La Société Feodo Seigneuriale

christianisme. 9 III. La philosophie du christianisme. 10 A/ Un point de convergence : l’origine de la société. 10 B/ Des divergences. 10 C/ La hiérarchie entre le temporel et le spirituel. 10 PREMIERE PARTIE : LE MOYEN-AGE : L’AFFIRMATION D’UNE CIVILISATION. 11 SOUS-PARTIE UNE : UN MONDE EN HERITAGE (Vème – Xème siècle). 11 CHAPITRE 1 : UNE SOCIETE GERMANIQUE HERITIERE DU MONDE ROMAIN. 11 SECTION 1 : LES TRADITIONS AU FONDEMENT DE LA CONCEPTION MEROVINGIENNE

la gaule romaine, dans la porte du christianisme et dans les conséquences des invasions barbares. Il est lié à l’apport. § I : Le legs des cités grecques A. Les institutions politiques grecques La porte de la Grèce est encore très présent dans nos sociétés moderne. Entre le 6 et le 4 Siècle avant J.-C., les cités grecques et surtout Athènes ont fondés une tradition qui a été retrouvée par les européens. Il a une grande diversité des systèmes politiques et des cités grecques. Ses micro État dans le

rouage non autonome de la société. * L’enchâssement (embeddedness) de l’économie antique dans la société et la politique archaïsme * Les ‘modernistes’ (M. Rostovtseff) l’économie antique est à l’origine de notre propre développement * L’économie antique: dynamique et ‘pré-capitaliste’ * Economie médiévale (Vè-XIIè s.) le haut moyen-âge * Economie essentiellement agricole * Relations féodo-vassaliques autour du ‘fief’

hiérarchisés tout au long de la chaîne vassalique, le titulaire d’une seigneurie inférieure se reconnaissant comme le vassal du seigneur supérieur. C’est cette double hiérarchie des terres et des personnes qui constitue proprement le système « féodo-vassalique ». Tout l’effort de la royauté capétienne jusqu’au xiiie siècle sera de placer le roi au sommet de la chaîne vassalique en le faisant reconnaître comme « suzerain par-dessus tous », c’est-à-dire seigneur suprême ; cet effort accompagnera

nous pouvons partir, observa mon nouvel ami. C’est ici que j’ai vendu – une excellente affaire – au marchand Allilouïev quatre déciatines de forêts. Nous remontâmes en telega. Une demi-heure après, nous entrions dans la cour de l’habitation seigneuriale. – Apprenez-moi, je vous prie, dis-je à Poloutikine durant le souper, pourquoi Khor vit séparé de vos autres moujiks ? – C’est un malin. Il y a vingt-cinq ans, son isba brûla. Il vint trouver feu mon père et lui dit : « Permettez-moi, Nikolaï

Les droits d'ordre judiciaire Le pouvoir législatif Les droits d'ordre militaire Les droits fiscaux et économiques Les impôts directs Les impôts indirects Les autres droits seigneuriaux Les relations féodo-vassaliques Le lien personnel: la vassalité a) La formation du contrat de vassalité. L'hommage, rite païen Le serment de fidélité (ou la foi): le rite chrétien b) Les obligations nées du contrat de vassalité. Des

en 1154 roi d’Angleterre, et donc duc de Normandie, sous le nom d’Henri II. Terrible ! Cette erreur politique vaudra à l’unification du royaume 300 ans de retard – et de guerres. En dehors de toute « faute » politique, une autre réalité du système féodo-vassalique dans lequel s’inscrit l’action des rois capétiens offre une occasion de démembrement possible et de constitution de puissances rivales de celle du roi : c’est l’apanage. - Définition : l’apanage est un fief accordé par le roi à son ou ses

Paris, 1997. J.-C. Margolin, L’Humanisme en Europe au temps de la Renaissance, PUF, coll. «QSJ», Paris, 1981. M. Baxandall, L’OEil du Quattrocento : l’usage de la peinture dans l’Italie de la Renaissance, Gallimard, Paris, 1985. M. Daumas, Images et société dans l’Europe moderne, Armand Colin, coll. «U», Paris, 2000. M. Warnke, L’Artiste et la cour. Aux origines de l’artiste moderne, Maison des sciences de l’homme, Paris, 1989. Documentation Photographique et diapos : « L’Europe de la Renaissance »,

et la tolérance. Il était grand ennemi de toute originalité, qu’il appelait le truc des hommes de mauvais ton. En quelque lieu qu’il fût, à Moscou ou à l’étranger, la société lui était nécessaire ; il vivait toujours ouvertement et à certains jours, il recevait chez lui toute la ville. Il était si haut placé dans la société qu’une de ses invitations pouvait servir de passeport à chacun dans n’importe quel salon, que les plus jeunes et les plus jolies femmes lui tendaient très volontiers leurs

MCXeVIII. Series V : Germania. Tomus 1 : Archiepiscopatus Coloniensis. Stuttgart, 1982, pp. 43·83, aux pp. 74-75. 46 Sur ce point, voir la démonstration définitive de L.-Fr. GE:I'lCOT, Les églises mosanes du XIe siècle. Livre 1 : Architecture et Société. Louvain, 1972, pp. 116-168 (pour GerpiDnes, pp. 117·119, 123 et 125) et ID., Les églises romanes du paliS mosan. Témoignage sur u n passé. Celles, 1970, pp. 65-73. 47 MERTEXS, Gerpinnes, pp. 64-66 (cf. supra, n. 6) , suivi notamment par GE. ICOT