La Réforme De Maupeou

I : La Grèce Avant J.C. : 1050-750 Royautés homériques 750-680 Gouvernements aristocratiques des cités grecques Mouvement colonisateur 650-600 Gouvernements Tyranniques Athènes : 624 Dracon 595 Réformes de Solon 561-511 Tyrannie des Pisistratides 507-501 Réformes de Clisthène 490-479 Guerres médiques (cotre les Perses) 431-404 Guerre du Péloponnèse 404-403 Coup d’état : chute de la démocratie 403 Rétablissement de la démocratie (vers) 375 av. J.C. : Platon écrit la République

contrôle la parole des parlementaires. 23/03/1771 : réforme Maupéou : consiste à supprimer la vénalité des charges (depuis 1704) : offices ne valent plus un sous, remplacer les parlements par des conseils supérieurs, division du ressort (territoire sur lequel on exécute son pouvoir) des anciens parlementaires. 1774 : rappel des parlementaires par MAurepas, la réforme mise au placards. . Les affrontements très durs de 1787-1788 30/07/1787 : réforme territoriale administrative : échec 06/08 : lit de

conséquence de se changement d'id ée la crise peut s'expliquer par des blocages qui a empêcher les réformes d'aboutir, la monarchie à essayé de se réformer, sous le règne de louis 16 toute une série de réforme va être menée mais les principales vont échouer, louis 16 est faible et qu'il ne sait pas soutenir ces ministres devant l'opinion publique ; réforme economique ou sociale ; dès 1776 reformes de TURGOT qui est un physiocrate, il décide d'établir la libre circulation des grains, de supprimer

est porté à en abuser ». G) La contestation parlementaire (TD n°8) Lit de justice de février 1723 : Les magistrats « sont les dépositaires des droits sacrés de la couronne et des libertés du royaume ». Louis XVI (au sein de l’édit abrogeant la réforme Maupeou) : « La stabilité des lois et celle des magistrats pour leur dépôt et leur exécution sont la base la plus solide de la félicité publique ». Remontrance du parlement de Pau, en juin 1788 : Les lois transcrites « dans ses registres, avec l’appareil

procureurs étaient, en général, peu aimés, du fait qu'ils défendaient un système favorable à leurs intérêts, mais que la majorité de la population rejetait. Seuls les avocats recrutés dans la moyenne ou la petite bourgeoisie admettaient la nécessité d'une réforme de la justice. La Justice sous l'Ancien Régime en France résultait d'un savant mélange entre traditions et édits, entre les coutumes orales et les règles écrites.La France comptait quelque 300 coutumes dont 60 principales.Selon l'importance, la nature

considère que le parlement est né au 14e siècle et sous Philippe Le Bel, cette cour se compose uniquement de techniciens, les grands féodaux en ayant été écarté. La réforme grégorienne L'Eglise gangrénée par les pratiques féodales subit une crise profonde au début du Moyen-Âge. Elle remédie aux abus constatés grâce à la réforme initiée par le Pape Grégoire VII (1073-1085). L'idée alors est de redresser les mœurs de l'Église, lui faire retrouver toute sa spiritualité et libérer sa hiérarchie

ses fruits car l'agitation parlementaire continue car Louis XV fait un lit de justice et les parlementaires répondent par une suspension de la justice. Le chancellier Maupéou sur la demande de louis XV va en 1771 réformer profondément les parlements. Les refus toujours grandissants de ceux-ci ont conduit, par le biais de cette réforme, à leur exil. Ensuite en 1774, quand Louis XVI monte sur le trone, il décide et approuve les idées de ses conseillers quant à restaurer les parlements. Cette décision

gouvernement de personnes de valeur, dont l’esprit juridique est avancé. Il forme en quelque sorte une famille. Louis 16 n’est pas pour une monarchie absolue, il a les idées nouvelles. En 1774, Louis 16 renvoi Maupeou qui était le chancelier de Louis 15 et annule sa réforme. Si sa réforme était prise en compte il n’y aurait pas de révolution. Louis 16 appelle donc Turgot au pouvoir qui s’occupe des finances, et qui tente de faire évoluer la situation financière du royaume. Il a deux grand projet

il l'abandonna aux favorites qui y placèrent les personnes de leur choix au pouvoir ainsi madame de Pompadour imposa le duc de Choiseul tandis que madame du Barry qui lui succéda mit en avant les "triumvirs": le duc d'Aiguillon, l'abbé Terray et Maupeou. Au milieu du XVIIIème siècle, le Royaume de France prend part à la Guerre de succession d’Autriche (1740-1748) qui avait débuté sous le gouvernement de Fleury. Cette guerre opposait les Français et les Prussiens contre les Autrichiens, les Britanniques

hégémoniques ou d’indépendance, rivalités commerciales, ambitions personnelles, jalousies familiales, etc. À la suite de la prédication de Martin Luther (1483-1546), la Réforme se répand rapidement. De nombreuses principautés allemandes adoptent le protestantisme, ce qui divise l'Empire en deux camps opposés. La Contre-Réforme, dirigée par la maison de Habsbourg, a pour ambition de faire regagner au catholicisme le terrain perdu. D'abords les contrastes fondamentaux et confessionnels entre l'Empire