La Souveraineté Selon Machiavel

créé cette evolution ? * Explosion des colonies, la décolonisation a multiplié les E L’E moderne est apparu au 16 è siècle, c’est une evolution car le monde evolue à cette periode et le terme E est employé sous la plume d’un auteur connu : Machiavel ( auw alentours de 1515). L’E à cette époque devient une nvelle forme de société politique qui va suivre, remplacer le système féodal et c est parce que ce dernier explose que l’E va etre créer en tant que nvelle forme de société politique. Qu’est

semblable du gouverné, il est tout autant corruptible, il n'est pas un dieu. Cette vison quelque peu utopiste de la société est donc un des exemples prouvant que la politique est une science. Spinoza vient s'opposer à cette idée de société idéal. Selon lui, les philosophes ne sont que des moralisateurs qui se refusent à prendre l'homme tel qu'il est en rêvant d'une société utopique : " Ils conçoivent les hommes en effet, non tels qu'ils sont, mais tels qu'ils voudraient qu'ils fussent ". De son point

obligatoire, à produire ce droit, à veiller à ce qu'il soit effectif, efficace, obligatoire. La nature du droit positif : Pk se poser cette question ? Il est difficile de définir le drt positif et de savoir à quoi il sert. Idée fausse, simpliste selon laquelle on peut donner une définition exacte du droit. Cela ne signifie pas qu'il n'a pas de contenu. Cette question amène à d'autres questions concernant la place du drt ds notre existence, notre condition d'homme, sa raison d'être. La question

Terre sont donc les suivantes : Comment est partagé notre monde ? Comment est-il exploité ? Par qui ? Comment et vers quoi évolue cet ordonnancement mondial ? Dans cet extrait de son ouvrage « Le Nouveau Nomos de la Terre », in SCHMITT Carl, Machiavel, Clausewitz. Droit et politique face aux défis de l’histoire, Schmitt explique que le Nomos de la Terre a toujours été existant (« Il y a toujours eu un Nomos de la Terre »2), ce qui est vrai puisque la Terre, dans l’Histoire, a été prise par

était surtout une grande cité marchande. Encore aujourd'hui la théorie de la démocratie occulte la dimension économique. On a difficulté à lier politique et économie. Solon a fait des réformes plus économiques (réforme fiscale, calcul de l’impôt selon intérêts…) mais ne sont pas prises en compte. « No taxation without representation » = lien entre taxation et démocratie. Taxe donne un droit de parole. Pour Sartori (Théorie de la Démocratie (1973)) la démocratie athénienne a échoué car elle n’a

tour incriminés. Plusieurs aspects de la politique menée par Louis XIV sont évoqués dans ce document, l’auteur prend les malheurs du peuple français comme les conséquences des excès du roi comme l’accumulation des guerres européennes qui provoquent selon lui des ravages sur les populations. Une forte critique de la guerre, par les campagnes militaires initiées par le roi, celui-ci affirme son autorité tant à l’extérieur qu’a l’intérieur du royaume de France. Il est donc légitime de se demander en quoi

conférences, de n’importe quel libéralisme ! Car (on y reviendra avec Fabienne Dourson un peu plus tard) il n’y a pas qu’un libéralisme… et le mot est assez vague en soi, il est polysémique, c’est-à-dire qu’il évoque des choses différentes selon les moments, et selon les endroits aussi. Ainsi, par exemple, le mot « libéral » qualifie clairement une attitude « de gauche » aux USA… et une attitude « de droite » en France ! Et cela ne provient pas seulement du caractère confus de la distinction droite-gauche

de la société civile changent par rapports aux siecles et aux théoriciens, on ne cesse jamais de parler des rapports de force entre le dominant et le dominé dans la société civile qui se varient selon des régimes politiques, des institutions qui visent la domination comme l’Etat et l’Eglise, et même selon les tensions entre les individus en tant que citoyens qui attendent la satisfaction de leurs besoins, la garantie de leurs droits ou juste la protection de leur vie quoi qu’il soit leurs statuts

fréquentées. Le droit des gens s’adressait entre des monarques. Jusqu’en 1668 il n’existe pas de relations internationales modernes : il apparait pour mettre fin à une guerre entre les pays bas, l’Espagne, la France et le st empire germanique. La souveraineté des états est le principe qui organise les relations internationales. Les relations sont horizontales (égalité). Ces états sont plongés depuis le 18ème siècle dans une forme d’état de nature (Léviathan, LOCKE, « les états sont des loups les uns

révélées immédiatement par le vécu et surtout dans l’expérience d’un conflit originel qui débouche sur la reconnaissance mutuelle. Et selon Hegel, c’est dans cette différence conflictuelle que chacune des consciences acquiert un statut spécifique qui peut être soit celui du maître ou de l’esclave. La connaissance de soi passe par la médiation d’autrui. C’est pour cela que, selon J.P. Sartre, « la Honte est toujours Honte devant quelqu’un (…). J’ai honte de moi tel que j’apparais à autrui ». Qu’on soit maître