La Réforme De Maupeou

monarchie est assez libérale car Louis XVI est libéral, il apparaît éclairé, il se montre sensible aux idées de son temps, des Lumières, sensible à l’idée de tolérance, d’humanité. La volonté de réforme n’a pas la même force dans tous les domaines, elle est parfois assez peu affirmée, il y a une volonté de réforme dans le domaine administratif, la nation n’a pas un droit de regard suffisant, l’administration est trop concentrée. Au niveau judiciaire, il y a aussi des problèmes, les Parlements apparaissent

accuser le pouvoir royal alors que ce dernier cherchait justement à réformer à uniformiser et harmoniser ces institutions. Or aucun titulaire des offices ne souhaitait le changement. De l’autre coté les philosophes des lumières qui vont s’en prendre non pas à la personne royale elle-même, mais à l’absolutisme du pouvoir royal qui demeurait sous Louis 15 et 16. Louis 15 et 16 vont être relativement craintifs à toute idée de réforme car il ne souhaitait pas être accusé de despotisme. Ils vont préparés

une autorité supérieure ou égale à celle du Roi. Transition : La réaction de Louis XV ne s'est pas faite attendre. En effet l'attitude des parlements met en danger l'ordre établi car ils obstruent systématiquement et paralysent tous les projets de réforme. Et au moindre incident, les parlementaires suspendent le cours de la justice et donnent leur démission. Leur réaction est-elle légitime ? Ont-t-ils le droit de s'opposer au Roi ? II La réaction de la puissance souveraine face à la " contradiction

pouvoir suite aux différentes réformes mises en place par Louis XVI, rêvent de revenir au pouvoir. Ils souhaitent également étendre leur privilèges commerciaux, car le commerce est proscrit pour les nobles sous peine d’être « déloger » c’est-à-dire absout de tout privilèges. Ces remises en question vont mettre le système monarchique en position délicate, car rien n’est pire qu’une remise en question GENERALE du peuple pour un régime politique. 3) L'échec des réformes politiques Louis XV et Louis

création moyennant finance. Le roi va se mettre de créer des offices, d'autant plus que le trésor public a besoin d'argent. A partir de là la cessibilité → hérédité. La patrimonialité va triompher au début du XVII°, réforme du à un financier proche d'Henri IV → il a voulu réformer la fiscalité qui s'appliquait à la cessibilité → au lieu d'un droit de mutation casuel, il imagine un droit annuel qui est égal au soixantième de la valeur de l'office. Désormais distinction de la double face de l'office

à Cardin Le Bret (chapitre 8 du livre II de ses Œuvres de 1689 ), la révolte contre le roi naissant en bonne partie du refus des détenteurs de charges d'être concurrencés par la création de nouveaux offices et l'évolution de la fiscalité[4]. Les réformes de Colbert pour supprimer progressivement la vénalité des offices procèdent des idées de Cardin Le Bret de renforcement de la monarchie et de mise au pas des individus[1]. Un édit de 1771 porta le droit annuel au centième de la valeur de l'office

obstacle était primordiale pour permettre l’action du gouvernement. L’effet de la séance n’a pas pourtant été durable, Louis XV, aidé de son chancelier Maupeou, dû réaliser une réforme radicale de la justice en 1771, mais ça a étaient de duré du fait que trois ans plus tard, Louis XVI, qui vient d'être couronné nouveau roi de France, annule cette réforme et ce qui va conduire par la suite le Parlement de Paris continue de fonctionner jusqu'à ce que la Révolution française, il soit définitivement réprimé

continue de défendre ses idées et d’autres comme Calvin. Cette réforme protestante nait d’une réaction critique contre la corruption et les désordres qui règnent au sein de l’Eglise et notamment dans la hiérarchie ecclésiastique. Nouvelle religion chrétienne qui nait. Pourtant, l’Eglise catholique va se réformée, à l’occasion d’un événement important que l’on appel le concile de France (adoption d’un certains nombres de réformes). La contre réforme, se veut une réponse aux critiques protestantes. Portée

décapité sur la place de la Révolution à Paris au terme d'un règne différemment apprécié entre mollesse et bienveillance. Louis XVI tentera tant bien que mal de réformer un système fiscal inégalitaire mais trouvera toujours d'une manière ou d'une autre la noblesse ou le clergé sur son chemin pour l'empêcher de véritablement réformer ce système. Les inégalités sont la base de ce qui sera qualifié plus tard d'«Ancien Régime» , ce sont les fondements d'une société où le corolaire social est le mépris

ce discours, prononcé sous son ordre par un chancelier. La cause de ce discours est la montée d’opposition entre les parlements et la royauté depuis les années 1750. En effet les Parlements deviennent solidaires les uns des autres et s’oppose aux réformes fiscales imposé par le roi et c’est dans ce contexte que Louis XV fait ce discours nommé la “flagellation” car au sens littéral c’est l’acte de fouetter un corps humain avec un fouet, c’est donc un châtiment humiliant et il est donc comparer à ce