La Sarl Selon L Ohada

procédures ou encore de proposer de nouvelles stratégies, en un mot l'audit interne comprend toutes les missions qui ont pour but d'améliorer la performance de l'entreprise (DAYAN A., 1999). L'audit interne évalue des dispositifs organisationnels selon trois axes majeurs parmi lesquels l'économie (se procurer des ressources à moindres coûts, l’efficience (utiliser les ressources de la manière la plus productive), l’efficacité (se comporter de manière conforme aux objectifs) ; ces choix sont effectués

Traitements et Salaires MESSRS : Ministère des Enseignements Secondaire Supérieur et de la Recherche Scientifique ONECCA  : Ordre National des Experts Comptables et Comptables Agréés OHADA : Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires PNUD  : Programme des Nations Unies pour le Développement RCCM : Registre de Commerce et de Crédit

D’IDENTIFICATION RAISON SOCIALE : CABINET “LA FIDUCIAIRE INTERNATIONALE“  SIGLE : LAFICUCI CAPITAL : 6 500 000 F CFA SIEGE SOCIAL : YAOUNDE BOITE POSTALE : 4974 YAOUNDE CAMEROUN TELEPHONE : 22 22 28 95 TELEX : 22 22 28 95 FORME JURIDIQUE : SARL EXPERT COMPTABLE ASSOCIE GERANT : M. Lucas NGUIMBOUS Connu sous son ancienne appellation Accounting Computer and Management Service (ACMS), les associés ont procédé le 19/10/2009 à un changement de dénomination d’où la nouvelle appellation “LA

roulement GIE : Groupements d’Intérêt Economique IRB : Internal Rating Based LCB : La Congolaise des Banques MLT : Moyen et long terme AG ES DG : IB -B O LI TH OHADA : Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires EQ Produit Intérieur Brut PV : Procès-verbal SA : Société Anonyme SARL : Société à responsabilité limitée SURL : Société unipersonnelle à responsabilité limitée UBA: United Bank for Africa E IBAKOMBO INGANDZA Durel Gorden U PIB : MPCGF

13 B. LE CODE COMMUNAUTAIRE DE LA CONCURRENCE COMME INSTRUMENT DE CRÉATION ET DE CONSOLIDATION D'UN VÉRITABLE MARCHÉ COMMUN....14 1. L’adoption par l’UEMOA d’un « code » communautaire de la concurrence ...............14 2. La notion de concurrence selon le Traité, les règlements et les directives....................15 3. Les objectifs de la politique de concurrence de l’UEMOA...........................................16 4. La cohérence de la politique de concurrence de l’UEMOA avec les autres politiques

2.5 Ancienneté de l’entreprise dans l’activité ...........................................................29 3.2.6 Tenue comptable ................................................................................................30 3.2.7 Dirigeants selon le genre et employés ...............................................................30 3.2.8 Masse salariale ...................................................................................................31 3.2.9 Chiffre d’affaires ...........

(épargne, crédit, moyens de paiement, virements de fonds, voire bancassurance). A l’opposé en France et dans d’autres pays bancarisés, la microfinance se résume pratiquement à l’octroi de microcrédits productifs à des populations cibles identifiées selon des critères objectifs (chômeurs, titulaires de minima sociaux, etc.) ou à quelques services financiers liées au crédit (prêt sur gage et restructuration de la dette de particuliers surendettés). financière alternative, orientée vers les classes populaires

DROIT DES SÛRETÉS DE L’ORGANISATION POUR L’HARMONISATION EN AFRIQUE DU DROIT DES AFFAIRES (OHADA) M. THIOYE « C’est l’eau qui n’est pas couverte qui devient chaude » : pour être protégé, il faut s’entourer de quelques garanties ; « on ne prête pas sa hache à un insolvable » : le prêt exige la garantie (cf. M. Cabakulu, Maxi Proverbes africains, V° sous mot Garantie) INTRODUCTION I- Sources du droit des sûretés De la marche en ordre dispersé à l’harmonisation africaine du droit des affaires

comme un passage obligé pour celui qui souhaite mobiliser certaines ressources afin de démarrer dans les meilleurs conditions possibles son activité. Les étapes que nous allons décrire ici concernent uniquement les formalités administratives à remplir selon les dispositions de l’acte uniforme de l’OHADA. Ceux-ci disposent que tout contrat de société commerciale doit être rédigé par écrit, à l’exception de la société en participation. Les formalités relatives à la vie de l’entreprise sont assurées par

BUSINESS PLAN POUR LA CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE RESIDENTIEL EN REPUBLIQUE DE GUINEE DENOMINATION DU PROJET: COMPLEXE RESIDENTIEL DE FORECARIAH CLIENT : MONSIEUR SEKOU AHMED TIDIANE KABA Par Louis-Marie Kakdeu Consultant, Afrikcom Sarl Tél.+224 24 20 20 20/+224 67 20 20 20 Courriel : kakdeu@yahoo.fr Web : www.afrikcomsarl.com Octobre 2011 SOMMAIRE I. Résumé opérationnel 3 II. Présentation de l'offre de produits et services 4 III. Marché - Environnement