La Rivalité La Méfiance Hobbes

TG4 Cet extrait de Hobbes est marquant, il est original car on trouve une nouvelle façon de traiter un sujet. Hobbes commence par cité les trois états naturels d’humain ; il pose sa thèse, au début c’est vaste et dur à comprendre ce qu’il veut dire en notant que le premièr état est la rivalité, le second est la méfiance et le troisième la fierté. Juste après, il donne des explications à ses trois états et développe sa thèse. Et à la fin Hobbes conclut que l’humain est en guerre permanente

« passions naturelles » de l’Homme qui se développent dans cette situation : la rivalité, la méfiance, la fierté/l’honneur/la gloire. L’état de nature est un état d’égalité fondamental des Hommes même s’ils n’ont pas les mêmes facultés physiques ou intellectuelles, la possibilité de ruse, traitrise ou d’alliance, annule ces inégalités de facultés. De cette égalité fondamentale, Hobbes déduit d’abord la méfiance et la rivalité, chaque homme voit ses semblables comme des ennemis potentiels disposant des

PHILO EXPLICATION DE TEXTE : LE LEVIATHAN de Thomas Hobbes (chapitre XIII et XVII) SITUATION : Ce texte est extrait du chapitre XIII du Léviathan (1651) qui fait suite à un long chapitre où Hobbes (1588-1679) aborde la question de la religion. À l'époque où Hobbes entreprend sa réflexion philosophique, il est témoin de la guerre civile (1642) qui fait rage en Angleterre. Pour Hobbes, si l'Angleterre est en guerre, cela résulte du manque de compréhension de la nature humaine, de la manière d'organiser

PHILOSOPHIE Étude de texte : « La nature a fait les hommes si égaux [...] », de Hobbes  Thomas Hobbes réfléchit ici à la condition naturelle des hommes en ce qui concerne leur félicité et leur misère. Selon lui, les hommes sont égaux par nature même si il existe des différenciations corporelles et spirituelles. Malencontreusement, cette égalité entre les hommes entraîne des conflits. Une question se pose donc ; En quoi les hommes sont égaux et comment cela amène t-il à des conflits ? Nous

l'État garantit nos libertés comment peut-il aussi en être un ennemi ? II°) Si nous ne possédions pas d'État, l'homme retournerait à son état de nature qui, selon Hobbes aboutirait à la rivalité et à une haine de « l'autre ». La paix des citoyens serait donc compromise. De plus, l'État est si puissant (appelé « le léviathan » par Hobbes) qu'il serait capable de cacher la vérité et donc de mentir à tous les citoyens ce qui ne garantirait pas leur autonomie. Il nous reste donc à savoir dans quelles

l'État garantit nos libertés comment peut-il aussi en être un ennemi ? II°) Si nous ne possédions pas d'État, l'homme retournerait à son état de nature qui, selon Hobbes aboutirait à la rivalité et à une haine de « l'autre ». La paix des citoyens serait donc compromise. De plus, l'État est si puissant (appelé « le léviathan » par Hobbes) qu'il serait capable de cacher la vérité et donc de mentir à tous les citoyens ce qui ne garantirait pas leur autonomie. Il nous reste donc à savoir dans quelles

fondamental pour que cette objectivité prenne le dessus serait la diversité des citoyens dans ce groupe qui compose la commission du débat publique. On doit donc prendre en compte les classes sociales, professionnelles, l’âge et les sexes. D’après Hobbes, l’homme est guidé par le désir de pouvoir. Sous ce qu’il nomme « l’Etat de Nature » chacun désir dominer l’autre. C’est « la guerre de tous contre tous » qui menacerait la survie même de l’espèce. Il faut donc instaurer un pacte pour lequel chacun

peut-il aussi en être un ennemi ? D'après Hobbes, les hommes sont égaux par nature. Hobbes s'intéresse à la nature de l'homme pour montrer que ses caractères inné ne le rendent pas spontanément sociable. Tous les hommes sont généralement mus par la nature ce qui mène inéluctablement à la rivalité. « L'autre », l'inconnu est toujours un ennemi potentiel. Les hommes sont donc tous dans cet état de « guerre effective » possible. La preuve en est la méfiance que nous avons les uns envers les autres dans

les hommes sont mus par la jalousie, la concurrence et la rivalité. C'est cela qui pousse Christopher MacCandless à fuir sa famille et ses amis. (Problématique) Alors, avons-nous le devoir de vivre avec d'autres êtres humains afin de s'aider et de survivre étant naturellement faibles ou bien n'avons-nous pas plutôt le devoir de fuir la vie en société au risque d'entrer dans une rivalité de chacun contre chacun ? (Plan)

Intro : Dans ce texte, Hobbes veut expliquer pourquoi les hommes ont choisi de vivre en société, plutôt que de demeurer « hors de la société civile » comme ils l’étaient à l’état de nature. Car enfin vivre dans une société vivre dans une société dotée de lois c’est en effet c’est voir sa liberté naturelle celle de faire « ce que bon nous semble » être limitée. Comment Hobbes veut nous démontrer cela ? Et qu’est ce qui permet de dire que la société est meilleure ? Pourquoi accepterions-nous que des