La Science Peut Elle Lutter Contre Le Fanatisme

La religion Quelques sujets possibles - La vérité scientifique constitue-t-elle une arme contre le fanatisme ? (I.E.P. Paris, 2002). - Le religieux est-il l’ennemi de l’esprit scientifique ? - La religion implique-t-elle nécessairement une démission de la raison ? - Une société sans religion est-elle souhaitable ? - Une société peut-elle se passer de religieux ? - Y a-t-il des limites à la tolérance ? - I.E.P. Paris, 1998 «  Mieux vaudrait n’avoir aucune idée de Dieu qu’une idée

philosophes ont mené lille longue guerre contre la religion chrétienne qu'ils assimilent à la superstition comme ils assimilent l'enthousiasme du croyant au fanatisme. OélsnHl, ~~nthéismeo ~, a prenuere attitu d e . du philosophe est le scepbcisme et son arme, l'ironie dont font preuve iVlontesquieu dans les Lettres persanes ou Voltaire dans Candide. Il refuse la réflexion théologique qu'il juge vaine et lllcicatnce ':. au fana.c, usrne. ~ »; !La lutte contre i'OlbsohJ1'i$Ui'8e du droit divin,

d’expression ? Qu’elle est l’essence du fait religieux ? 2) Le sacré et le profane Le sentiment religieux est le sentiment du sacré. Le sacré est ce qui ne peut être touché sans le souiller ou sans se souiller. Il inspire un sentiment de respect doublé de terreur ; il fascine et éloigne ; on l’admire et le vénère et aussi on le craint. On ne peut donc aborder le sacré qu’avec des précautions : les rites. Dans toutes les religions il existe des lieux sacrés naturels (le Nil est le fleuve sacré,

fléaux, des hommes dressés les uns contre les autres, meurtris par toutes sortes de maux. Mais ni les épidémies de peste qui ravagent les populations, ni les guerres qui achèvent de les décimer, n’arrêtent Zénon. Son intelligence vive, sa soif de savoir, sa curiosité, toujours insatisfaite, son esprit critique, le poussent à poursuivre sa route. En quête d’aventures spirituelles, il ne perd pas de vue pour autant ses passions et s’adonne à la médecine, aux sciences, à la philosophie et à l’alchimie

princpals cibles de combats menés. I - Leurs combats sociaux A - Contre l'inégalité des droits B- Contre les privilèges de la naissance C- Contre les atteintes au droits de l'homme II- Le combat contre la politique du XVIIIe A- Contre le despotisme B- Contre les guerres III- Un combat pour la mixité culturelle et religieuse A- Contre l'intolèrance B- Contre le fanatisme religieux I- Les lumières sont contre l'inègalité des droits Le régime politique en France était la monarchie

retrouve pas dans le reste de son œuvre ». « C’est dans ses lettres qu’il faut chercher l’expression la plus intime de la philosophie de Voltaire ; sa manière d’accepter la vie et d’affronter la mort, ses idées métaphysiques et son scepticisme, ses luttes passionnées au nom de l’humanité et ses accès de résignation mystiques55. » Les écrits philosophiques Voltaire n’apporte pas de réponses rassurantes, mais enseigne à douter, parce que c’est par le doute que l’on apprend à penser. La partie philosophique

conversation avec d’autres savants. Dans Micromégas, il défend l’utilité des sciences et condamne les vains discours sur l’homme et sur Dieu. Mais, tombé en disgrâce, il doit quitter la cour. - L’hôte indésirable En 1755, indésirable à Paris et à Berlin, il achète une propriété à Ferney, près de Genève, dans laquelle il s’installera en 1760. Dans L’essai sur les mœurs, il décrit le combat permanent de la raison contre la superstition. Dans le Poème sur le désastre de Lisbonne, il s’interroge

Le règne de Louis XIV avait marqué l'apogée de la monarchie française ; le XVIIIe siècle voit son déclin et sa chute. Sur le plan social et culturel, la Cour cesse d'être le centre du pays et la source de l'opinion. Le mouvement des idées se fait contre elle. Les salons, les cafés et les clubs sont les nouveaux foyers de la vie intellectuelle. Les salons entretiennent le goût de la conversation brillante ; ils suscitent parmi ceux qui les fréquentent, gens du monde et philosophes, une émulation

Sujet : Peut-on être esclave de soi-même ? Un esclave est une personne placée sous la dépendance absolue d’un maître. Cette dépendance implique l’abdication de son libre arbitre au profit d’autrui, c'est-à-dire, le renoncement à sa faculté de se déterminer librement et d’agir sous la conduite de sa seule volonté. A première vue, la question « peut-on être l’esclave de soi même ? » ne saurait être que surprenante. Il semble en effet qu’elle implique une contradiction dans les termes : si être

Lumières est religieuse. Au XVIIe siècle Descartes évoquera la « lumière naturelle » de la raison. Cette métaphore souligne le vœu de lutter contre les ténèbres de l’ignorance et de la superstition. Il s’agit là d’un des principaux combats de cette philosophie. Elle s’efforce en effet de combattre les ténèbres de la religion en dénonçant la superstition, le fanatisme et l’intolérance. Le mouvement des Lumières est également dispersé grâce a de nombreuses d’œuvres comme De l’esprit des lois de Montesquieu