historiens et des critiques de la littérature

les textes du corpus et sur vos lectures. « La vie est la source de la littérature et la littérature doit être fidèle à la vie ». C’est ainsi que l’écrivain français d’origine chinoise Gao Xingjian qualifie la littérature, destinée à donner aux lecteurs une vision et un sens du monde. Nous pouvons alors nous demander si la question de l’homme est le sujet fondamental de toute littérature. Quel qu’en soit le genre, la littérature parle en effet toujours de l’homme et de son destin. En effet, on peut

pas uniquement en relation des textes d’auteurs différents. Elle peut révéler une obsession pour un thème. Ex : Duras avec la danse. Un thème peut permettre à l’auteur d’interroger la nature des passions humaines. Parfois, l’auteur s’inspire du style d’un autre auteur, d’un genre ou d’un courant artistique littéraire particulier. Ceci est la pastiche. La démarche de subversion peut aussi être parodique. L’auteur et le lecteur doivent partager une culture commune afin que le lecteur puisse identifier

Question sur Corpus + Dissertation p.394-396 Dans les extraits de Micromégas (1752), Les Caractères (1688) et 188 Contes à régler (1988), Voltaire, Jean de La Bruyère et Jacques Sternberg évoquent la guerre. Par quels procédés les auteurs dénoncent-ils la guerre dans ces textes? Le premier procédé utilisé est l'utilisation de l’Autre pour dénoncer la guerre. Dans l'extrait de Les Caractères, Jean de La Bruyère compare les animaux aux Hommes. Il rapproche les actions humaine à celle

L’adjectif « critique » se rapporte à la profession. Poulet parle donc du critique et de sa conscience, de son rapport à lui-même et à ce qui l’entoure : ses semblables, la création et le génie créateur. La conscience critique examine la posture du lecteur, et plus exactement du critique, vis-à-vis de l’œuvre. Cette posture est traduite par « conscience », car elle suppose une activité intellectuelle. À priori, la conscience d’un critique est une conscience réfléchie. Il est celui qui fournit un deuxième

Le détour par l’Autre possède une multitude de facette, c’est de part ce procédé de l’argumentation que des auteurs, tels que Jean de La Bruyère, Voltaire et Jacques Sternberg font valoir les travers de leur société, par le biais de personnage fictif. Il faut aussi prendre en compte l’idée que nous sommes un Autre pour l'Autre, et que par conséquent, on n’est jamais aussi objectif à propos de soi qu'à propos d'une personne étrangère. Ce procédé permet avant tout d’avoir un avis objectif de notre

fictif. Dans un premier temps, Jérôme Roger retrace l’historique du procès de l’auteur. Selon lui, Valéry est un « défricheur » car il opère une distinction entre l’auteur fictif et l’auteur empirique. Puis Foucault établit la notion de « fonction-auteur » qui est la construction d’une instance à partir de quatre critères : la valeur, la cohérence, le style et le moment historique. La mise entre parenthèses de l’homme a pour effet de désacraliser la notion d’auteur ; en conséquence, la notion d’autorité

l’essai est très libre, et les auteurs y recourent souvent. Les hommes politiques, les journalistes parlent de leurs expériences ou font part de leurs jugements dans des articles, des traités, des livres, des mémoires, des études, des lettres ouvertes, des pamphlets …L’essai n’a pas de définition formelle : aucune règle de discours, d’énonciation et de longueur de texte n’est imposée. Par exemple, dans Pensée Blaise Pascal, nous fait part de ses réflexions sur les relations entre l’homme et La mort dans

Ollier- Robert Pinget- Jean Ricardou- Robbe-Grillet Nathalie Sarraute- Claude Simon- J.M.G. Le Clézio Le « nouveau roman » ayant pris fin dans les années 1970, les auteurs du XXIe siècle ne peuvent en faire partie. Repoussant les conventions du roman traditionnel, tel qu'il s'était imposé depuis le XVIIIe siècle et épanoui avec des auteurs comme Honoré de Balzac ou Émile Zola, le nouveau roman se veut un art conscient de lui-même. La position du narrateur y est notamment interrogée : quelle est sa