La Responsabilité Civile Contractuelle Du Banquier

d’un contrat : on s’intéresse à sa forme  nullité du contrat on s’intéresse à l’exécution du contrat  bonne ou mauvaise exécution Chapitre 1 : la formation du contrat Le droit des obligations est contenu dans le code civil, apparu en 1804. Il y a en matière contractuelle 3 articles majeurs. Article 1101 du CC : « le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. » « Une convention » :

Classification des obligations Les obligations peuvent être classées en fonction de leur source, de leur contenu, du type d'engagement pris par le débiteur. a) classification fondée sur la source Le contrat Le délit : article 1382 du C. civil "tout fait de l'homme qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrive à le réparer". b) classification fondée sur le contenu de l'obligation Il existe trois types d'obligations : obligation de donner, de faire

CM DROIT CIVIL Introduction Le droit des obligations est l’ensemble des règles juridiques qui sanctionne le non respect des obligations. Notion essentielle de droit civil : Le droit des obligations constitue la théorie générale de droit. Cela signifie que les droits d’obligation est le droit fondamental, et qui est la base des relations entre les personnes et auquel se rattache les autres branches du droit. Parmi celle-ci, le droit de la consommation qui s’est développé au 70’s pour assurer

2) Classification des obligations Les obligations peuvent être classées en fonction de leur source, de leur contenu, du type d'engagement pris par le débiteur. a) classification fondée sur la source • Le contrat • Le délit : article 1382 du C. civil "tout fait de l'homme qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrive à le réparer". b) classification fondée sur le contenu de l'obligation Il existe trois types d'obligations : obligation de donner, de faire, de ne

PARTIE 4 CHAPITRE 21 CHAPITRE 22 CHAPITRE 23 CHAPITRE 24 CHAPITRE 25 CHAPITRE 26 PARTIE 5 CHAPITRE 27 LA SOCIÉTÉ PAR ACTIONS SIMPLIFIÉE (SAS) ET LA SOCIÉTÉ PAR ACTIONS SIMPLIFIÉE UNIPERSONNELLE (SASU) LA SOCIÉTÉ EN NOM COLLECTIF (SNC) LES SOCIÉTÉS CIVILES LES TITRES DES SOCIÉTÉS ET LES OPÉRATIONS SUR LE CAPITAL LES AUTRES TYPES DE GROUPEMENTS LES SOCIÉTÉS EN COMMANDITE LES SOCIÉTÉS D’EXERCICE LIBÉRAL (SEL) LES SOCIÉTÉS COOPÉRATIVES LES SOCIÉTÉS D’ÉCONOMIE MIXTE LE GROUPEMENT D’INTÉRÊT ÉCONOMIQUE ET

d'affaires, établissements de ventes à l'encan, de spectacles publics ; 7° Toute opération de change, banque, courtage et tout service de paiement ; 8° Toutes les opérations de banques publiques ; 9° Toutes obligations entre négociants, marchands et banquiers ; 10° Entre toutes personnes, les lettres de change. Achat de biens meuble ou immeuble dans le but de les revendre, location de biens meubles, activités de manufactures (industrielles) ou de transport, opération de banque ou de change. On peut dire

que nous pouvons la comprendre. Dans son versant répressif, la justice instituée implique à nos yeux une notion de responsabilité qui ne commence à se manifester qu'avec le Droit romain : c'est l'agent d'un comportement répréhensible qui en est le seul "auteur" (terme qui désigne initialement la responsabilité), et c'est donc lui seul qui doit être sanctionné. Cette responsabilité n'est pas le propre de certains hommes, elle concerne au contraire tout individu, et c'est pourquoi la justice doit

LA RESPONSABILITE CIVILE INTRODUCTION GENERALE La responsabilité se définie comme l’obligation de répondre de ses actes devant une autorité, c'est-à-dire d’en assumer les conséquences. D’un point de vue civil, la responsabilité concerne les rapports d’un sujet de droit avec ses concitoyens, celle-ci étant l’obligation de répondre devant la justice d’un dommage et d’en réparer les conséquences en indemnisant les victimes de ce dommage. --Quelle est la portée de cette responsabilité ? => 4 dimensions

celles de la continuation des contrats, mais également d’autres dont la pertinence est moins évidente. La jurisprudence, très abondante, n’est pas toujours facile à comprendre, comme le montre l’évocation de quelques solutions : En matière de responsabilité civile, la créance de la victime a pour fait générateur le fait dommageable et non la décision déclarative qui détermine le montant de la réparation : en conséquence, les dommages- intérêts dus à la victime d’un accident intervenu avant le jugement

Sans assurance pas de responsabilité. Aujourd’hui on ne fait pas de procès en responsabilité si on a pas de tiers payeur, la responsabilité ne peut être invoque que devant une personne qui a les moyens de payer. A cet égard il est faux de dire que c’est le développement de la responsabilité civile qui a justifié l’apparition de l’assurance, mais c’est bien l’inverse, c’est parce que la jurisprudence a permis le développement de l’assurance que le droit de la responsabilité a pu se développer. Les