La Société Feodo Seigneuriale

théologien, toutefois on décèle bien une influence romaine par le droit appliqué par les gaulois à partir du 5ème siècle. Paragraphe 2 : L'apport chrétien A) L'apport théorique du christianisme Le christianisme a profondément influencé la société et le droit français mais plus largement Occident. Par ex, la séparation du temporel et du spirituel qui est héritée du christianisme. Le christianisme reconnaît l'utilité de l'état. Et il reconnaît l'utilité temporelle de l'état, mais il fait également

(alleux) connaissent une très forte diminution. B – Les vassaux et les tenures nobles Élite société féodale : chevaliers. Elle s'ordonne autour de lien féodo-vassalique qui se décompose en un lien foncier et personnel. « Féodo « qui vient de fief, terre noble qui est tenue du Seigneur. Ce mouvement de féodalisation des terres et de vassalisation de paysans aisés contribuent à créer l'élite de la société féodale en allant se mettre sous la protection d'un Seigneur. 1) La vassalité La vassalité désigne

période, il y a quand même des éléments de continuité comme l’existence de l’institution royale. Le maintien de cette institution royale va atténuer cette désagrégation de l’étatSection 1 : l’avènement du pluralisme politique Toutes les couches de la société vont être dominées, régies par ce nouvelle ordre politique et juridique qui est en train de se mettre en place à la suite de la désagrégation de l’étatLes individus ne voient pas s’exercer sur eux les mêmes contraintes les conséquences sur les individus

Sociétés et cultures urbaines au Moyen Age I/L’essor urbain : facteurs et modalités A/ Qu’est-ce que la ville à l’époque médiévale ? - Dans une vision médiévale, la ville est d’abord une agglomération d’hommes et d’activités (pertinence de la phrase d’Isidore de Séville VIIe siècle : « Ce ne sont pas les pierres mais les hommes qui font les cités ») qui ne vit pas directement du travail de la terre. - La ville se caractérise ensuite par un cadre matériel  spécifique : autour d’un réseau

pouvoir absolu. La légitimité du pouvoir du roi est associée à sa puissance militaire. Toutes désobéissances au roi est considérée comme une trahison qui est sévèrement puni par une mise au ban (=le forban) qui implique que la personne est exclue de la société et qu'elle peut être assassiner sans aucunes conséquences et sans motifs précis. Les prérogatives/droits qui matérialisent les rapports personnels du roi avec ses sujets sont au nombre de deux: le mumdium et le bannum. Le mumdium vient de mund qui

pauvres). Il faut tenir compte de l'image que les individus ou les gpes se font de leur condition juridique. Cette image est conditionnée par des croyances, valeurs et mythes. L'église tient un rôle primordial. PARTIE 1 : LA SOCIETE FRANQUE, LA NAISSANCE D’UNE NOUVELLE SOCIETE Résulte de la fusion des civilisations gallo-romaines et germaniques. La clef de voûte de cette sté est l'Église. Pour comprendre la sté du V au Xème siècle, il faut étudier les précédents gallo romain et germaniques. Au bas

début du moyen âge, jusqu'en 1453 et la fin du moyen âge. 1453 jusqu'à 1789, fin de la guerre de 100 ans jusqu'à' révolution: période moderne ou ancien régime. Il s'agit de se pencher sur l'ensemble des règles destinés à organiser la vie de la société, il s'agit aussi d'étudier le statut juridique des groupes sociaux, les formes de l'organisation sociale. Le droit va permettre aux individus, au groupe de vivre ensemble: c'est le rôle du droit, c'est le droit qui organise les cadres administratifs

de paix, les clercs vont théoriser une vision de a société structuré. Au XIe une hiérarchie s'impose : la hiérarchie des trois ordres. En réalité théorie plus ancienne déjà formulée à la fin du IXe, par les moines de St Germain d'Auxerre. L'école d'Auxerre a fait le lien du point de vue culturelle entre les grandes abbayes carolingiennes (Fulda, St Gall...) avec les monastère clunisien. Cette hiérarchie prend de l'essor et va diriger la société : ceux qui prient : oratores ceux qui combattent :

organisée, de par ses structures héritées de l’Empire romain. Effectivement, la hiérarchie de l’Église s’est faite sur le modèle de la hiérarchie politique romaine. Devant la carence des rois germains, incapables de répondre aux besoins complexes de la société gallo-romaine, les évêques s’étaient de plus en plus immiscé dans les affaires publiques des villes. Au ve siècle, les évêques apparaissent comme les véritables chefs des cités, et Clovis et ses descendants vont pouvoir profiter de cette sorte d’administration

§ 3. L'enseignement des Pères de l'Eglise. § 4. Thomas d'Aquin (1224-1274) et l'influence d'Aristote. § 5. Le débat avec les Franciscains : G. d'Ockham et le droit subjectif. Leçon 2 : Les idées sur la propriété à l'époque moderne - nature et société Section 1. L'Ecole du droit naturel et la propriété § 1. John Locke et les fondements du libéralisme. § 2. Le mythe du «communisme primitif» : Diderot, Mably, Morelly, le curé Meslier, Babeuf. § 3. Jean-Jacques Rousseau et la primauté de la loi.